Jean Guillou - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Guillou



Naissance : 22 aout 1918 - Saint Lô ou Auderville (50)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Chine en juin 1941

Affectation principale : FAFL / Lorraine

Matricules : 40.230, 35.260

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 279758

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 23420


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Engagement FAFL

Le caporal Jean Guillou est enregistré à la Compagnie de l'Air au Moyen-Orient avec le matricule 40.230. Engagement FAFL en date du 1/6/1941 ; spécialité Mécanicien volant breveté et arrivé de la Marine Marchande. Sera réenregistré par Londres avec matricule 35.260

bertrand le samedi 14 décembre 2019 - Demander un contact

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question d'histoire, peut être avez vous des réponses a mes questions.

Mon grand père, Louis Guillou, habitant à Vigneux sur Seine, ancien jeune résistant face au allemands durant 1945, habitait rue George Sand jusqu’à la fin de ses jour il y a environs 12 ans. Moi sont petit fils vous pose une simple question : pourquoi la ville de Vigneux sur Seine a donné le nom de Jean Guillou à une de ses rue ? Y avait-il un lien de parenté ? Si oui lequel ? Mon grand père ayant toujours évincé cette question, la guerre il détestait en parler.

guillou thomas
tom77.1@laposte.net

Guillou Thomas le mercredi 07 mars 2018 - Demander un contact

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Réponse :

En 1945, s'il y avait des Allemands à Vigneux sur Seine, c'est qu'ils étaient prisonniers de guerre.

Je répondrais qu'il faut faire votre généalogie d'un coté et que de l'autre il faut demander à la municipalité de Vigneux sur Seine de quel "Jean Guillou" il s'agit. J'en trouve 76 dans les dossiers de résistants 

Mais je vous mâche le travail 

GUILLOU Jean
Né en 1915.
Conseiller municipal de Vigneux-sur-Seine.
Résistant.
Décédé en 1960.

Et donc peut être 


En souvenir de nos soldats morts pour la France

Garnier Virginie le mercredi 15 novembre 2017 - Demander un contact

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Un aventureux grand père de légende, du Lorraine à Leclerc .

Parmi les Français libres, aux destins insolites, héroïques sans conteste, celui de Jean Guillou, est très typique, d'un certain esprit, et d'une grande ouverture , qui souligne aussi la part des mécaniciens, qui firent un énorme travail au temps de la guerre du désert ... La première , retrouvée récemment , au moment de la création du groupe Lorraine , Syrie, septembre. 1941 ... Ici à droite, aussi connu, et surtout avec le surnom de Popeye . Pour son Côté joyeux , proverbial.
( Je recommande l'album , que j'ai reconstitué , grâce à ces carnets, et dessiné , avec joie aussi,,, non sans efforts , mais l'enthousiasme et la bienveillance des anciens m'y ont aidé.  ) L'esprit de la France Libre reste une belle découverte . Qu'il perdure !

Bertrand Guillou le vendredi 22 septembre 2017 - Demander un contact

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Bertrand Guillou, fils de Jean

La légende du général Leclerc
Biggles raconte, Tome 7
Bertrand Guillou

Laurent Laloup le samedi 01 novembre 2008 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France Libre n°28

"Cette notice biographique a été établie par Bertrand Guillou, petit-fils de l’adjudant-chef Jean Guillou, mécanicien volant du général Leclerc. [Et mort dans le même accident]

[...] Après d’excellentes études techniques à l’Ecole professionnelle St-Gabriel de Pont-l’Abbé dans le Finistère, engagé dans l’aéronavale, formé comme mécanicien à Rochefort, Jean Guillou est surpris par la défaite de 1940 alors qu’il se trouve sur la base aéronavale de Palyvestre. Cette défaite, comment peut-il l'accepter ? Bon sang ne saurait mentir. Son père, grand mutilé de la Première Guerre mondiale, blessé lors de la bataille de l’Yser, faisait partie des fameuses « demoiselles au pompon rouge » de l'amiral Ronarc’h, le célèbre défenseur de Dixmude1.

Déserteur par devoir, espérant être arraisonné par les Britanniques et pouvoir ainsi rejoindre les Forces françaises libres, Jean Guillou embarque clandestinement sur un navire de commerce en partance pour Dakar où les évènements pénibles de septembre 1940, auxquels il assiste, le confortent dans sa décision de rejoindre la France libre. Cette fois, grâce à de faux papiers de l’inscription maritime, il embarque sur un navire de commerce en partance pour Saigon, toujours avec l’espoir d'être arraisonné et de pouvoir rejoindre les FFL. Ses faux papiers ayant été reconnus comme tels, il a la chance de tomber sur un commandant de bord qui renonce à le mettre aux arrêts. Une fois débarqué à Saigon, Guillou réussit à rejoindre Shanghai et son secteur britannique à travers les lignes japonaises, en franchissant un pont sous le feu d’armes automatiques. C’est sa première véritable chance. En effet, les Anglais l’embarquent immédiatement pour la Syrie via l’Egypte.

Avec le « Groupe Lorraine »

Jean Guillou, qui est aviateur, veut se battre dans une unité aérienne. A la même époque, le général Valin constitue les premiers groupes de bombardement et de chasse de la France Libre qui se distingueront plus tard sous des noms de provinces françaises : Alsace, Lorraine, Bretagne, Île-de-France et Normandie.

En Syrie, Guillou rejoint donc le premier de ces groupes, baptisé Lorraine, avec comme insigne une tête de rhinocéros, symbole de détermination farouche. C’est ainsi que le jeune Breton se trouve incorporé à une unité de combat capable d’apporter l’appui aérien nécessaire à la colonne Leclerc qui entreprend sa célèbre traversée du désert pour obtenir la victoire retentissante de Koufra le 1er mars 1941.

La Guerre du désert

Au groupe Lorraine, Jean Guillou accumule les missions de guerre. Il en connaît toutes les angoisses et plus particulièrement celles que procurent les atterrissages forcés dans le désert. Comme nombre de ses camarades, en effet, il a dû se poser dans le désert pour y attendre des secours aléatoires et y connaître la faim, la soif, le soleil qui brûle la peau et le vent du sable qui aveugle. Plus tard, ces affres qu’il a connus, il en reparlera parfois, mais chaque fois avec une point d’humour car il y attrapa le scorbut et y perdit sa dentition.

Bien plus tard, ses parents ont le bonheur d’entendre les témoignages d’estime de personnalités de la France libre, telles que Jo Halléguen et Pierre Clostermann, qui, se rendant à la Pointe du Raz, font une halte au cimetière de Plouhinec, où repose leur fils.

Jacques Ghémard le samedi 01 novembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 14 décembre 2019

 

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