Jean Le Dluz - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Le Dluz



Naissance : 20 février 1920 - Henvic (29)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

Courbet, Le Triomphant, marine Nouméa, Cap Illiaquer

Matricules : 5003 FN40

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Matelot chauffeur

Décès à 65 ans - 19 octobre 1985 -

Cousin d'Yves Marzin 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 187488GR 16 P 351958

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 4353ligne 8342

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 29749


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ou Jean Le Dlutz de Henvic ?

(dans l'Historique des FNFL : seulement un "LE DLUTZ Jean", né le 20.02.1920 (officiellement? ) à Henvic
Décédé le 19-10-85

Laurent le jeudi 05 novembre 2009 - Demander un contact

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Réponse :

Mais le Dlutz semble un nom beaucoup plus rare que le Dluz. Et puis c'est son cousin.


Jean Le Dlutz ?

" Parmi les huit fugitifs, il y avait trois marins confirmés. Quant aux cinq autres, nous étions plutôt jeunes, et le plus jeune, était mon cousin, Jean LE DLUZ.

Aucun bateau en vue. Le soir, nous nous sommes réfugiés, entre deux rochers, près de l’Ile de BREHAT.

A quatre heures du matin, nous avons été réveillés, par les pêcheurs de l’île, qui reprenaient la mer. Et ils nous ont dit, en breton, que les Allemands étaient déjà là. "

labarakadunffl40.over-blog.com 

Laurent le jeudi 05 novembre 2009 - Demander un contact

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Cousin d'Yves Marzin

" Individuellement, pour ne pas attirer l'attention des Allemands, déjà confortablement installés à CARANTEC et à ROSCOFF, nous nous sommes glissés au fond du bateau (Nous étions huit à vouloir partir, dont mon cousin Jean le DLUZ).
A midi, l'équipage est monté à bord, comprenant le propriétaire Jacques (prononcez Jaquesse) GUEGUEN, et deux, tout jeunes, de sa famille.
Moteur auxiliaire mis en route et départ, direction la mer, comme si nous allions à la pêche, en descendant la PENZEE, c'est probablement, ce qu'ont dû penser les Allemands, n'apercevant qu'un équipage de trois, et loin de se douter, qu'il pouvait y avoir une cargaison humaine clandestine, à bord. (QUI OSERAIT FAIRE UNE CHOSE PAREILLE ?)
Après avoir quitté la PENZEE (qui connaît des différences de marées de 7 mètres), nous avons commencé à connaître les joies du roulis et du tangage en pleine mer (La MANCHE, au mois de Juin, est souvent agitée).
Lorsque la côte n'a plus été en vue, nous nous sommes sentis de nouveaux êtres humains, libres pour tout dire, et nous avons enfin, pu discuter en toute tranquillité.
D'abord le nom du bateau: le POURQUOI PAS? Tout un programme. Jacques GUEGUEN avait navigué, pendant 15 ans, au service du Docteur CHARCOT, sur le POURQUOI PAS. Rentré au pays, c'est le nom qu'il a choisi pour son bateau de pêche: 11 mètres de long, voiles et moteur auxiliaire. La bonne coquille de noix bretonne. (Appris, à la fin du siècle, que c'était un sablier de 8 mètres 40 !)
Parmi les huit fugitifs, il y avait trois marins confirmés. Quant aux cinq autres, ils étaient plutôt jeunes, et le plus jeune était Jean le DLUZ, 16 ans à peine.

[..]

Mon cousin JEAN LE DLUZ, avec qui j'étais parti en ANGLETERRE en l940, sur le" POURQUOI PAS?", est actuellement en BRETAGNE, à HENVIC. La guerre l'a conduit, jusqu'en NOUVELLE CALEDONIE, où il s'est plu, à tel point, qu'il a épousé une fille du pays, qu'il est venu présenter à la famille, avec l'intention de retourner là-bas. "

Jacques Ghémard le mardi 03 juillet 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 05 novembre 2009

 

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