Maurice Victor Alphonse Traisnel - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Un Français Libre parmi 63522
 

Maurice Victor Alphonse Traisnel



Naissance : 1er mai 1921 - Bethune (62)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 84 ans - 1er mai 2005 - Paris 5e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 576406

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50270

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Maurice Victor Alphonse Traisnel - son Livre ouvert !
 

Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres

HUNT, Ellen Muriel

Naissance : 23 septembre 1923, Londres, Royaume-Uni. Résidence : lieu non indiqué. Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage. Date de déclaration : 20 mai 1944. Conjoint : TRAISNEL, Maurice, sergent-chef dans les Forces françaises. Mariage : 4 juin 1944, Hitchin, Royaume-Uni. Date de récepissé : 5 juillet 1944.

Laurent Laloup le mardi 08 octobre 2019 - Demander un contact

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Les membres de " la Patrouille " (photo Famille Maridor)

Biographie extraite du livre de Françoise Amiel-Hébert sur le site " Les Compagnons de la Libération et la France Libre du Havre" 



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Roumeguere le jeudi 22 février 2018 - Demander un contact

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Source : www.jean-maridor.org 

Laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact

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Revue de la France Libre Avril 49

Chevalier de la LH
(Ss-Lieutenant)

laurent le samedi 26 décembre 2015 - Demander un contact

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www.francaislibres.net 

"Voici une liste incomplète de quelques uns de ceux (sur environs 250) qui sont parti en cette fin juin 1940 de Saint Jean de Luz et de Bayonne.

A bord de L'ARRANDORA STAR - 24 juin 1940 vers Liverpool

BAUER Jean-Pierre
Béasse, Claude (ref  )
BERAUD
BORNEUF Raoul
BOUDIER Miche!
BUIRON Jean
BRISSET Achille
DANIELO Gaston
DERVILLE Raymond
GUIGNARD Jacques
LAURENT Pierre
Leblond, Roland
Lebian, René
LEPAGE Henri
Léon, Gérard
MAILFERT Maurice
MARIDOR Jean-Marie
MARTIN-PRUDHOMME Jacques
MELIN
REVEILHAC Jean
RICHARD
ROUSSELET
TRAISNEL Maurice
VIDAL
ZISKIND Roger "

Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact

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"... Maintenant le jeune pilote s'était familiarisé avec le feu. C'était cela, l'existence dont il rêvait, rude et saine, au milieu de garçons décidés. Les habitudes anglaises, la chambre de sous-officier, le mess avec ses petites tables, ses tasses et ses pots de beurre, le dispersai où l'on attendait l'ordre d'envol, l'intelligence-room où l'on rendait compte de son travail : tel était le décor familier. Jean s'y trouvait à l'aise, toujours aussi solitaire; il ne frayait pas avec ses compatriotes. Étaient-ce eux qui l'évitaient ou Maridor ne tenait-il pas à les fréquenter ? Ce qui est certain, c'est que Mouchotte ne cite jamais Maridor dans ses Carnets et que Clostermann, dans le Grand Cirque, publie sa photographie, en omettant d'indiquer son nom.

Régulièrement, Jean écrivait à la " patrouille ". Il se conduisait comme le membre fidèle d'une collectivité, en déplacement temporaire dans une société étrangère. Il appartenait à une cellule dont le noyau avait éclaté, mais dont le rayonnement demeurait intact. Léon volait en Afrique, Béasse et Leblond en école, Traisnel et Le Bihan Dieu sait où ; mais le groupe existait toujours.
...

À quelque temps de là, Traisnel eut un accident très grave. On le releva, les jambes et le bassin fracturés.

C'était le deuxième de la " patrouille " qui " trinquait ".
...

Alors qu'il passait ainsi de longues heures, à maudire sa blessure, il apprit la disparition de Béasse. " Bidouille " avait été descendu au-dessus de la France. Encore un nouveau coup porté à la " patrouille " ! Décidément, il devenait difficile de respecter la cruelle règle du jeu et de feindre l'indifférence : Le Bihan mort, Traisnel cloué au lit, Béasse prisonnier ou tué, une série tragique semblait commencer. " Quand sera-ce mon tour ? " pouvaient se demander les trois pilotes demeurés valides. ..."

beaucoudray.free.fr 

Laurent Laloup le mercredi 29 octobre 2008 - Demander un contact

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Extrait de Une sacrée guerre, de P. Clostermann ,Editions Flammarion, 1990



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Laurent Laloup le jeudi 13 septembre 2007 - Demander un contact

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Elementary Flying Training School (EFTS) d'Odiham, février 1941, devant un Westland Lysander : de gauche à droite, au premier rang, assis : Malbranque, X, Chatillon, Pierre Delange, Chauvin, Arnoud, Traisnel, Jean Vaissier, Bernard Fuchs, Boyer ; debout : X, X, Blitz, Pabiot, Réveilhac, Cravoisier, Van Wymeersch, Mazeron, Laurent, Béraud et Lambert (photo revue ICARE, avec la permission de Jean Lasserre)



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Laurent Laloup le jeudi 16 août 2007 - Demander un contact

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extrait de maridor.free.fr

" Avec cinq camarades (Gérard Léon, Roland Leblond, Maurice Traisnel, Claude Béasse et René Lebian), qui forment avec lui ce qu'eux-mêmes appellent "la patrouille", le 24 juin au matin, ils quittent l'école, à pied, rencontrent un détachement de soldats polonais qui se dirige vers SAINT-JEAN-DE-LUZ où il doit s'embarquer pour l'Angleterre ; les six compagnons décident de faire comme eux, se procurent une voiture américaine laissée à l'abandon, gagnent le port où, dans un premier temps, l'embarquement leur a été refusé. Leurs camarades polonais leur donnent des insignes portant l'aigle impérial qu'ils accrochent sur leur veste et un béret kaki qu'ils coiffent sur leur tête. Ils choisissent ensuite un nom à consonance slave et peuvent enfin, grâce à ce subterfuge, embarquer à bord de l'"ARANDORA STAR" qui quitte peu après, la terre de France. "

Laurent Laloup le lundi 06 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 08 octobre 2019

 

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