Jean Léon Marcel Candelot - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Léon Marcel Candelot



Naissance : 11 mai 1922 - Vivier-au-Court (08)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1943

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

Médie II, 1er RFM

Matricules : 1437 C39

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : quartier-maître fusilier

Décès à 72 ans - 25 juillet 1994 - Ventenac-Cabardès (11)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 103957

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 2513ligne 2581

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 9285


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Jean Léon Marcel Candelot - son Livre ouvert !
 

Nom : CANDELOT
Prénom : Jean Leon Marcel
Sexe : M
Jour de naissance : 11
Mois de naissance : 05
Année de naissance : 1922
Code insee naissance : 08488
Commune de naissance : Vivier-au-Court
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 25
Mois de décès : 07
Année de décès : 1994
Code insee deces : 11404
Commune de décès : Ventenac-Cabardès
Pays de décès : FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le jeudi 18 novembre 2021 - Demander un contact

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Décorations arborées par Jean Léon Marcel Candelot

Bonjour à tous,

En complément de l'identification, par Yves Morieult, des décorations arborées par Jean Léon Marcel Candelot sur la photo communiquée ci-dessous par son fils ainé Jean-Louis Candelot, je ne pense pas que la deuxième rangée de médailles soit fantaisiste :

- la première, bien que très ressemblante, ne doit pas être la Médaille Interalliée dite de la Victoire relative à la guerre de 14-18 puisqu'il est né en ... 1922. Il s'agit plus probablement de la Médaille de la France Libérée dont le ruban était également arc-en-ciel, mais avec des couleurs inversées (le coloriste de la photo a dû se tromper).

- Quant à la deuxième médaille, c'est effectivement la Médaille des Internés et Déportés de 14-18 mais sa présence n'est pas surprenante car bon nombre d'ex-prisonniers de 1940 se la sont auto-attribuée.

- Enfin la troisième médaille est indiscutablement la Médaille non-officielle des Engagés Volontaires qui comportait bien un ruban vert à liserés jaunes.

Félicitations à Arno pour son diorama mettant en scène Jean Léon Marcel Candelot qui est visible sur la page 

Cordialement

Frédéric BISCARRAT le mardi 03 décembre 2019 - Demander un contact

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Décoration

Il s’agit d’une photographie noir et blanc qui a été colorisée ce qui
complique un peu l’identification des médailles. Heureusement l’avers
des médailles est très lisible.

De gauche à droite, au 1er rang :
1 - Croix de guerre 1939-45 avec deux étoiles correspondant chacune à une citation.
2 - Insigne des blessés (non réglementaire mais tolérée. Une blessure est réglementairement
signalée par une étoile rouge sur le ruban de la médaille commémorative de la campagne)
3 – médaille Coloniale avec une agrafe.

2ème rang :
Médaille interalliée de la victoire pour la guerre 1914-18.
Médaille des personnels civils déportés et otages pour 1914-18.
Médaille non identifiée. « Femme en buste avec casque » : plusieurs médailles avec cette figure mais le ruban ne correspond à aucune décoration connue si tant est qu’il soit correctement coloré.

L’insigne d’unité, sur la poche droite, est bien celui du 1er RFM. Il existe une amicale de cette unité.

A mon humble avis, cette photographie, manifestement « posée » et prise en studio, est caractéristique. Il est fort possible que l’opérateur ait ajouté, en deuxième rangée, des médailles diverses qu’il avait dans un tiroir. On en connaît aussi avec des uniformes fantaisistes.

Compte tenu de ses campagnes (1ère division Française libre) votre père pouvait prétendre au moins, aux décorations suivantes :
Médaille de la campagne d’Italie : Loi du 1er avril 1959.
Médaille commémorative de la guerre 1939-45 : Décret du 21 mai 1946.
Croix du combattant, automatique lorsque l’intéressé est titulaire du certificat et de la retraite du combattant.
(Sources : « Bulletin officiel du ministère de la guerre – éditions méthodiques – 2 volumes, arrêtés au 1er janvier 1956. »)

MORIEULT Yves le samedi 23 avril 2016

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Recherche ses medailles

Je voudrais avoir les différentes médailles que mon père a eu pour souvenirs, ou les différents appellations de ces médailles, si quelqu'un peut m'aider de ce côté la, je suis le 2ème fils de jean et je vis en Polynésie, mon gd frère est decede depuis 1an et ma sœur suzelle vit en France, merci à celui qui peut m'aider

Candelot denis'roger le samedi 23 avril 2016 - Demander un contact

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Mon hommage

Bonjour

Je suis un simple maquettiste et grand amateur de l'Histoire de la seconde guerre mondiale et je tenais à rendre un hommage particulier aux hommes ayant participé aux derniers combats pour libérer le sol français dans le massif de l'Authion.
Ainsi je suis en train de réaliser un diorama mettant en scène cet Obusier n°215, conduit par vôtre père. 
Ce n'est pas grand chose par rapport aux sacrifices fait par tous ces hommes croyant en l'idée d'une France libres mais j'essaye d'y apporter ma petite pierre.
Bien cordialement

Arno le lundi 07 avril 2014 - Demander un contact

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Photo dernier char à combattre dans l'Authion

Une photo dans l'attente des mémoires posthumes de mon père en cours d'édition.



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Candelot Jean Louis le mercredi 07 mars 2012 - Demander un contact

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Précisions diverses sur mon père

Nom : CANDELOT

Prénoms : Jean, Léon, Marcel

Né à Viviers-au-court (Ardennes)le 11/05/1922

Quartier-maître fusilier-marin du 1er RFM. Blessé le 19 mai 1940 sur son navire bombardé à Dunkerque ,fait prisonnier sur son lit d'hôpital par les Allemands. Dix-huit mois de captivité en Allemagne, dont stalag disciplinaire. Libéré après Mers-el-Kébir ; affecté à Dakar sur le croiseur Gloire, puis sur le paquebot Médie II où il fait du renseignement pour les FFL.Déserte du bord à Casablanca et rejoint la Tripolitaine avec quelques autres volontaires pour s'engager à Zuara pour la durée de la guerre à la première section du 1er Régiment de fusiliers-marins. Fera toute la campagne d'Italie, débarquement de Provence, Autun, Alsace sous le commandement de Colmay. Termine les combats comme conducteur de char destroyer dans le massif de l'Authion.



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Candelot Jean-Louis (son fils aîné) le samedi 28 mai 2011 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 18 novembre 2021

 

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