René Victor Briquet - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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René Victor Briquet



Naissance : 16 septembre 1912 - Saint-Léonard-de-Noblat (87)

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1941

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant chef

Décès à 69 ans - 22 septembre 1981 - Rioux (17)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 91506

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8268

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René Victor Briquet - son Livre ouvert !
 

René Victor BRIQUET

Né le 16 septembre 1912 - , Saint-Léonard-de-Noblat, 87161, Haute Vienne, Limousin, France
Décédé le 22 septembre 1981 - , Rioux, 17298, Charente Maritime, Poitou-Charentes, France , à l’âge de 69 ans

Laurent Laloup le mardi 07 août 2018 - Demander un contact

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Photo de René Briquet et mémoires Briquet et Amelin

Mémoires de deux évadés par la Russie. Leur rédaction en fut commencée par René BRIQUET, mais à la suite de son décès, son camarade Jean GUGENHEIM (RA) demanda en 1990 à Albert AMELIN, qui avait partagé une partie de cette odyssée avec René BRIQUET, d’en terminer le récit.
Dans le premier épisode, René Briquet, fait prisonnier près de Loos en mai 1940, relate les conditions de son transfert et de sa première détention en Allemagne, puis en Pologne d’où en janvier 1941 il décidera de tenter son évasion par la Russie...
Second épisode de la saga des "Russes" : l’évasion est enfin tentée et réussie.. nos quatre évadés s’attendent à se retrouver à Moscou où ils seront remis - croient-ils- à l’Ambassade de France... mais la déception sera cruelle... ils la méditeront durant près de trois mois dans la prison infecte de Balystok.

1dfl.fr 



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Roumeguere le mercredi 24 janvier 2018 - Demander un contact

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jacques mantoux memoires 1939-19 45 - xresistance.org 

" René Briquet, adjudant, fait prisonnier en 1940, s'est trouvé dans un camp proche de la frontière (déplacée) de l'URSS, demeurée neutre. Comme beaucoup d'autres, il la traverse et est aussitôt jeté en prison comme suspect. L'initiative courageuse de l'un d'eux, le capitaine Billotte (plus tard général) facilitera leur recensement. Après de laborieuses tractations menées de Londres après l'entrée en guerre de l'URSS, cela aboutira à leur libération : 185 hommes de tout grade sont ramenés en Angleterre, via Arkhangelsk et l'Arctique. La plupart sont réexpédiés sur le Caire en faisant le tour de l'Afrique. Briquet et plusieurs autres arrivent au 1er RA à temps pour participer à la bataille victorieuse d'El Alamein, septembre 1942.
Les autres sous-officiers, sont principalement métropolitains, et engagés depuis longtemps. Lucien Jauffret est d'Alexandrie ; André Certa, de Tunisie. La moitié des hommes de troupe est "européenne", tout en comprenant un petit groupe de Tunisiens (Jacob, Naïm, Taouss), un Pondichérien (Mariannie), deux Mauriciens (Sidney Lorquet et Luc Comarmond), sujets anglais d'origine indienne, mais francophones et francophiles. L'engagement de ces Mauriciens, - un contingent notable au 1er RA même, -me paraît particulièrement touchant.
Selon la logique du règlement de notre armée coloniale, qui n'est pas "européen" est indigène. C'est ainsi que sur cette terre de Tunisie, nous comptons dans notre effectif de 105 humains, environ 55 africains de toute provenance : Saras du Tchad en grand nombre d'abord, les grands anciens de la troupe FFL, pour qui j'ai aussitôt un respect particulier ; mais aussi un cuisinier soraalien, Issa, musulman pratiquant ; un gradé du Congo ou de l'Oubangui-Chari, Digui N'Dolo, un jeune camerounais aux dents d'or, Adjim Kounda ; une dizaine de soudanais (on dit aujourd'hui "maliens") sénégalais et guinéens tout jeunes (Classe 1942) nous arrivent en renfort au dernier moment."

Laurent Laloup le dimanche 12 novembre 2017 - Demander un contact

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Médaille des évadés.

BRIQUET (René) :

« Militaire des ex-Forces françaises libres (Détachement du commandant Billotte) camp d’Old Dean (Angleterre) fait prisonnier pendant la campagne de France, s’est évadé d’un camp de prisonniers en Allemagne et a réussi à traverser la frontière russe. Après un internement en Russie, a rejoint les Forces françaises libres et a repris les armes en vue de la libération de la patrie »

Citation à l’ordre de l’armée accordant la Croix de guerre avec palme, avec attribution de la médaille des évadés, par décret du 25 février 1946, signé Félix GOUIN, président du gouvernement provisoire de la République française, publié au journal officiel de la République française du 26 mars 1946 (Page 1252 et 1253 G.). Décret comprenant 164 noms sur les 186 du détachement du Billotte.

Extrait de la biographie du général Pierre BILLOTTE (1906-1992), Compagnon de la libération, sur le site   :
« Après plusieurs séjours à l’hôpital, il est interné à l’Oflag II D en Poméranie d’où il parvient à s’évader avec deux compagnons et à rejoindre l'URSS, le 1er février 1941. Considéré comme espions potentiels par les Soviétiques, ils sont jetés en prison à Kaunas avant de retrouver, en avril 1941, environ deux cent autres militaires français évadés d’Allemagne, regroupés dans un camp de prisonniers au sud de Moscou. Les Français s’organisent sous l’autorité du capitaine Billotte, qui est alors l’officier le plus gradé.
Les Français demandent à rejoindre la France libre et, en raison de l’agression allemande du 22 juin 1941, parviennent à convaincre les Soviétiques de leur faire gagner l'Angleterre. Le 30 août 1941, le capitaine Billotte embarque sur le Empress of Canada avec 185 camarades et rejoint, par Arkhangelsk et le Spitzberg, l’Angleterre, le 9 septembre 1941. »

Yves MORIEULT le vendredi 28 juin 2013

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René Briquet

Renseignement extrait de Prisonniers de la liberté : l’odyssée des 218 évadés par l’URSS, de J.-L. CRÉMIEUX-BRILHAC :

Grade et profession en 1941 :
Sous-officier
Charcutier

Laurent Laloup le samedi 21 février 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 07 août 2018

 

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