Jean Louis Henri René Forsans - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Louis Henri René Forsans



Naissance : 1er aout 1915 - Vinh, Annam

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Matricules : 30.458

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 93 ans - 9 septembre 2008 - Dax (40)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 228850

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 19261


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St Athan 1940

Mon père Poizat Emile (Jacquier) est passé par St Athan avant de rejoindre la 1 ere CIA. Dans ses Photos celle ci de Forsans.



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René Poizat le mercredi 23 février 2022 - Demander un contact

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jean louis henri rené Forsans

je voulais juste dire que je pense être peut être une descendante plus ou moins éloigné de M. Jean Louis Henri René Forsans.

louise forsans le jeudi 03 février 2022 - Demander un contact

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BIENIAWIKA, Aleksandra Ramita
Naissance : 12 décembre 1915, Lec[h]ow, Pologne.
Résidence : Londres, Royaume-Uni.
Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage.
Date de déclaration : 27 juin 1945.
Conjoint : FORSANS, Jean Louis.
Mariage : 28 juin 1945, Londres, Royaume-Uni.
Remarque : "consulat".

Laurent Laloup le samedi 05 octobre 2019 - Demander un contact

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" Souvenirs de guerre
par Léon Wainstein (1916-1995)

En octobre 1937, je suis appelé sous les drapeaux à la 31e escadre à Tours, et me trouve affecté comme secrétaire au G.B.2. C'est le commandant Mailloux, un ancien compagnon de Mermoz, qui commande le Groupe et, c'est avec lui que je prendrai mon baptême de l'air, sur Bloch 200. Il disparaîtra dans une tragique collision au-dessus du terrain de Parçay-Meslay. Un an plus tard, je suis muté à l'école civile de pilotage de Royan Médis, où je serai nommé sergent. Je fais partie du personnel militaire d'encadrement.

Le départ vers l'Angleterre

Vers fin juin 1940, les Allemands sont aux portes de Nantes, et la nervosité commence à se faire sentir parmi le personnel. Mon camarade Allegret, que je trouve, un jour, à l'heure du déjeuner, me propose de l'accompagner à Agen où il allait effectuer une liaison aérienne. Nous décollons dans l'heure qui suit. ..."

www.francaislibres.fr 

St Athan 1940, de gauche à droite : Léon Wainstein Henri Boquillard, Forsans, Kacew et Daligot. (Photo origine inconnue)



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Laurent Laloup le mercredi 25 septembre 2019 - Demander un contact

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Dossier pour l'Armée de l'air

FORSANS Jean Louis Henri René grade lieutenant-colonel naissance 01/08/1915 fin service 01/08/1976 N. dossier DE 2015 ZL 171 384

Cristina le lundi 27 novembre 2017

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SOUVENIRS D'UN FRANÇAIS LIBRE 1940-1944
"JOIN THE FREE - FRENCH AND VISIT THE WORLD "
par Jean Forsans, Lieutenant-Colonel à la retraite (Armée de l'Air)
Matricule Français Libre: 30.458
Résumé réalisé par Jean-Paul Prulhière.

arcea-cesta.fr 

Jacques Brisset le dimanche 26 novembre 2017 - Demander un contact

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L’épopée d’un aviateur de la France Libre , par Yves Morieult



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Laurent le lundi 05 octobre 2009 - Demander un contact

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Oraison funèbre du Lieutenant Colonel Jean Forsans (13 septembre 2008)

" Il est des hommes dont la destinée est de vivre une existence exceptionnelle, originale, droite, belle, courageuse, Jean Forsans est de ceux-là.
Il appartient à une vieille famille landaise de Heugas qui, à la fin du 19° siècle doit s’expatrier…le grand-père Forsans obtiens donc un poste dans l’administration des douanes au protectorat du Tonkin ; ainsi, M. Forsans père, deviendra à son tour Administrateur des colonies et sera affecté en Annam. Son fils, Jean, naîtra donc à Vinh (Annam) le 1er aout 1915.
Ce garçon mène alors, jusqu’en 1939, l’existence dorée d’un jeune homme de la bonne société coloniale, tout en suivant, au Lycée de Chasseloup-Laubat de Hanoï, d’excellentes études.
Passionné d’aéronautique, il va profiter de la poursuite de sa scolarité en Métropole à Bordeaux, pour mener de front, des études de droit, la préparation au concours d’entrée à l’Ecole Coloniale et l’obtention du brevet de pilote civil.
La déclaration de guerre du 3 septembre 1939 le rejoint à Bordeaux.
Mobilisé, il rejoint l’Ecole de l’Air, repliée à Bordeaux et Mérignac et commence une formation d’élève pilote militaire. L’état d’esprit qui règne autour de lui ne correspond pas du tout à ses voeux, l’exode dont il constate les désordres le révolte ; de toutes ses forces, il désire continuer la lutte.
Prêt à toute éventualité, l’aspirant Forsans, porteur de tous ses papiers militaires, rode sur le terrain de Mérignac. Mi-juin, au petit matin, il rejoint un groupe de 4 silhouettes qui se dirigent vers un avion civil, un quadrimoteur BLOCH….le jeune élève pilote et ses camarades (4 officiers) empruntent l’appareil. Décollage, pleins à Lezinian, cap sur Alger…train sorti, du fait d’une avarie au décollage.
D’Alger, rejoint en POTEZ 540, l’Ecole de Chasse de Meknès (Maroc), où il entre officiellement le 21 juin 1940.
Ce n’est qu’une étape, obsédé par l’idée de rejoindre un théâtre d’opérations pour continuer le combat, mi juillet, avec un certain « de Cacew », élève pilote comme lui et qui parle parfaitement l’allemand et le polonais, il se mêle aux agapes d’un groupe d’aviateurs polonais rencontrés sur les quais de Casablanca…et c’est ainsi que Forsans et Romain Gary embarqueront clandestinement à bord du transport OAKREST et rejoindront Glasgow via Gibraltar.
Là, ils apprennent qu’un général français regroupe les volontaires…le 20 juillet 1940, le Sous lieutenant Forsans s’engage dans les F.A.F.L.
Jusqu’en novembre 1941, Forsans suit des cours d’élève pilote de bombardement à Odiham puis Shawbury et enfin, est désigné pour servir en renfort du Groupe « LORRAINE » qui combat en Lybie…
Les autorités britanniques ont prévu un acheminement par voie maritime. Le détachement, aux ordres du capitaine de Montal, fait escale à Freetown ; là, les aviateurs arrachent l’autorisation de tenter de rallier le Caire par avion-stop.
Le 3 février 1942, le détachement arrive au Caire. En Syrie, puis à Mombasa (Kenya), où il achève sa formation, le Lt Forsans est à nouveau désigné pour rejoindre l’Angleterre où se reforme le « G. Lorraine » durement éprouvé. Le 20 octobre 1942, il embarque donc à Mombasa sur le vieux transport de troupes « MENDOZA » pour rallier l’Europe.
Las, torpillés à deux reprises par un sous-marin allemand, les équipages du CNE de Montal parviendront malgré tout à toucher Durban après 2 jours et 2 nuits de mer éprouvants.
Après quelques heures de repos, ils reprendront leur périple, toujours par voie maritime, pour atteindre l’Angleterre le 19 décembre 1942.
Le 1er avril 43, le Lt Forsans est enfin affecté au « GpeL. » Squadron 342, comme commandant de Bord sur BOSTON III KING, bombardier bimoteur. Il va alors participer à toutes les missions du « Gpe. L. » jusqu’au 23 décembre 1943, où son appareil, gravement touché, il poursuit son bombardement à très basse altitude, puis ramène en Angleterre son avion hors service et son équipage.
Il est cité à l’ordre de l’Armée Aérienne par le général Giraud, commandant en chef.
Le 3 février 1944, au cours de l’attaque d’une rampe de V.1., l’arrière de son appareil, est sectionné par une rafale d’obus de 88 mm, explose…seul rescapé, le Lt Forsans chute au bout de son parachute. Au sol, il est immédiatement fait prisonnier par la Wermacht.
Conduit au Stalag Luft III, au sud de Berlin, le Lt Forsans prendra part à toutes les tentatives d’évasions de ce célèbre camp d’aviateurs alliés, mais la débâcle des forces allemandes les contraint à l’évacuation des camps et c’est finalement le 8 mai 45, que le Lt Forsans sera libéré, près de Lübeck, par l’armée britannique.
Il sera cité une seconde fois à l’ordre de l’Armée Aérienne, par le général de Gaulle.
De retour en France, promu capitaine, Jean Forsans poursuit son service…et court à Londres pour épouser une jeune polonaise rencontrée à bord du « Mendoza » en automne 1942 ; de cette union naîtra Christiane, dont les enfants sont ici présents.
Le Cne Forsans va servir dans diverses unités aériennes telles que le Groupe de liaison du commandant en chef en Allemagne, qu’il commande et le GPE de Transport « Touraine » puis major dans la RAF, avant d’être promu au grade de commandant le 1er mai 1952. En août 1954, le Cdt Forsans rejoint l’Indochine à Saïgon pour prendre le commandement d’un Groupe Mixte Hélicoptères. Il quittera l’Extrême-Orient en août 1955 pour une affectation en Algérie, à Boufarik au Groupe Mixte Hélicoptères n° 57, avant d’être envoyé en Tunisie assurer la direction du Poste de Contrôle Avancé n° 13/540, puis de tenir le poste de chef du 4° Bureau/Air, jusqu’en octobre 1958.
En décembre 1958, il sert à Brazzaville comme chef du 4° Bureau, jusqu’en janvier 1961, avant de revenir en France au Service Militaire de la Circulation Aérienne.
Le 1er août 1962, le LCL Forsans, bénéficie du congé de personnel navigant, son existence militaire prend fin.
Ultérieurement, en octobre 1963, Jean Forsans met toute son expérience au service du département « Militarisation » du commissariat de l’énergie atomique. Veuf depuis de nombreuses années, il épousera dans cette chapelle le 14 septembre 1968, Marie, dont le dévouement exemplaire et la présence attentive et constante à ses côtés doit être ici soulignée.
Pour avoir visité, ici, avec son épouse, Jean Forsans, je sais combien il aimait rencontrer ses semblables. De belle stature, il conservait des manières particulièrement courtoises et laissait deviner sa haute évaluation morale son goût des principes, son sens du devoir intacts. Il appréciait la conversation surtout lorsqu’elle s’orientait sur les sujets historiques ou aéronautiques. Modeste, il acceptait cependant de répondre aux interrogations sur son existence passionnante. Le Gpe « Lorraine » squadron 342, précisait-il toujours, était le moment fort de sa vie.
Les hommes intrépides qui, les premiers, ont, comme Jean Forsans rejoint les volontaires de 1940 ne l’ont pas oublié. Empêché, pour d’impérieuses raisons de santé d’être physiquement présent parmi nous ce matin, le délégué des Anciens de la France Libre, Louis Lasserre m’a confié son Drapeau, présent dans la nef.
Avant de conclure cet Adieu, permettez-moi de remercier les délégations nombreuses qui sont venues saluer un homme courageux au destin exceptionnel, en vous invitant à méditer l’exemple qu’il nous a laissé.
Le LCL Forsans, totalisait 2230 heures de vol, dont 500 entre 1940 et 1944 et près de 100 heures de vol de guerre, en 20 missions de bombardement. Il est :
Officier de la Légion d’honneur
Commandeur de l’Ordre National du Mérite
Titulaire de la Croix de guerre 19/45 avec 2 palmes
Médaille de la Résistance avec Rosette.
Hommage à un pilote des Forces Françaises Libres, le lieutenant colonel Jean Forsans.
Le président, au nom du bureau de section, présente à sa famille ses plus sincères condoléances.
René Tisserand "

unclandes 

laurent le lundi 14 septembre 2009 - Demander un contact

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<< Les sans culottes de l'air >> Du Général Valin et de François Sommer

" Toujours pour augmenter l'exactitude des bombardements, le commandement allié prescrit le lancement des bombes sur ordre, par radio du chef de chaque boîte, ce qui permet d'éviter l'hésitation des jeunes équipages.

Grâce à tous ces perfectionnements, les pertes sont sensiblement réduites durant les trois premiers mois de 1944, et les résultats s'améliorent considérablement.

Toutefois, le 8 février, une formation de douze Bostons du « Lorraine », attaquant une position de V1 près de Saint-Omer, se trouve prise dans une grosse concentration d'obus de 88 ; le tir est guidé par radar à travers les nuages. L'avion du lieutenant Forsans, ayant à bord ce jour-là un opérateur de cinéma de la R. A. F., reçoit de plein fouet un obus qui éclate dans la carlingue. L'appareil est coupé en deux, la queue tombe comme une masse, l'aile, dont les moteurs tournent encore, descend en virant sur elle-même comme une feuille morte et disparaît dans les nuages.

Le groupe qui fêtait ce jour-là le premier vol de guerre en Angleterre du colonel Pouliquen, revenu après avoir installé le « Normandie » en Russie, fut très affecté par la perte de cet équipage. Mais quelle ne fut pas la surprise et la joie de tous, un mois plus tard, en apprenant que Forsans était vivant!

Entré dans un gros nuage avec son avion désemparé, il se battait avec ses commandes sans savoir qu'elles ne gouvernaient plus. Il parle à la radio mais n'obtient pas de réponse, ni à l'avant, ni à l'arrière. Il sort des nuages, le sol se rapproche, il ouvre son habitacle, saute dans le vide et tire aussitôt la commande de son parachute. Il était temps! A peine la toile blanche s'était-elle épanouie au-dessus de lui qu'il prit brutalement contact avec le sol. Alors qu'après ce choc violent, il tentait de reprendre ses esprits, le voici entouré d'artilleurs allemands. Il était tombé droit sur la position de batterie de Saint-Pol, certainement celle-là même qui l'avait abattu !

D'ailleurs, cette batterie était célèbre dans l'aviation de bombardement alliée, pour la sinistre précision de son tir. Le jour où Forsans fut abattu à travers les nuages, dix avions furent sérieusement touchés, sur douze. Le lendemain, sur le même objectif, plusieurs Bostons étaient encore atteints; l'un d'eux rejoignit de justesse la côte anglaise et se posa, en perdition, sur le premier champ venu."

Laurent le dimanche 28 juin 2009 - Demander un contact

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" Je viens d’apprendre, par son épouse, la disparition d’un ancien du 342 Lorraine, décédé hier au soir dans sa 94ème année. Il s’agit de Jean FORSANS. Aspirant de réserve, pilote élève, il avait rejoint l’Angleterre dès juillet 1940. Breveté pilote multimoteur dans la RAF en août 1941, affecté en renfort au GB 1 Lorraine en Libye, après un long voyage maritime et aérien, il avait rejoint le groupe alors que celui-ci venait d’être mis au repos.
En O.T.U. au Kenya pendant l’été 1942, il fut réaffecté en Grande-Bretagne qu’il regagna par bateau avec 32 de ses camarades de stage, pilotes, navigateurs et radio-mitrailleurs. Son navire, le SS Mendoza, fut torpillé dans l’océan Indien le 1er novembre 1942. Par miracle tous les Français qui se trouvaient à bord s’en tirèrent sains et saufs après quelques jours passés dans des canots de sauvetage.
Après un stage de remise à niveau, le lieutenant FORSANS fut affecté au 342 Squadron Lorraine à sa création en avril 1943. Le 8 février 1944, il ne rentrait pas d’une mission de bombardement dans la région de Saint-Pol-sur-Ternoise, son Boston coupé en deux par la Flak. Il fut le seul survivant de son équipage, ses trois camarades étant tués dans l’affaire
De ces 33 aviateurs F.A.F.L. torpillés le 1er novembre 1942, au moins 19 furent tués pendant la guerre et la plupart des survivants disparurent ensuite au fil des ans, l’âge et la maladie aidant.
Monsieur FORSANS décédé ce 9 septembre 2008, seuls deux anciens du Mendoza sont encore de ce monde aujourd’hui, pour conserver en mémoire le visage et la voix de leurs camarades disparus.
Morieult

PS : Dans sa série sur les FAFL, la revue Icare (n° 166 de 1998 – FAFL tome 7) avait publié un article signé Jean FORSANS sous le titre : « Souvenirs d’un Français Libre 1940-1944 – Join the Free-French and visite the World »."

par Yves MORIEULT www.aerostories.org  

Laurent Laloup le jeudi 11 septembre 2008 - Demander un contact

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Romain Gary, Les promesses de l'aube

" Je débarquai à Casablanca place de France, où je rencontrai presque immédiatement deux élèves de l'École de l'Air, les aspirants Forsans et Daligot, à la recherche comme moi d'un moyen d'évasion vers l'Angleterre. Nous décidâmes d'unir nos forces et passâmes la journée à errer dans la ville. L'entrée du port était gardée par des gendarmes et il n'y avait pas trace d'uniforme polonais dans les rues : le dernier transport de troupes anglais devait être parti depuis longtemps."

Laurent Laloup le dimanche 31 août 2008 - Demander un contact

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9 septembre 1943

Extrait de : ddata.over-blog.com  

Quand Pierre MENDES FRANCE, avec le Groupe LORRAINE, bombardait le champ d’aviation de MONCHY BRETON (Pas-de-Calais)
Auteurs : Marcel et Alain BURIE (X84) (Cercle Historique du Ternois)

Le journal des opérations du Groupe Lorraine donne la liste des équipages (avec la lettre caractérisant l’avion, l’heure de départ et de retour) :

*A W/c de Rancourt F/l Oldham P/o Sinibaldi Sg Bagnalasta 13h46 15h30
*E S/l Gorri P/o Hennecart Sg Delfau Sg Duchossoy 13h46 15h30
*K F/o Forsans P/o Colcanap W/o Johanny Sg Bapst 13h47 15h31
*C F/l de Thuisy F/o Forat P/o Pernot F/s de Savy 13h48 15h31
*H F/o Lamy W/o Balcaen Sg Roussarie Sg Jouniaux 13h49 15h35
*G F/o Petit F/o Ghigliotti Sg Machecourt Sg Caillot 13h50 15h38
*O F/o Langer P/o Paturau F/s Gibert Sg Bourret 13h50 15h48
*N P/o Langer F/l Mendès France F/s Bauden Sg Krasker 13h51 15h50
*R P/o Laurent F/o Goldet F/s Luineaud Sg Dufau Hitou 13h51 15h52
*T P/o Rousselot F/o Mathis Sg Ehrman Sg Carrette 13h52 15h54
*V F/o Bernard P/o Saville F/s Dumont P/o Hincelin 13h52 15h55

Laloup laurent le jeudi 23 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 23 février 2022

 

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