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| Michel Joseph Joulain | |
Naissance : 2 mai 1919 - Angers (49)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : Tunisie en mai 1943
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / spahis
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal
Décès à 25 ans - 24 aout 1944 - Antony (92)
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 312600
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26417 |
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Michel Joseph Joulain - son Livre ouvert ! souvenirs rédigés par l'abbé Roger MARION "... Plus loin, il y a de la casse au Peloton GERBERON. Le Lieutenant venait de descendre de son A.M. quand un obus (probablement du 88) traverse la tourelle et… le Brigadier-Chef JOULAIN." laurent le mardi 05 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.liberation-de-paris.gilles-primout.fr
"En fait d'avant-gardes américaines, il s'agit des premiers éléments de la 2ème Division blindée du général Leclerc qui se heurte à une forte résistance allemande au carrefour de la Croix de Berny. Au milieu d'une foule enthousiaste et inconsciente du danger, les soldats de Leclerc se battent pied à pied pour faire sauter le bouchon de canons de 88 les empêchant de poursuivre sur Paris.
Le chasseur Mohamed Dahou (501ème RCC/2ème Cie) est atteint d'une balle en pleine tête alors que, juché sur la jeep de commandement, il vise un groupe de fantassins allemands; le sherman Elchingen II est touché au but par un coup de 88, l'aide pilote Jean Luc Geronimi (501ème RCC/2ème Cie/3ème section) est mortellement atteint; le spahi Michel Joulain (RMSM/3ème escadron) est tué; le voltigeur Ernest Hernozian (IIIème RMT/9ème Cie), ancien légionnaire d'origine arménienne ayant rejoint la 2ème DB en Normandie, est abattu par le tir d'une arme automatique; le brigadier Mohamed Driss (64ème RADB/11ème groupe/31ème batterie), chargé de la surveillance d'un groupe de prisonniers, est mortellement blessé par l'un d'entre eux, un lieutenant SS qui sera fusillé quelques instants plus tard.
Parmi les badauds inconscients les échanges de tir font des ravages. Jean François Pélissier, 68 ans, Jean Boyer, 11 ans ainsi que quatre femmes, non identifiées, sont tués.
La résistance allemande enfin réduite, le général Leclerc donnera l'ordre au capitaine Dronne de prendre 150 hommes et d'entrer dans Paris. Il est trop tard pour que l'ensemble de la division fasse mouvement ... ce sera pour demain matin, 25 août 1944." L. Laloup le mercredi 23 janvier 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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