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| Jean Pierre Edmond Maridor | |
Naissance : 24 novembre 1920 - Le Havre (76)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / Royal Air Force
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 23 ans - 3 aout 1944 - Benenden, Kent, Angleterre
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 394038
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 34223
Dossier Légion d'Honneur |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean Pierre Edmond Maridor - son Livre ouvert ! Rien n'est perdu ! On me transmet l'information suivante :
La Société des Amis du Musée de l'ordre de la Libération ouvre une collecte de dons permettant d'acquérir lors des ventes publiques, des objets, manuscrits ou tout document ayant appartenu à des Compagnons.
Première action : acquisition d'objets (vente du 17 mai) ayant appartenu à Jean Maridor.
Verser un don par helloasso.com 
Ou bien adresser un chèque à l'ordre de la SAMOL (51 bis Bld de la Tour-Maubourg 75007 PARIS). Préciser au dos "Enrichissement des collections du musée de IP'OL".
Reçu fiscal par e-mail. Jacques Ghémard le samedi 26 avril 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Généalogie " Jean Pierre Edmond Maridor
Jean Maridor, Jones Harry, Jean Cailloux,
Né le 24 novembre 1920 - Le Havre, Graville, Seine-Maritime, Normandie, France
Décédé le 3 août 1944 - Benenden, Kent, England, Royaume-Uni, à l'âge de 23 ans
Inhumé le 19 décembre 1948 - Cimetière Sainte Marie - Le Havre, Seine-Maritime, Haute-Normandie, FRANCE
Parents
Pierre Auguste Maridor 1895-1974
Marcelle Saysset 1895-1983"
Edmond Léon Maridor était son oncle, fils d'Edmond Théodore Louis Maridor et de Victorine Augustine Marie Baudry comme Pierre Auguste Maridor
Jacques Ghémard le samedi 26 avril 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans son dossier pour la Légion d'Honneur Il me semble que le document ci dessous a été obtenu difficilement. Les dossiers pour la Légion d'Honneur sont souvent dignes de Bouvard et Pécuchet !
Probablement MARIDOR Pierre Auguste - Le Havre 10/07/1895 - Saint-Romain-de-Colbosc 11/05/1974 
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Jacques Ghémard le samedi 26 avril 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans quelques semaines seront dissipées par voie de vente aux enchères certains des effets personnels de Jean Maridor. 
Qu'aurait il pensé de notre époque ? bruyelle le samedi 26 avril 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Que notre époque était mieux que celle de 1940 en France, j'espère
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Allocution de Richard HOLME devant la sépulture de Jean Maridor - 31 aout 2019 Richard Holme : “ I am very proud to have been invited here today by M Pierre Prigent of the Aeroclub Jean Maridor and warm greetings to all who are here saluting the sacrifice of Mari.
I never knew Mari of course but my mother Jean was due to be married to him eight days after his heroic death over Benenden School saving the lives of hundreds in the army hospital there and 60 or so school children.
My mother met him only four months before his death when 91 squadron moved to West Malling where she was based. Apart from being a top pilot, he was an excellent cook. They lived hard and played hard, my mother a quiet respectable woman remembers parties where they rode motor bikes on the dance floor and the best parties had the most broken glass on the floor!
91 squadron was reputed to have the best Spitfire pilots and Mari became well known for his hatred of the Germans and daring low level attacks particularly on shipping, he sank 29 ships as well as shooting down many planes and eleven flying bombs.
I am enjoying a short holiday here in your lovely country with my friends from Folkestone which was saved by 91 Squadron in 1943. Mari and another attacked 12 German bombers about to attack the town and with colleagues shot down five of them. He was presented with a magnum of wine but said he would not drink it till the Boche were defeated.
When I was young I enjoyed very much visiting France to stay with Mari’s sister Therese and her husband Fernand. I am very glad that their son Michel and his family are here today and I am sure we all send them our very best greetings to Fernand who cannot attend.
Sadly, Therese died in 2015, in the same week I think as my mother’s brother John Lambourn who met Mari and wrote several books on him and painted his Spitfire many times. I would like to present the Aeroclub with one of John’s paintings.
Benenden School today is arguably the best girls school in England and they remember Mari. They have a Maridor Room and a trophy, a lovely wooden Spitfire. In November they unveil a memorial to him at a special ceremony. I will attend with my sister Katie and she is very sorry she cannot be here today.
In 1994, a special event was held at Benenden to commemorate the 50th anniversary, my dear mother did a long speech in French and I am sorry my friends that I am not able to do this today. Thank you again for allowing me to speak”. 
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Roumeguere FLorence le mercredi 04 septembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Hommage à Jean Maridor pour le 75e anniversaire de sa mort Dans le cadre du 100e anniversaire de l'Aéroclub d'Octeville-Jean Maridor, des cérémonies du 75e anniversaire de la Libération du Havre, et du 75e anniversaire du décès de Jean Maridor, M Pierre Prigent, directeur de l'Aéroclub - organisateur avec la Délégation de la Fondation de la France Libre Le Havre - et M Jean Baptiste Gastinne Maire du Havre, ont prononcé un hommage devant la tombe du Pilote au cimetière Sainte Marie du Havre. Monsieur Prigent a évoqué le brillant parcours du Pilote avant de passer la parole à M Richard Holme, fils de Jean Holme née Lambourn, fiancée du de Jean Maridor en 1944. La cérémonie s'est tenue en présence de M Fernand Revet, époux de la soeur de Jean (décédée), de leur fils Michel et de leur petit-fils Auguste. 
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Florence Roumeguere le mercredi 04 septembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Petite précision ... Jean Maridor est bien parti le 24 juin 1940 de Saint-Jean-de-Luz mais sur le paquebot "Arandora Star" qui arrive le 24 juin à Liverpool.
Amicalement,
Jean-Claude AUGST Jean-Claude le lundi 19 avril 2010 Recherche sur cette contribution | |
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www.francaislibres.net 
"Voici une liste incomplète de quelques uns de ceux (sur environs 250) qui sont parti en cette fin juin 1940 de Saint Jean de Luz et de Bayonne.
A bord de L'ARRANDORA STAR - 24 juin 1940 vers Liverpool
BAUER Jean-Pierre
Béasse, Claude (ref )
BERAUD
BORNEUF Raoul
BOUDIER Miche!
BUIRON Jean
BRISSET Achille
DANIELO Gaston
DERVILLE Raymond
GUIGNARD Jacques
LAURENT Pierre
Leblond, Roland
Lebian, René
LEPAGE Henri
Léon, Gérard
MAILFERT Maurice
MARIDOR Jean-Marie
MARTIN-PRUDHOMME Jacques
MELIN
REVEILHAC Jean
RICHARD
ROUSSELET
TRAISNEL Maurice
VIDAL
ZISKIND Roger " Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"... Maintenant le jeune pilote s'était familiarisé avec le feu. C'était cela, l'existence dont il rêvait, rude et saine, au milieu de garçons décidés. Les habitudes anglaises, la chambre de sous-officier, le mess avec ses petites tables, ses tasses et ses pots de beurre, le dispersai où l'on attendait l'ordre d'envol, l'intelligence-room où l'on rendait compte de son travail : tel était le décor familier. Jean s'y trouvait à l'aise, toujours aussi solitaire; il ne frayait pas avec ses compatriotes. Étaient-ce eux qui l'évitaient ou Maridor ne tenait-il pas à les fréquenter ? Ce qui est certain, c'est que Mouchotte ne cite jamais Maridor dans ses Carnets et que Clostermann, dans le Grand Cirque, publie sa photographie, en omettant d'indiquer son nom.
Régulièrement, Jean écrivait à la " patrouille ". Il se conduisait comme le membre fidèle d'une collectivité, en déplacement temporaire dans une société étrangère. Il appartenait à une cellule dont le noyau avait éclaté, mais dont le rayonnement demeurait intact. Léon volait en Afrique, Béasse et Leblond en école, Traisnel et Le Bihan Dieu sait où ; mais le groupe existait toujours.
...
À quelque temps de là, Traisnel eut un accident très grave. On le releva, les jambes et le bassin fracturés.
C'était le deuxième de la " patrouille " qui " trinquait ".
...
Alors qu'il passait ainsi de longues heures, à maudire sa blessure, il apprit la disparition de Béasse. " Bidouille " avait été descendu au-dessus de la France. Encore un nouveau coup porté à la " patrouille " ! Décidément, il devenait difficile de respecter la cruelle règle du jeu et de feindre l'indifférence : Le Bihan mort, Traisnel cloué au lit, Béasse prisonnier ou tué, une série tragique semblait commencer. " Quand sera-ce mon tour ? " pouvaient se demander les trois pilotes demeurés valides. ..."
beaucoudray.free.fr  Laurent Laloup le mercredi 29 octobre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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