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| Charles Henri Deguy | |
Naissance : 5 janvier 1910 - Paris 16e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en aout 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / Saint Jacques
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 32 ans - 29 juillet 1942 - Suresnes (92)
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 165844
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 14182 |
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Charles Henri Deguy - son Livre ouvert ! Normandie 1939-1944: Le temps des épreuves - De Raymond Ruffin GR 16 P 23712 | AUSSANNAIRE (Pierre) | 1914-04-19 | Vernon | Eure | FRANCE | FFc
GR 16 P 311797 | JOUACHIM (Gabriel) | 1910-02-11 | Bonneval | Eure-et-Loir | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 73637 | BORDERIEUX (Louis) | 1921-12-13 | Paris 15 | Seine | FRANCE | FFc
GR 16 P 353878 | LE FLEM (Paul Cyprien) | 1908-10-07 | Pont-l'Abbé | Finistère | FRANCE | FFc FFi DIR
GR 16 P 485242 | PONCHEL (Yves Léopold Jacques Raymond) | 1910-04-24 | Paris 16 | Seine | FRANCE | FFc DIR 
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Laurent Laloup le mardi 11 avril 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"... Duclos poursuit sa mission et se procure de précieuses informations sur les moyens et la logistique des Allemands. A la fin d'août, il a rempli sa mission et il peut structurer fermement les assises de son réseau. A la mi-août 1940, le siège de l'organisation clandestine de Saint-Jacques est située place Vendôme à Paris, au siège de la "société Duclos", une société familiale de courtiers assermentés au tribunal de commerce de la Seine. Son cousin André Visseaux et Lucien Feltesse, des employés de l'entreprise, rentrent dans le tout jeune réseau. Le recrutement d'hommes et de femmes est assez rapide, fondé sur l'amitié et la confiance de familiers ou de très proches. Duclos, dont le subordonné est Charles Deguy, est directement à la tête de trois sous-réseaux : le sien, ceux de Raymond Feltesse et de Jean Vérines. ..."
Laurent Laloup le vendredi 03 mai 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Aux services de la République : Du BCRA à la DGSE - Claude Faure "Chargés d'une mission de renseignement, Boris Beresnikoff (Corvi-sart) et Maurice Duclos (Saint-Jacques) rejoignent la métropole. Au bout de quelques semaines, aidé par Jean Vérines, Raymond Feltesse et Charles Deguy, Maurice Duclos met en place le réseau Saint-Jacques, qui deviendra une importante source d'informations pour le SR français. Entre-temps, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le général de Gaulle paraphent, le 7 août, un texte portant officiellement création d'une force française militaire, soutenue matériellement et financièrement par le gouvernement britannique. Quatorze jours plus tard, le chef de la France libre est condamné à mort par contumace par le gouvernement de Vichy." laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"Dés juin 1940 le général de GAULLE ressent la nécessité de posséder des réseaux de renseignement en France occupée. Très tôt il confie cette mission à des officiers qui se présentent à Londres et acceptent de repartir en France dans la clandestinité pour organiser ces réseaux. Ainsi se constitue un découpage en trois secteurs
* un réseau chargé de surveiller les côtes de la Manche, le Nord de la France, Paris et Tours ;
* un réseau chargé de la côte atlantique ;
* un réseau en zone non occupée.
* Le lieutenant d'artillerie coloniale Maurice DUCLOS débarque en Angleterre le 21 juin, il porte le numéro 6 des officiers de la France Libre et rentre en résistance sous le nom de capitaine Saint Jacques. Il rejoint la France le 4 août 1940 et à peine débarqué sillonne à bicyclette les côtes du Calvados afin de transmettre à Londres l'importance des troupes rassemblées afin de préparer l'invasion de l'Angleterre par les troupes du Reich. Ces renseignements seront capitaux dans la réussite de la bataille d'Angleterre.
* De retour à Paris, Saint Jacques s'attelle à la mise en place du réseau demandé par le général de Gaulle et Churchill. Très vite il constate que des réseaux existent déjà qu'il lui faut avant tout fédérer.
* un premier sous-réseau dirigé par un officier belge assure les relations entre Paris et la Belgique ;
* un deuxième sous-réseau, très actif, a été organisé par Charles DEGUY, un ami de Saint Jacques. Ce réseau organise des systèmes de rotation en voiture pour faire franchir la ligne de démarcation à des aviateurs abattus au nord de la France.
* Enfin un troisième sous-réseau s'est organisé à la caserne de la Garde Républicaine du Prince Eugène. Il existe notamment une filière courrier à destination des Landes dont plusieurs sous-officiers sont originaires. Fort de ces premières initiatives, Saint Jacques vas organiser ces moyens afin de constituer un réseau de renseignement. Dans cette optique il rencontre le chef d'escadron VERINES, qui commande la caserne de gardes républicains du Prince Eugéne. "
mairie.malemort  Laloup Laurent le vendredi 15 mai 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.france-libre.net 
Les réseaux FFL
"..Arrivé à Paris, Saint-Jacques prend contact avec quelques amis sûrs. Charles Deguy sera son adjoint et dirigera le P.C. Marcel Halbout s’occupera de la Normandie. Lucien Feltesse (alias Jean Boulard) utilisera ses relations parmi les Anciens Combattants belges et sera chargé du Nord, Pas-de-Calais, Somme, et éventuellement la Belgique.
...En Juin 1941, Mulleman, qui s’est fait arrêter au passage de la ligne de démarcation, accepte de travailler pour l’ennemi qui, dès lors sera tenu au courant de tous les messages émis et reçus et en plus émettra des textes que lui remettront les services allemands. Mais Mulleman, se sentant soupçonné déclenche la catastrophe. Une première vague d’arrestations, le 8 août 1941, frappe entre autres, Charles Deguy, Marcel Halbout, Lucien Feltesse.
Deux mois après, nouvelle série d’arrestations due cette fois à l’agent double André Folmer, alias Richir, alias Albert. Le P.C. et la centrale de la rue Washington sont anéantis. Les sous-réseaux Normandie (Halbout) et Jean Boulard (Feltesse) sont disloqués, de même que le sous-réseau Rivière (Louet); ce dernier pourra toutefois éviter l’arrestation et gagner l’Afrique du Nord.
Charles Deguy sera fusillé au Mont Valérien, le 29 juillet 1942, en même temps que son agent de liaison Roger Pironneau, âgé de 19 ans. Le commandant Vérines, arrêté en octobre 1941, sera fusillé en octobre 1943 mais son sous-réseau continuera à fonctionner jusqu’à la libération, sous la direction de Jacques Daroussin assisté d’Émile Pinoy et de Charles Deketelaere. Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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