André Marcel Coupât - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Marcel Coupât



Naissance : 23 juillet 1920 - Saint-Ouen-sur-Seine (93)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en octobre 1940

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

Président Théodore Tissier, Lobélia

Matricules : 4506 T37 1574 FN40

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : second maître détecteur

Décès à 84 ans - 21 avril 2005 - Toulon (83)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 146732

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 3514

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 12746


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Les corvettes de la France Libre, de Pierre de MORSIER

Le second maître radio Deby ayant dû retourner sur le Léopard, d'où il venait, j'ai eu la chance supplémentaire de découvrir chez son remplaçant, le second maître radio Coupât, une compétence et un talent de bricoleur qui lui permettent de comprendre rapide­ment — après les stages convenables — notre appareil R.D.F. et d'effectuer avec aisance les nombreux dépannages toujours nécessaires, substituant parfois certains éléments de son cru aux pièces en avarie dont le rechange n'existait pas à bord.
Grâce à ces deux radios remarquables nous n'aurons que rarement notre R.D.F. en panne définitive et nous pourrons utiliser pleinement cet appareil sensa­tionnel.

Laurent le samedi 27 février 2010 - Demander un contact

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"Les escorteurs de la France libre" BERTRAND Michel

" A bord de la Lobélia, le second maître André Coupât, fier de sa science de la détection, est chargé du radar. Il a déjà fait la preuve de ses qualités de vigilance, alliées à un sang-froid et une présence d'esprit peu communes.
— Mousse, branche l'écran, lance-t-il familièrement au mate­lot électricien Jean Franceschi son adjoint, jeune garçon d'un cran à toute épreuve et à qui on peut faire une entière confiance.
— Que voyez-vous, chef ? interpelle de son poste l'officier asdic Marc de Saint-Denis, dont le visage piqué de taches de rousseur s'encadre dans l'embrasure qui fait communiquer le poste central et la passerelle.
— Des échos, mais rien de net, répond Coupât. Rien de pré­cis pour l'instant.
L'enseigne de vaisseau, espérant avoir plus de chance du côté des profondeurs où opèrent les redoutables U-Boote, rejoint son opérateur le radio breveté Jean Lanzi. A eux quatre, ils forment une solide équipe sur qui repose le sort du bâtiment. Une erreur d'interprétation, un instant d'inattention et ce serait, très vite, le trou dans l'eau !
Jusqu'au 4 février, tout se passe bien. Ce jour-là, la situation se gâte.
La Lobélia arrive dans la zone de chasse des sous-marins, comme le montre la carte sous les yeux du commandant. De Morsier vient de prendre une heure de repos sur la couchette qu'il a fait aménager dans la chambre des cartes, située tout près du bloc-passerelle, prêt à bondir pour donner des ordres. L'atmosphère s'alourdit. Depuis quelques mois les sous-marins attaquent par meutes, s'acharnant à quinze ou même vingt sur un convoi, la nuit de préférence pour mieux échapper aux repé­rages et aux poursuites.
Marc de Saint-Denis a les mêmes pensées que tous.
— Ils vont attaquer sûrement cette nuit, murmure-t-il à Coupât.
Il est 21 heures. Soudain l'asdic révèle un écho :
— Venez voir, lieutenant, je crois qu'on en tient un. L'officier se précipite, pas de doute, sur l'écran, à moins de 2 milles, ce ne peut être qu'un sous-marin qui cherche à se"

L. Laloup le mardi 15 avril 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 27 février 2010

 

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