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| Raymond Joseph Camille Gallian | |
Naissance : 30 novembre 1923 - Fayence (83)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Passage en Espagne : janvier 1943
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1943
Affectation principale : FAFL / parachutistes
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 2c
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 240393
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 20245 |
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Témoignage Un petit papounet qui n'a jamais manqué de courage. Il a surtout rarement évoqué sa jeunesse et son engagement dans les SAS britanique. C'était pour lui de trop mauvais souvenirs... Le feu, le sang, la douleur il en avait horreur. C'était associé au départ de sa maison de Faïence pour une traversé des Pyrénées périlleuses. Il a laissé ses parents et sa soeur. Zaza raconte, la larme à l'oeil, que leur Maman a partagé ce jour, ses bijoux entre ses 2 enfants. Donnant à Papa ceux qui avait le plus de valeur pour une négociation immédiate en prévision de son voyage jusqu'a Giblaltar.
Arrêté en Espagne et emprisonné au camp de Miranda pendant 6 mois il en garde un souvenir amusé. Les gardiens lui avait demandé sa profession et pour cacher ses compétence en mécanique qui l'aurait conduit a travailler aux usines d'armement il répondu " musicien, musicos ). Les gardiens ont compris " médicos " et l'on affecté comme médecin à l'infirmerie de la prison. Il a ainsi soigné les prisonniers pendant son séjour. Il a été ensuite conduit à Gibraltar dans le cadre d'échange de nourriture contre prisonniers avec les Aliés. De son entrainement avec les parachutistes Britanique en Ecosse il n'évoquait que la découverte des filles et la chaleur des pubs. Sa seule fierté lors de sa qualification commandos était de pouvoir choisir ses armes à sa guise. Il avait choisit le Colt 45 américain beaucoup plus puissant que les révolvers réglementaire Britannique. On voit bien sur la photo qu'il le porte et il m'avait raconté cette anecdote. Il avait aussi gardé des gadgets qui était dans les placards de la maison de Toulon. Je me souvient d'un appareil photo miniature affecté aux commandos. J'ai beaucoup jouer avec ces trucs. Il évoquait toujours les allemands avec beaucoup de respect. ( Y compris les allemandes. )))))".
Souvenir d'un père libre Erick GALLIAN le dimanche 08 juin 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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