Marcel Guénolé - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Guénolé



Naissance : 20 septembre 1920 - Le Guilvinec (29)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / peche

Courbet, BCRA

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : marin pêcheur

Décès à 55 ans - 28 octobre 1975 - Nantes (44)

Frère de Fernand Coïc 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 274373

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 6228

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 23018


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Navires & Histoire 107



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Laurent Laloup le mardi 26 décembre 2023 - Demander un contact

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Devoir de mémoire

En tant qu'historien ( et ancien de la marine marchande et de la recherche scientifique à Ifremer) né en 1943 au Guilvinec (finistère), je prépare un ouvrage sur les FNFL et en particulier sur mes compatriotes guilvinistes.



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Coïc le mardi 08 août 2017 - Demander un contact

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Réponse :

Et quel est le lien entre cet objet et Marcel Guénolé ?


Les Bigoudens dans les Forces Françaises Libres

Ce document signé de Pierre-Jean Berrou concerne les Bigoudens dans les Forces Françaises Libres en deux articles successifs parus dans la revue CAP CAVAL ( N°7 de décembre 1986 et 8 d’avril 87) éditions « Startigenn ar Vro Vigoudenn » , 11 place Gambetta 29120 Pont-L’Abbé. 

Laurent Laloup le samedi 14 janvier 2017 - Demander un contact

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"... Le « Korrigan » est au fond de l’anse, désarmé. Marcel, le fils du patron, Louis Sinou et Léon Cosquer, ses plus proches amis, siphon­nent le carburant, au bonheur la chance dans les dragueurs également au sec, amènent le bateau sur rade lorsque la marée s’y prête et dans la nuit tard venue, le tirent sur sa chaîne au quai. Les dix-neuf complices embarquent un à un, comme des maraudeurs. Treize copains de jeunesse. deux Belges, l’un d’une vingtaine, l’autre d’une quarantaine d’années. et quatre de la « Royale » dont Léon Berlivet, vingt-neuf ans, maître-secrétaire émigré à Groix où son père, un ancien de la 14-18, occupe l’emploi réservé de garde maritime. Rejeté de Lorient par la débâcle. il attendait, chez sa grand-mère, l’occasion de franchir le pas et, comme il ne s’en cachait pas, quelqu’un l’a prévenu de celle-ci… L’administrateur a voulu les dissuader: la nouvelle s’est trop répandue à son gré, mais son intervention n’a convaincu personne.

Aussi, désireux d’éviter les ennuis qui compromettraient sa carrière, il n’a pas sollicité le « Nachtausweis », l’autorisation spéciale des rondes de nuit. Ces messieurs de l’Occupation ne sauraient de la sorte le tenir pour responsable de ce qu’il n’aura pu officiellement contrôler.

A minuit et demi, le « Korrigan » glisse vers la baie d’Audierne. Marcel Guénolé a cédé le commandement à Raymond le Corre – « Tu connais la route, toi. Moi, j’ai l’habitude du bourrin. Je m’en charge. »
Mévagissy est en vue après quarante heures et trois pannes. A Falmouth, un capitaine leur explique qu’un général de Gaulle a relevé le gant.
– Vous avez le choix. Ou vous restez et l’on vous expédie à Londres, ou vous désirez repartir et l’on vous place dans un camp d’attente… »
Si deux des quatre officiers-mariniers, contrits, demandent à rentrer, les quinze autres Guilvinistes – les Belges ont rejoint leurs compatriotes – optent pour la première proposition de l’alternative et se caseront à Portsmouth sur le «Courbet », glorieux cuirassé de 1915, converti en dépôt.

Léon Cosquer, quartier-maÎtre fusilier marin à la pre­mière Division de la France Libre, la célèbre 1ère D.F.L., accomplira les campagne du Tchad, de Lybie, de Tripolitaine – vingt-deux mois dans le désert, ça use -, combattra dur à El Alamein, Bardia, Tobrouk, Benghazi, courra sus à Rom­mel en Tunisie, remontera l’Italie, Garigliano, Ponte-Corvo, Rome, la Toscane, la Provence à partir de Cavalaire le 16août 1944, Hyères, Toulon, et finira par être grièvement blessé devant Belfort. Eugène Berrou, second-maÎtre torpil­leur, Raphaël Quideau, tués tous deux en Syrie, Bastien Nédélec, mort à Capetown, Émile Péron, Louis Sinou, Corentin Çossec, Fernand Coïc , Marcel Le Goff, baroude­ront tour à tour en Afrique et au Moyen-Orient. Alain Cail­lard et Léon Berlivet navigueront pour leur part sous le pavillon des Forces Navales Françaises Libres, frappé de la croix de Lorraine. Raymond Le Corre, Marcel Guénolé, Michel Baltas, dix-neuf et vingt ans, Henri Le Goff, le doyen de vingt-six ans, suivront le sort que nous allons voir. ..."

www.gastonballiot.fr 

Laurent Laloup le vendredi 15 juillet 2016 - Demander un contact

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De la résistance à la libération
LA RÉSISTANCE – LA LIBÉRATION AU GUILVINEC-LÉCHIAGAT
Par Pierre-Jean BERROU (Bulletin Municipal « Ar Gelveneg » N°11 – 1996) 

"... La liaison entre la France occupée et la « France Libre » fut réalisée par des réseaux d’évasion, de renseignements et de trafic d’armes. Raymond Le Corre, Marcel Guénolé, Henri Le Goff, Michel Baltas, traversèrent plusieurs fois la Manche à la barbe des Allemands avant d’être arrêtés et déportés à Buchenwald (du moins pour les trois premiers cités). De même, Martial Bizien du célèbre réseau d’Estienne d’Orves, ne dut la vie qu’en raison de son jeune âge mais connut l’emprisonnement en Allemagne..."

Laurent le mercredi 13 janvier 2016 - Demander un contact

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Extrait de Secret Flotillas de Brooks Richards 

L. Laloup le jeudi 21 février 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 26 décembre 2023

 

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