René Louis Joly - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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René Louis Joly



Naissance : 11 janvier 1900 - Saint-Denis (93)

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1941

Affectation principale : Résistance intérieure /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 41 ans - 16 septembre 1941 - Suresnes (92)

Mort pour la France

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26257

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" JOLY René, Louis
Né le 13 janvier 1900 à Saint-Denis (Seine, Seine-Saint-Denis), fusillé comme otage le 16 septembre 1941 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) ; forgeron ; communiste.
Marié, père de deux enfants, René Joly demeurait à Franconville (Seine-et-Oise, Val-d’Oise), où il exerçait le métier de forgeron. Militant communiste, il diffusait les tracts de l’organisation clandestine. La police française l’interpella le 2 septembre 1941 à Montigny-lès-Cormeilles. Il fut incarcéré à la prison de Fresnes.
Les militaires allemands furent l’objet de plusieurs actions de la Résistance début septembre 1941 : le 6, vers 4 h 30, du matin des sentinelles allemandes de faction devant la propriété d’un collaborateur dans le XVIe arrondissement essuyaient des coups de feu. Le même jour, vers 23 h 30, l’adjudant Hoffmann était pris pour cible, rue Fontaine à Paris. À la même heure, boulevard Bonne-Nouvelle, Ehwin Gerstner recevait plusieurs coups de poing au visage. Au moment où il prenait son billet à la station Dauphine, le matelot Denecke fut blessé d’une balle à la cuisse le 10 septembre vers 19 h 15. Enfin, le 11 sur les Champs-Élysées, le trésorier général Knop recevait un coup de matraque sur la tête..."

Laurent Laloup le vendredi 17 novembre 2017 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 17 novembre 2017

 

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