| | | | | Un Français Libre parmi 62932 | | | Fernand Fayon | |
Naissance : 20 aout 1888 - Fours (58)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en mars 1943
Affectation principale : Résistance intérieure / Action
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 86 ans - 27 février 1975 - Dizy (51)Epoux de Germaine Pivert
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 219496
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 18497
Dossier Légion d'Honneur |
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Fernand Fayon - son Livre ouvert ! museedelaresistanceenligne.org
" Au printemps 1944 CDLR,
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Le secteur B était commandé par François du Perron assisté de Jean Cottard. Il comprenait 3 groupes :
- le groupe 4 d'Avize était dirigé par Fernand Rennesson.
- le groupe 5 de Vertus comptait deux centaines dirigées par Fernand Fayon, assisté par André Bonnet.
- le groupe 7 de Fère Champenoise avait pour chef militaire le gendarme Émile Richard et comptait deux centaines dirigées par Léon Coutier et Roger Arvois. ..."
GR 16 P 144975| COTTARD ( Jean )| 1907-04-16| Paris 11| Seine| FRANCE| FFi
GR 16 P 506029| RENNESSON ( Fernand )| 1887-03-06| Le Mesnil-sur-Oger| Marne| FRANCE| FFc FFi
www.cndp.fr
"... Les exécutions de la fin du mois d'août 1944 ont eu lieu presque toutes avant la libération et sur ordre de la résistance.
Citons celles qui furent revendiquées par CDLR : Madame LEULLIER femme de milicien et cuisinière à la Milice, décédée à la suite de l'attentat à la bombe contre le local de la Milice de Reims le 14 août ( 18 ), et les époux BOUDIN, libraires-papetiers accusés d'être des agents de la Gestapo, exécutés à Reims le 22 août ( 19 ).
Deux exécutions seulement sont intervenues au cours des journées libératrices proprement dites et ont fait l'objet de sanctions après la libération, dans la mesure où elles n'avaient pas été ordonnées par les responsables militaires de la résistance : le FFI André BONNET qui exécuta à Bergères-les-Vertus le 28 août, l'ingénieur électricien BERNARD accusé d'avoir dénoncé des résistants et d'avoir guidé la Gestapo lors d'une opération qui avait abouti à sept arrestations à Vertus , a été déféré devant une Commission militaire après la libération ( 20 ) ; le FFI qui, le 31 août, exécuta René AUGUSTIN de Champaubert-aux-Bois, accusé de trafic avec l'ennemi, a été condamné à deux ans de prison par le Tribunal militaire de la 6ème Région, le 20 décembre 1944 ( 21 ).
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Archives départementales de la Marne, M 5713. Rapport des Renseignements généraux du 22 janvier 1945.
Témoignage d'Élise GUYOT arrêtée par la Gestapo le 22 juin 1944 et déportée à Ravensbrück.
Témoignage de Pierre SERVAGNAT, chef des FFI de la région d'Épernay, recueilli en septembre 1993.
Philippe BOURDREL, L'épuration sauvage ( 1944-1945 ), tome 2, Paris, Perrin, 1991, p. 351 : « À Bergères-les-Vertus, M. Bernard ingénieur, père de six enfants, est assassiné et ses enfants sont contraints de creuser sa tombe ».
L'Union, 10 octobre 1944." Laurent Laloup le lundi 27 janvier 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"... Seul et unique survivant du bord, le Sgt Salter voit sa bonne fortune se poursuivre puisqu'il peut bénéficier du précieux concours de la population pour échapper à l'occupant allemand. C'est ainsi qu'il finit par être pris en charge par le mouvement Ceux de la Résistance qui couvre alors le secteur Sud-ouest du département de la Marne. C'est ainsi que dans son ouvrage La Résistance et les FFI dans l'arrondissement d'Epernay, l'auteur, le Capitaine Pierre Servagnat, alors responsable de la cellule CDLR-Marne, nous relate ainsi sa prise de contact avec Salter.
" Dans le courant de l'été [ NdW : en tout état de cause, pas avant le 6 septembre 1943 ], M. Fayon, de Vertus [ NdW : Fernand Fayon, chef du groupe n° 5 de Vertus, secteur B, qui comptera jusqu'à trois centaines sous ses ordres ], me fit savoir qu'il avait de nouveau recueilli un aviateur anglais : Hugh Salter. Ce dernier venait des environs de Vitry-le-François [ NdW : Vitry et St-Hilaire-le-Grand sont tout de même distant de 63 km ] et avait parcouru une partie du chemin à bicyclette.
Il avait déjà une fausse carte d'identité, ce qui lui avait permis de franchir avec succès un barrage de soldats allemands, ces derniers ne parlant ni anglais, ni français, et lui, ni français, ni allemand. Je partis chercher Salter en auto. J'avais, comme toujours, un solide revolver sur moi et nous fîmes la route sans encombre jusqu'à la maison, où j'installai confortablement notre ami [ NdW : au 73 avenue de Champagne à Epernay, au domicile même de M. et Mme Servagnat ].
Quelques jours plus tard, je le descendis chez Camille Rousseau [ NdW : propriétaire du café Billy ; membre de l'Etat-Major de l'arrondissement d'Epernay ; chef du secteur D ], puis, comme son départ traînait un peu en longueur, nous l'installâmes chez M. et Mme Gauché, qui le soignèrent et le couvèrent comme s'il était de leur propre famille. Il resta chez eux facilement un bon mois. Il partit alors avec un de nos convois pour l'Angleterre en vedette rapide. Malheureusement l'opération rata et notre ami revint à Epernay avec tous ceux qui voyageaient avec lui. Il séjourna encore chez Gauché, où il se trouvait au moment des arrestations d'Epernay. Il fut obligé de changer plusieurs fois de logis avant de repartir par une nouvelle filière ". ..."
Les pertes du Bomber Command dans le département de la Marne
olivier.housseaux.free.fr Laurent Laloup le samedi 28 décembre 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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J ai bien connu Monsieur FAYON et son épouse Fernande J'étais enfant, à Vertus (51) quand Monsieur FAYON était maire dans les années 50. Ma mère
Charlotte LABARRE, était directrice du centre d'apprentissage, succédant à Mademoiselle BOUVRIE partie en retraite. Des contacts fréquents, liés au travail, permirent de créer des liens, et je me souviens avoir entendu les récits d'évasion par la petite rivière passant derrière leur habitation, pour échapper à la gestapo qui venait les arrêter. Des souvenirs également du maquis et des feux allumés en forêt pour permettre aux avions de parachuter des munitions … des vivres ?. Après la guerre je me souviens être allé avec lui et son épouse, à la chasse à Coligny en 203 Peugeot!! Les Allemands avaient pris possession de leur habitation, et à leurs retours, ils trouvèrent un trou, dans une magnifique toile, du diamètre de tuyau de poêle installé par les allemands. Mon père, instituteur à VINAY a été arrêté par les allemands au cours d'une opération de dépôt d'armes en forêt et déporté à Mauthausen, où il est décédé le 16 novembre 1944. LABARRE Jacques le dimanche 03 novembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Histoire de la Résistance en France (2): L'armée de l'ombre : juillet 1941 ...De Marcel Degliame-Fouché, Henri Noguères, Jean-Louis Vigier
GR 16 P 492398| PROVENDIER ( Henri Damas )| 1896-11-21| Chartres| Eure-et-Loir| FRANCE| FFc FFi
GR 16 P 120282| CHARBEAUX( Gaston )| 1925-05-30| Villers-devant-Dun| Meuse| FRANCE
GR 16 P 120283| CHARBEAUX( Olivier )| 1912-10-08|||| FFi
GR 16 P 303563| JACQUELARD ( André Joseph )| 1908-12-10| Epernay| Marne| FRANCE|
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Laurent Laloup le dimanche 01 septembre 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Fernand Fayon ? "...Seul et unique survivant du bord, le Sgt Salter voit sa bonne fortune se poursuivre puisqu'il peut bénéficier du précieux concours de la population pour échapper à l'occupant allemand. C'est ainsi qu'il finit par être pris en charge par le mouvement Ceux de la Résistance qui couvre alors le secteur Sud-ouest du département de la Marne. C'est ainsi que dans son ouvrage La Résistance et les FFI dans l'arrondissement d'Epernay, l'auteur, le Capitaine Pierre Servagnat, alors responsable de la cellule CDLR-Marne, nous relate ainsi sa prise de contact avec Salter.
" Dans le courant de l'été [ NdW : en tout état de cause, pas avant le 6 septembre 1943 ], M. Fayon, de Vertus [ NdW : Fernand Fayon, chef du groupe n° 5 de Vertus, secteur B, qui comptera jusqu'à trois centaines sous ses ordres ], me fit savoir qu'il avait de nouveau recueilli un aviateur anglais : Hugh Salter. Ce dernier venait des environs de Vitry-le-François [ NdW : Vitry et St-Hilaire-le-Grand sont tout de même distant de 63 km ] et avait parcouru une partie du chemin à bicyclette. ..."
olivier.housseaux.free.fr Laurent le dimanche 20 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : C'est bien lui, son dossier Légion d'Honneur montre qu'il était de Vertus dans la Marne
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