André Lominé - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
Les contributions
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 63456
 

André Lominé



Naissance : 16 décembre 1920 - Sainte-Croix-de-Saint-Lô (50)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / train

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent

Décès à 83 ans - 24 janvier 2004 - Perpignan (66)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 375713

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 32569

Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 6 multiplié par 4 =  ?


André Lominé - son Livre ouvert !
 

Mémoire des Français Libres, sous la direction du contrôleur général des armées Olivier Rochereau

" André Géroult, jeune habitant de la Manche qui a entendu l'appel du 18 juin lancé par le général de Gaulle, en informe le lende­main ses amis Lucien Joigne, André Lominé et Jacques Villemer qui « s'insurgent contre le gouvernement de l'armistice ». Les quatre jeunes Saint-Lois organisent alors leur départ vers l'Angleterre. Lucien Joigne raconte : « Nous sommes partis de nuit à vélo pour Granville. Là-bas, au bout de deux jours, nous avons fait la connaissance d'un pêcheur, Jules Leprince, qui accepta de nous emmener à Jersey. Puis, de Jersey, le 28 juin, nous avons rejoint Guernesey à bord d'un caboteur, puis Southampton ». Arrivés à Londres, ils pas­sent quelques jours dans deux camps de triage avant d'être incorporés dans les FFL. Ils n'ont ni argent ni papiers. Pierre Lemasson doit même « vendre sa montre de communion pour s'acheter de quoi manger ». Ils sont encore habillés en civil quand ils défilent le 14 juillet 1940 à Londres.
André Courval, Henri Letourneur et Clément Milet sont quant à eux arrivés trop tard à Jersey le 29 juin : les troupes allemandes les avaient précédés de quelques heures. Obligés de vivre cachés jus­qu'au 29 août, ils réussirent ce jour-là à s'emparer d'une barque à moteur et à traverser la Manche, non sans avoir essuyé des tirs alle­mands et être tombés en panne d'essence au large des côtes anglaises. Récupérés par un aviso britannique, ils débarquèrent le 30 août au soir dans le port de Dartmouth en Cornouailles, où ils furent cha­leureusement accueillis.
D'autres eurent moins de chance, tel Marcel Mauduit, parti le 27 juin et tué le lendemain dans un bombardement allemand sur Guernesey."

Laurent Laloup le samedi 23 mai 2009 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

" Le Train de la division fut placé sous l'autorité du commandant Dubois, assisté par le capitaine Haas et le capitaine Rendu. Il comprenait quatre compagnies. On me confia le commandement de l'une d'elles, la 297. J'avais pour adjoints le lieutenant Dijol et le lieutenant Weil, et pour chauffeur, Jean Claudel. Ma compagnie, composée d'environ 220 hommes et équipée de 227 véhicules, était divisée en quatre sections : la 1ère était commandée par le lieutenant Chesnel, la 2e par le lieu­tenant Riquet, la 3e par le sous-lieutenant Dreyfuss, la 4e par les adjudants-chefs Sellem et Heckmann. J'avais aussi à ma disposition une section de dépannage dont s'occupait Robert Kieffer, secondé par quelques méca­niciens, dont Lominé, Sauvage, Berthuin, Dagort, Colin, d'Overchies et Guilloux. Mes effectifs d'Afrique noire furent renvoyés dans leurs pays d'origine, l'Angleterre refusant de les accueillir. Ils furent remplacés par des chauffeurs et des aides-chauffeurs d'Afrique du Nord."

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

"Une grande émotion m'étreignait. En quittant le Cameroun pour aller à la guerre, je laissais mes trois enfants, sans être sûr de les revoir. L'aîné avait six ans et demi, la plus jeune deux ans. Mais je m'étais enga­gé à combattre pour la libération de la France et, bien que le médecin général Sicé m'ait offert de rester à Yaoundé, je tenais à respecter mon engagement.
J'emportais aussi le souvenir des bons moments que nous avions passés ensemble, officiers, sous-offi­ciers et chauffeurs, à construire cette compagnie auto, notre unité. Je n'ai pas oublié le nom des fidèles d'alors : Kieffer, Claudel, Thiriet, Lominé, Vignon, Heckman, Gros, Chesnel, Lepape, Guivarch, Guillou, Pinel, Ginoux, Sauvage ... ; et celui de ceux qui nous rejoin­dront plus tard : les Dagort, de Saint-Pierre et Miquelon, et les deux frères Blin ..."

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


L'équipe de l'U.S.T. au 1er rang, de gauche à droite André Lominé (1er ) Lucien Joigne (3e ) Au second rang, André Géroult (4ème ) Jacques Villemer (7e )...

Laurent Laloup le mardi 25 septembre 2007 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


Andre Lomine

Laurent Laloup le mardi 25 septembre 2007 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


beaucoudray.free.fr/   :

" Jacques Villemer avait 20 ans quand quelques jours après l'arrivée des Allemands, il décida de rejoindre de Gaulle avec trois amis de l'Union sportive du travail, un club de football. Il y avait Lucien Joigne, André Géroult, André Lominé. Tous quatre, après un périple nocturne à vélo devaient rejoindre Granville pour embarquer à destination de l'Angleterre où, après une période de mise au secret, ils étaient incorporés dans les Forces françaises libres. Nous étions environ 250 civils à avoir répondu tout de suite, dont une majorité de Bretons ", raconte Lucien Joigne dans sa maison d'Agneaux "...

Archives départementales de la Manche : dossier de documentation Jacques Villemer extraits de l'article

" Un résistant de la première heure tué au Monte Cassino ", Ouest-France - 4 octobre 1993"

Laurent Laloup le mardi 25 septembre 2007 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Dernière mise à jour le samedi 23 mai 2009

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 16 4 2025  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.81 s  8 requêtes