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| Louis François Jourdren | |
Naissance : 23 octobre 1914 - Châteauneuf-du-Faou (29)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en mai 1941
Affectation principale : FNFL / parachutistesMarine Pointe-Noire, BCRA, marine Londres Matricules : 10040 FN41
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Second maître armurier
Décès à 68 ans - 18 juin 1983 -
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 313088
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 7262
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26467 / ligne 26470 |
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Louis François Jourdren - son Livre ouvert ! Louis François JOURDREN Bonjour,
a priori, il y a répétition entre deux fiches. Celle de Jacques JOURDREN (BCRA)et celle de Louis François JOURDREN (FNFL)
En effet, Louis François JOURDREN, né en 1914 à Châteauneuf (29), a rallié la France Libre en 1941 à Freetown puis a intégré le BCRA puis le 2e RCP sous le pseudo de Louis ou Jacques ou Jack JOURDAN.
Parachuté dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 en Bretagne,
radio du stick Pierre 1 de MARIENNE,il est rapidement fait prisonnier en même temps que Maurice SAUVE et René ETRICH, peu de temps après être arrivé au sol. Émile BOUETARD est quant à lui achevé par des géorgiens.
Prisonnier à Chartres, il réussit à s'évader du train qui le conduit en Allemagne et rejoint ses camarades en septembre 1944.
Sources: Documents personnels + Les parachutistes SAS de la France Libre, 1940-1945 David PORTIER Fabrice JEAN le mardi 01 février 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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piquetjm.free.fr
" Le parcours de Louis Jourdren (alias Jack Jordan ) s’écarte de celui du combattant classique. Fait prisonnier en 1940,il s’évade et rejoint la France libre à Freetown en avril 1941. Entré au BCRA à Londres,( le service renseignement de la France libre ), il effectuera de nombreuses missions en France occupée ; Arrêté au cours d’une de ces missions dans le Morbihan, il s’évade et rejoint l’Angleterre. Il intègre le 2è régiment de chasseurs parachutiste, est largué dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, est fait prisonnier près de Ploërmel, et s’évade une nouvelle fois. Toujours avec le 2è RCP, il combat en Belgique, en Hollande et en Indochine. Dans un dernier clin d’œil à l’Histoire, il meurt un 18 juin (1983). Il est inhumé auprès des siens à Châteauneuf du Faou.
Corentin Sterviniou, quant à lui, rejoignit la 1° compagnie de chars de la France Libre après que le bâtiment "Le Bougainvillé" ait été coulé devant Libreville.
Il fit toute la campagne avec Le Floc'h et L'Haridon " Laurent le vendredi 13 novembre 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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