Jean Baptiste Hellier - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Baptiste Hellier



Naissance : 1er septembre 1906 - Limoges (87)

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en septembre 1941

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Porté disparu du 307e régiment d'infanterie le 6 octobre 1940, Homologué FFC et FFL

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Décès à 36 ans - 14 juillet 1943 - Bastia, Corse

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 288961

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 24363


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Jean Baptiste Hellier - son Livre ouvert !
 

" Le 12 juillet 1943, le tribunal militaire du VIIe corps d'armée italien de Bastia (haute-Corse) jugent les membres du réseau arrêtés par l'OVRA. Le radio Jean Hellier qui l'avait dénoncé est fusillé le 14 juillet 1943 à 5h30 à Bastia. Reconnu Mort pour la France, il est inscrit sur le livre d'or de la résistance de Sartène (Corse-du-Sud). Paul Pardi, Archange Raimondi et Auguste Vieau sont condamnés à mort par contumace. Joseph Vignocchi, Bernard Ceccaldi, Marius Bost, Antoine Cantoni et André Bert (ce dernier par contumace) sont condamnés à 30 ans de réclusion. François Robert, Antoine Serafini, Santa Paravisini, Jean Federici, Jean-François Giovanelli, Joseph Chiappe et Fernand Poli sont condamnés à 24 ans de réclusion "

fr.wikipedia.org 

Laurent Laloup le vendredi 14 février 2020 - Demander un contact

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"... Scamaroni désirait se mettre au travail immédiatement malgré son état d'épuisement évident et Raimondi fit venir Vignocchi et Poli, des amis sûrs. Ils parlèrent jusqu'aux premières heures du jour. Jickell et Hellier ne donnaient aucun signe de vie. Vignocchi et Poli partirent à leur recherche en voiture. On les retrouva miraculeusement, traînant les pieds. Ils s'étaient perdus à plusieurs reprises et souffraient d'une faim dévorante. On les emmena jusqu'à Ajaccio pour les installer dans une maison sûre. Le lendemain, 09 janvier, Hellier aidé de Pierre Bianchi, Nicolas Antona, Paul PARDI et Bernard Ceccaldi, partit en taxi chercher les bagages cachés. Ils s'étaient déguisés en pêcheurs et saluèrent même une patrouille italienne qui passait. Ils s’attribuèrent les services d'un âne errant avant de retrouver sans difficulté l'endroit où était cache le matériel. Malheureusement l'une des valises manquait. A quatre heures du matin le chargement était au bord de la route, prêt à partir, mais le groupe fut interpellé par une patrouille italienne. Ils expliquèrent qu'ils allaient prendre le premier bus postal du matin pour Ajaccio et furent autorisés à continuer. Le bus fut fouillé par un gendarme qui tapota légèrement sur les caisses sans les faire ouvrir.

Rendus sans encombres à Ajaccio, on découvrit que la valise manquante appartenait à Scamaroni. Elle contenait une partie des fonds de guerre pour la mission, 600 000 Francs et 500 dollars, des vêtements, des armes et des quartz de rechange pour les radios. Chacun suspecta que l'OVRA était déjà à leur recherche. Scamaroni était d'avis que si l' OVRA était le responsable, ils auraient soit tout pris soit rien pris du tout préférant s'embusquer en attendant que les agents viennent chercher leurs affaires. ..."

Laloup Laurent le dimanche 08 avril 2018 - Demander un contact

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"... Avertis de l’arrestation de Fred Scamaroni, les habitants du 42, cours Napoléon, dont Paul Pardi, vident l’appartement de ses armes et du matériel radio. Angèle, la mère de Paul Pardi, est arrêtée et torturée. Elle ne parle pas. Pour son courage, elle se verra attribuer la croix de guerre avec étoile de bronze à la libération. Dix-huit membres du réseau sont tout de même arrêtés avec Fred Scamaroni. Le 12 juillet 1943, le tribunal militaire du VIIe corps d'armée italien de Bastia (haute-Corse) jugent les membres du réseau arrêtés par l'OVRA. Le radio Jean Hellier est condamné à mort. Paul Pardi, Archange Raimondi et Auguste Vieau sont condamnés à mort par contumace. Joseph Vignocchi, Bernard Ceccaldi, Marius Bost, Antoine Cantoni et André Bert (ce dernier par contumace) sont condamnés à 30 ans de réclusion. François Robert, Antoine Serafini, Santa Paravisini, Jean Federici, Jean-François Giovanelli, Joseph Chiappe et Fernand Poli sont condamnés à 24 ans de réclusion. Paul Pardi rejoint Londres et devient agent du Special Operations Executive (SOE)..."

Laurent Laloup le lundi 30 octobre 2017 - Demander un contact

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D'après mes informations, un Jean Hellier a été breveté à Largo en mars 1942 alors qu'il fait partie de la Compagnie d'Infanterie de l'Air. Sans doute affecté ensuite au BCRA, il a effectué cette mission en Corse.
Par contre, le Jean Hellier FFL n'est pas né le 1/09/1906 à Limoges car ce Jean-Baptiste Hellier a été porté disparu en octobre 1940 du 307e RI et son état signalétique ne porte pas la mention d'appartenance aux FFL.
Qu'en pensez-vous?

David le jeudi 27 octobre 2011 - Demander un contact

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Réponse :

Porté disparu en s'enfuyant vers la France libre ???


HELLIER Jean-Baptiste: (?-1943)
Radio. Il rejoint la Corse en Janvier 1943 avec Fred Scamaroni. Membre du réseau R2 corse Il est arrêté à Aiacciu par les Chemises Noires italiens, et fusillé, en Août 1943. Reconnu Mort pour la France.

oursjeancaporossi.perso.neuf.fr 

laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact

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Confirmation  :
Jean Baptiste HELLIER -born 01.09.1906

www.nationalarchives.gov.uk 

laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact

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Jean Hellier ?

18 Août 43 : PIERRE GRIFFI est fusillé à Bastia par les Italiens. JEAN-BAPTISTE HELLIER est fusillé à Aiacciu par les Italiens.

oursjeancaporossi.perso.neuf.fr 

laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact

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Claude Faure : Aux Services De La République - Du Bcra À La Dgse

"En ce début de l'année 1943, alors que le général Giraud est devenu haut-commissaire en Afrique du Nord à la suite de l'assassinat de l'amiral Darlan, Fred Scamaroni, accompagné du lieute­nant anglais James Jickell (Albert, André Maynard) et de l'opérateur radio Jean Hellier (Louis, Pot W, Rossi, Jacques), débarque clandestine­ment en Corse, dans la nuit du 6 au 7 janvier, au sud de la péninsule de Capo di Muro. Scamaroni est envoyé sur l'île de Beauté avec une consigne du BCRA : prendre contact avec le chef du Front National, Benielli, afin de coordonner l'action militaire des différents groupes de résistance de l'île. Il établit également une liaison avec le réseau Pearl Harbor, dirigé par le commandant de Saule, dépêché en Corse par les services du général Giraud. Arrêté quelques semaines plus tard par les hommes de l'OVRA, les services de sécurité italiens, Fred Scamaroni se suicide le 20 mars dans sa cellule de la citadelle d'Ajaccio."

laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact

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Jean Hellier ?

"De Gaulle projette de s'installer à Alger. Il a de renseignements sur la Corse. Il y envoie donc le capitaine Godefroy (Fred) Scamaroni (pseudonymes: " Capitaine Edmond Séveri") et "Joseph Grimaldi.
Un sous-marin britannique le débarque dans la nuit du 6 au 7 janvier 1943, au Capo Nero sur la commune de Coti-Chiavari, dans le golfe de Valinco, en compagnie d'un officier anglais, le "lieutenant Albert" spécialiste des parachutages et d'un agent radio français, Jean Hellier se faisant appeler "Alphonse Rossi" ou encore "Angelo" "Louis", ou "Pot W". Les pseudonymes qu'utilise Fred Scamaroni pour brouiller les pistes sont nombreux: «Severi», «Pot», «Edmond», «François Grimaldi», « Chimère », «Sarment », «B13»...
En quatre semaines, "Rossi alias Hellier (on en reparlera plus tard, lors de l'arrestation de Fred Scamaroni) alias Angelo, alias Louis" transmettra soixante-dix messages : renseignements militaires sur l'ennemi, sur les terrains de parachutage et les points de débarquement possible. Scamaroni, Raimondi et Bost entreprennent le recrutement de jeunes gens pour les "Forces Françaises Libres". Des contrats sont signés. On envisage l'embarquement des engagés pour Londres via Marseille et l'Espagne.

Les trois hommes (Scamaroni, Raimondi et Bost) halent sur la plage trois postes de radio, deux valises de vêtements, trois de matériel, ils sont chargés d'argent (un million de francs), d'armes de poche, de grenades et d'une bicyclette pliante. Portant celle-ci sur son dos, Séveri (Scamaroni) traverse le maquis, atteint la route et roule vers Ajaccio.
Après avoir caché les bagages dans les broussailles, Hellier (notre cher radio) et Albert suivent à pied.
Méconnaissable sous son déguisement, Scamaroni arrive chez Raimondi ; Vignocchi et Poli le rejoignent. Le lendemain, ces deux derniers ramènent Hellier et Albert, tandis que l'on s'organise pour récupérer le matériel. Scamaroni se met au travail chez Raimondi, sous l'identité de « Grimaldi », représentant de commerce. Raimondi est censé recevoir de lui des lettres de Londres, dont il parle incidemment pour assurer l'incognito. Il apprend le ralliement du colonel Ferrucci au «R 2 Corse», où son expérience sera précieuse. La première urgence est de constituer les équipes de protection d' «Albert» et du radio Hellier."

www.curagiu.com 

Laurent Laloup le samedi 21 février 2009 - Demander un contact

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Renseignement extrait de Prisonniers de la liberté : l’odyssée des 218 évadés par l’URSS, de J.-L. CRÉMIEUX-BRILHAC :

Grade et profession en 1941 :
Sous-officier
Macon briquetier fumiste

Laurent Laloup le samedi 21 février 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 14 février 2020

 

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