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| Maurice Roger Gaston Kaouza | |
Naissance : 2 avril 1911 - Brimont (51)
Activité antérieure : fonctionnaire
Point de départ vers la France Libre : AOF
Engagement dans la France Libre : Afrique en aout 1940
Affectation principale : Résistance intérieure /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine, préfet de Police
Décès à 75 ans - 28 septembre 1986 - Paris
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 316613
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26823 / ligne 27286 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Maurice Roger Gaston Kaouza - son Livre ouvert ! Mon Hommage a l'Homme et au Resistant ! Maurice,je t'ai connu grace a papa, ton ami bien apres la guerre. Tu me disais : ma cherie, cela n'a pas ete toujours tres beau la guerre, j'ai pris le Maquis par l'Espagne pour rejoindre De Gaulle sans plus de commentaires.
Je veux rendre Hommage au grand Resistant mais aussi a l'homme genereux, adorable qui etait l'ami de mon pere et qui m'a donne amour et tendresse apres son deces en 1977.
Tu m'as appporte tant car nous etions si malheureux tous les deux.
Je te garde au fond de mon coeur a jamais, tu me manques autant que papa. Michele CARRIAC le mardi 16 septembre 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Matricule FAFL On trouve dans la matricule FAFL (série 35) les information s ci-après :
35863 : Nom : GAREAU Maurice - nom réel : KAOUZA Maurice -
né le 2 avril 1911 à Brimont (Marne) - grade : sergent - date d'engagement : 16 juin 1943. Yves MORIEULT le vendredi 31 mai 2013 Recherche sur cette contribution | |
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Soustelle Jacques "Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )" " Un officier de marine, l'enseigne de vaisseau de Mersuey, apparut soudain à Foundiougne, et ses démarches montraient assez quelles étaient ses intentions. Campistron et son adjoint l'interrogèrent; quand il déclara qu'il voulait franchir la frontière pour aller rejoindre les Forces Françaises Libres, ils lui firent voir quels services il pouvait rendre en A.O.F. même, et il accepta aussitôt une mission. Il s'en acquitta avec succès, prenant contact à Thiès avec Louis Jacob, en service à la mairie, et avec le sergent-chef Poupeau, du régiment mixte d'infanterie coloniale. On comprendra l'importance du rôle que pouvait jouer ce sous-officier lorsqu'on saura que l'or de la Banque de France, évacué après la débâcle, était entreposé au quartier Faidherbe qu'occupait le R.M.I.C. Poupeau devait se tenir aux aguets et prévenir Bissagnet par messages tétéphooés conventionnels de tout déplacement effectif ou projeté de ce stock. Bissagnet avait reçu par Bathurst une consigne du général de Gaulle, qui attachait naturellement le plus grand intérêt à connaître les « coordonnées » du trésor de la France.
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Aucun des détenus ne donna les noms de ses camarades encore en liberté. Malheureusement, la police parvint à retrouver certains points de l'itinéraire de Boislambert et quelques-uns de ses contacts. Douhet, Auclert, Lequeux (qui avait pris part au sabotage des lignes téléphoniques à Dakar), Dalbiez, Jacob, furent arrêtés. Au mois d'octobre, deux camions cellulaires transportèrent à Thiès les détenus gaullistes; vers minuit, leur escorte leur donna l'ordre de monter dans des wagons à bestiaux. Louveau, le capitaine Soufflet, Kaouza, tous les autres, refusèrent obstinément : ils étaient encore des fonctionnaires ou des officiers, prévenus, certes, mais non encore condamnés. Une violente discussion s'éleva, au cours de laquelle le lieutenant Bertrand, qui commandait en second l'escorte, prit ouvertement le parti des prisonniers." laurent le lundi 07 septembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Soustelle Jacques "Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )" " À Gao, en juin 1940, la nouvelle de l'armistice avait frappé de stupeur l'escadrille stationnée au bord du Niger. Un mois passa dans l'attente, là-bas, à la lisière du désert, puis vint l'ordre de démobilisation. Le directeur de l'Ecole normale de Dakar, Kaouza, devait, comme tous les fonctionnaires démobilisés, regagner son poste civil. Par Tombouctou, Ségou, Djenné, Bamako, d'abord sur le fleuve, puis par la voie ferrée, il voyage vers Dakar ; déjà la résistance prend forme dans son esprit. Dès son arrivée, il établit des contacts, observe, consulte. 11 trouve chez M. Goux, maire de Dakar, chez M. Turbet, président de la Chambre de Commerce, chez Me Silvandre et dans tous les milieux de la capitale aofienne la même volonté de résistance. pendant tout le mois d'août, les contacts se nouent, les Gaullistes se reconnaissent, mais rien ne se cristallise." laurent le dimanche 06 septembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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