Joannès Louis Henri Gourgout - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Joannès Louis Henri Gourgout



Naissance : 8 octobre 1914 - Saint-Rambert-d'Albon (26)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM15

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 74 ou 75 ans - 1989 -

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 265444

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22247

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Joannès Louis Henri Gourgout - son Livre ouvert !
 

GOURGOUT Joannes 1914 1989
Mis en ligne par : ploupi
Commune : Théoule-sur-Mer
Adresse : Place du Général Bertrand
Zone géographique : Alpes Maritimes, France
Catégorie : Monuments aux morts ou commémoratifs

Laurent Laloup le vendredi 08 mars 2019 - Demander un contact

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Béné Charles : Carnets de route d'un "rat du désert »

" Le lendemain, vingt-quatre décembre, nous arrivions à Ounianga où je retrouvais mon camarade le Sergent-chef radio Mathorel. Nous y passâmes le reste de la journée. Nous repar­tîmes pour Tekro dans l'après-midi du vingt-cinq décembre. Le Lieutenant Gourgout, chef du poste de Ounianga-Kébir nous accompagnait. Il avait pour mission de faire un relevé topogra­phique des zones traversées, susceptibles d'être empruntées par des véhicules automobiles. Le même soir nous arrivâmes à Tekro, petit fortin tenu par un sous-officier français et une section de tirailleurs. Nous y passâmes la nuit pour repartir le lendemain matin de bonne heure. C'est à partir de là que notre progres­sion se compliqua. Une haute falaise se dressait devant nous. Il nous fallut près de deux heures pour nous frayer un passage sur cinq à six kilomètres jusqu'au sommet de la falaise. Je me demandais en moi-même comment un convoi automobile pou­vait s'aventurer par là."

Laurent le mercredi 27 janvier 2010 - Demander un contact

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Béné Charles : Carnets de route d'un "rat du désert »

" Le Commandant Hous quitta Lageau le 24 décembre en compagnie du Lieutenant Combes, du Lieutenant Le Gall, le toubib, et de Michel Pecqueux le radio. Deux véhicules : un break et un camion. Au passage à Ounianga le Lieutenant Gourgout, le chef du pose, se joignit à l'expédition qui partit en direction du poste de Tekro, occupé par une Section de ti­railleurs. Tekro était le dernier point d'eau. Continuant vers le nord la reconnaissance arriva au Rocher Noir, point qui déli­mite la frontière avec la Libye sur la piste chamelière. Après une petite pointe vers le nord le Commandant Hous ordonna de faire demi-tour. Il devait rendre compte de sa mission au Colonel Leclerc le vingt-huit décembre au poste de Ounianga."

Laurent le mercredi 27 janvier 2010 - Demander un contact

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De Londres à la Tunisie, carnet de route de la France Libre , par Yves de Daruvar

" 3° OPÉRATIONS.
Le groupe nomade du Borkou (G. N. B.), compagnie portée, et le 3e peloton de notre D. C. sont à Domazé depuis la veille, car, à partir de Wour, ces détachements ont emprunté la piste d'A.-O. F., c'est-à-dire celle passant par les hauteurs de Tummo, piste plus praticable que celle de Kourzo. Aussi trouvons-nous, en arrivant au ;pied de la gara Domazé, les dix askaris du chouf italien prisonniers. Arrivé trop tard pour pouvoir participer à ce joli coup de filet, le peloton du lieutenant Gourgout, le mien, a encore la déception de rester momentanément à Ui'gh, comme réserve du colonel. Nous voyons partir avec envie le peloton du lieutenant Tommy-Martin (1) en direction d'Umm-el-Araneb, le peloton du lieutenant Dubut (2) en direction d'El-Gatrun, les voitures du G. N. B. et les chameaux du G. N. T. (groupe nomade du Tibesti) en direction de Tegerhi. Nous faisons tristement notre plein d'essence, notre plein d'eau et la vidange des mo­teurs. Le lendemain, 1" mars, à 3 heures de l'après-midi, nous entendons le bruit sourd du canon dans la direction de Tegerhi; nous comptons mélancoliquement les coups. Les opérations commencent pour nos camarades et il nous tarde d'entrer aussi" effectivement dans l'action.
Le 2 mars, à 3 heures du matin, ma patrouille est désignée...

1-Tué en Provence.
2-Tué comme capitaine dans les Vosges."

Laurent Laloup le mercredi 25 février 2009 - Demander un contact

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Mon grand père n'était pas un militaire mais un centralien qui est rentré dans la résistance puis finalement dans l'armée française auprès du général De Gaulle qui le libéra de ses fonctions militaires pour le rendre à la vie civile.

Aurélie Del Cont- Gourgout le vendredi 10 octobre 2008 - Demander un contact

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En photo dans le livre "L'odyssée de la Colonne Leclerc" de Didier Corbonnois (H&C éditeur)

Laurent Laloup le mercredi 27 août 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 08 mars 2019

 

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