Fernand Eugène Chancoin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Fernand Eugène Chancoin



Naissance : 17 juillet 1911 - La Pouëze (49)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient

Engagement dans la France Libre : Palestine en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BIMP

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent

Décès à 49 ans - 14 février 1961 - Angers (49)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 118776

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 24

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 10477

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MRF

Medaillé de la Resistance Française : D 24/04/1946 - JO 17/05/1946

LEMOINE Germain le dimanche 18 décembre 2022 - Demander un contact

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Né le 17 juillet 1911 - La Pouëze
Décédé le 14 février 1961 - Angers, 49000, France, à l'âge de 49 ans

Laurent Laloup le jeudi 16 janvier 2020 - Demander un contact

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Source : 

AVEC LA 1ère DIVISION FRANCAISE LIBRE
DU PREMIER AU DERNIER JOUR
DANS LES RANGS DU 1er BATAILLON D'INFANTERIE DE MARINE (B.I.M.)
ET DU BATAILLON D'INFANTERIE DE MARINE ET DU PACIFIQUE (B.I.M.P.)
1940 – 1945
Récits
Souvenirs
Témoignages
Albert PIVETTE

"...Au cours de la traversée, le navire fut torpillé par un sous-marin anglais qui, bien entendu, ignorait ce qu'il transportait. Dans l'affolement général, ce fut le sauve-qui-peut, les hommes valides sautèrent à l'eau, les blessés restèrent à bord. Le navire ne coula pas et parvint tant bien que mal à atteindre la côte grecque, mais tous ceux qui avaient sauté à l'eau se noyèrent. Chancoin fut parmi les 4 000 rescapés et fut interné dans différents camps.

Au cours d'un transfert, il sauta du train en marche en tentant de s'évader, se brisa une jambe et fut repris. Il fut par la suite envoyé dans un camp de prisonniers en Italie à la faveur du débarquement des Alliés en Italie et de la déconfiture de Mussolini. Il parvint à s'évader et à passer en Suisse. Il y fut à nouveau interné, s'évada de nouveau après le débarquement de Provence le 15 août 1944 et il parvint à rejoindre la compagnie arrivée à Lyon… Il continua le combat jusqu'à la victoire mais, en raison de son titre d'ancien prisonnier et des risques s'il était à nouveau capturé, il fut affecté au service de ravitaillement. Peut-on faire mieux ?..."

laurent le dimanche 03 janvier 2016 - Demander un contact

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Fernand Chancoin

Médaille :
médaille des évadés, avec lettre de félicitations
Source : revue de la France Libre, janvier 1948

Laurent le mardi 15 décembre 2015 - Demander un contact

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mise a jour

votre récit est loin d'être juste
Cordialement

JJ CHANCOIN

jean jacques chancoin le samedi 16 juillet 2011 - Demander un contact

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Réponse :

C'est le récit de Koenig

Vous pouvez indiquer la version que vous connaissez.

Jacques Ghémard


rectification

origine geographique : Maine et loire FRANCE

chancoin jean-jacques le vendredi 22 août 2008 - Demander un contact

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Réponse :

Non, il était au Moyen orient avant de passer à la France Libre


rectification

ne a LA POUEZE 49

origine sociale : MILITAIRE

chancoin jean-jacques le jeudi 21 août 2008 - Demander un contact

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Réponse :

Merci !


Extrait de BIR HAKEIM, du général Koenig

"Les sous-officiers et les hommes de troupe furent pour la plupart évacués de Benghazi le 15 août après avoir vécu dans des conditions déplorables, rongés par la vermine et peu nourris. Embarqués sur le « Nino-Bixio » avec environ 7 000 prisonniers, ils furent torpillés le 17 à 4 heures de l'après-midi par un sous-marin anglais, à 40 km de la côte grecque. Au cours de ce torpillage, 400 Anglais furent tués et 140 volontaires français libres disparurent en mer. Les survivants furent dirigés sur la Grèce, où ils abordèrent au port de Pilos puis à Fatras, ensuite vers l'Italie. Durant ce trajet l'adjudant Goubin, de la 101e compagnie auto, qui était entré le 8 à l'aube à Bir-Hakeim avec un convoi de ravitaillement et avait été fait prisonnier au cours de la sortie après que son pick-up eut été mis hors d'usage, s'évada du train avec trois de nos amis, Duval, Martinet et Chancoin. En sautant du train, Martinet tomba malencontreusement sur la tête et resta évanoui. Chancoin se fractura la jambe. Le train stoppa, les buissons furent fouillés et au bout de trente heures de recherche, les évadés furent trouvés par un paysan grec qui les remit aux Italiens. Ils firent le trajet de Fatras à Bari, maltraités, insultés , menottes aux mains. Comme beaucoup de nos infortunés camarades, ils errèrent de camp en camp : Altamura, puis à Bergamo, le camp 62, où ils reçurent avec joie des colis de la Croix-Rouge britannique. Goubin déclara par la suite qu'ils mourraient de faim littéralement. Le 10 septembre 1943, Goubin et ses trois compagnons s'évadèrent comme beaucoup le firent à l'approche des Allemands, en profitant du désordre amené par le débarquement en Italie. Ils restèrent huit jours au milieu de formations de résistance italiennes qui s'étaient improvisées un peu partout. Le 22 janvier 1944, ils passèrent en Suisse où ils restèrent jusqu'au 8 août surveillés dans un camp militaire. Le 8 août ils traversèrent le col des Houches et gagnèrent la France. Ils s'engagèrent immédiatement dans une compagnie de FTP, la compagnie 93 A 16, cantonnée au Carroz. Ils participèrent le 17 août à la libération des Cluses puis en Savoie aux opérations d'Aiguebelle et de la Maurieiine. Ils furent témoins d'atrocités sans nom commises par les occupants. Après un séjour à l'hôpital au Carroz, Goubin, qui avait perdu ses trois camarades, fut envoyé le 6 octobre par avion d'Annecy en Angleterre, où il donna au BCRA les renseignements qu'il possédait.
Pour eux et comme pour beaucoup d'autres, la captivité fut insupportable et ils n'eurent de cesse de s'évader et de reprendre la lutte. Quelques-uns eurent la même chance que Goubin et se mêlèrent aux formations de résistance étrangères ou françaises. Le séjour dans des camps de prisonniers n'avait pas abattu leur ardeur et c'est pourquoi des exemples aussi exceptionnels doivent être rapportés. Ils donnent la vraie mesure de nos hommes."

Laurent Laloup le lundi 27 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 18 décembre 2022

 

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