Maurice Jean Louis Gourong - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Maurice Jean Louis Gourong



Naissance : 24 mars 1921 - Quiberon (56)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1943

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

1er BFM commandos

Matricules : 1037 CAS43, 959 FN43

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot fusilier

Décès à 23 ans - 2 novembre 1944 - Flessingue, Pays-Bas

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 265717

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 6024

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22285


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Maurice GOURONG

Une image de lui, juste avant son départ de Groix



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Enguerrand GOURONG le dimanche 19 mai 2019 - Demander un contact

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" Mais les autres continuaient à s’en entretenir et vers le mois de mai se constitua une équipe qui avait l’intention de profiter de la campagne de thons qui s’annonçait pour essayer de partir. Il s’agissait de mon frère, Maurice, un patron Ange Yvon (Milord), son frère Jean, Charlot Gallène, Hyppolyte Mobé, Paul Puillon, Eugène Niclot, Henri Stéphant, comme par hasard tous des gars du Bourg. Peu de gens étaient dans la confidence. Il fallait d’abord trouver un thonier à armer. Ce fut la Joie des Anges qui appartenait au père de Paul Puillon. L’armer et avoir l’autorisation avec les Allemands d’aller faire la campagne de thons, ce n’était pas évident. C’est là qu’il faut bien reconnaître la part de naïveté qu’il y avait chez les Allemands qui, face à la volonté de tout un équipage de jeunes gens, les avaient quand même autorisés à partir. Il devait y avaoir aussi de leur part quelque intérêt en pensant qu’ils auraient été les premiers à profiter du poisson lors du retour du voilier. Ce fut, je crois, à la fin du mois d’août ( Lire l’épisode de l’odyssée de la Joie des Anges avec la notice biographique de la vie et de la mort de Maurice Gourong). Mon frère sera le seul à ne pas revenir de cette guerre. Engagé dans les commandos fusiliers marins de Kieffer, il fut tué au combat le 1er novembre 1944 à Flessingue en Hollande lors de la libération par les commandos franco-britanniques de l’île de Walcheren."

www.luciengourong.com 

Laloup laurent le mardi 23 octobre 2007 - Demander un contact

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Maurice, Jean, Louis Gourong

Laurent Laloup le vendredi 04 mai 2007 - Demander un contact

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Extrait de enguerrand.gourong.free.fr  

" Ange BARON, Paul PUILLON, Hyppolite MOBÉ, Élie NICLOT, Charles GALÈNE, Henri STÉPHANT et Maurice GOURONG préparent le projet de rejoindre l'Angleterre. Sous prétexte d'une pêche au thon, le voilier "Joie des Anges" est armé. Mais les Allemands ont vent du projet. Le bateau est fouillé et une carte d'Angleterre découverte. Arrêtés, ils sont rudement interrogés. Aucun ne dénonce le projet. Ils sont autorisés à partir. Après une escale à Concarneau où ils chargent de la glace, le 1er septembre, le "Joie des Anges" cingle vers la liberté. Ils sont mitraillés par un avion américain dont les balles traversent le pont. Puis surgit un contre-torpilleur anglais qui les arraisonne. 3 des marins passent à bord tandis que le reste de l'équipage est invité à se rendre en Angleterre par ses propres moyens. Tous signeront leur engagement dans les Forces Françaises Libres (FFL.).

Maurice s'engage dans les commandos. Après un entraînement forcené, il participe à plusieurs opérations. Blessé une première fois, puis soigné, il repart pour la Hollande. Avec ses camarades, il participe à la libération de Flessingue où il est tué, le 1er novembre 1944. Gwénaël Bolloré, écrit dans son livre "Nous étions 177": "J'aimais la compagnie de Gourong, breton sensible et secret qui avait le sens mystique du devoir...". Une rue du bourg de Groix porte son nom.

Il est sûr qu'il rencontra en Angleterre son cousin germain Léon Gourong, militaire de carrière, lui aussi dans les FFL. Il semblerait qu'il se soit marié au dernier moment, avant de, partir pour la Hollande, avec une jeune infirmière anglaise qui l'avait soigné. Il écrit qu'il a rendu visite à Leeds à une amie qu'il connaissait: "J'ai été reçu par ses parents comme le fils de la maison."

Laurent laloup le mercredi 14 février 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 19 mai 2019

 

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