Gabriel Branier alias Lacroux - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Gabriel Branier alias Lacroux



Naissance : 30 décembre 1904 - Toulouse (31)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Grande Bretagne

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / 13 DBLE

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Décès à 37 ans - 24 octobre 1942 - Himeimat, El Alamein, Egypte

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 87857

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 7944ligne 7945

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Gabriel Branier alias Lacroux - son Livre ouvert !
 

Acte de naissance au nom de Lacroux

pas de mention marginale

Fils de François Lacroux et de Marie Bories

ARCHIVES MUNICIPALES DE TOULOUSE-1E616 - vue 772_994

Donc soit il a pris comme alias et date de naissance l'identité d'un autre, soit son "alias" est son nom et inversement



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Jacques Ghémard le lundi 22 avril 2019 - Demander un contact

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Himeimat

"Au flanc de l'Himeimat, nous avons laissé une quarantaine de nos morts ou blessés.
L’Adjudant-chef Branier, vieux Légionnaire, vétéran de la guerre de 1914-1918 faite au Régiment de marche de la Légion rassemble les blessés. Ils tireront toutes leurs cartouches sur les patrouilles italiennes qui essaient de les capturer. Dernier survivant, Branier se fera sauter la tête avec une grenade, pour ne pas être pris."
Extrait d'un article paru dans le bulletin BIR HAKIM...L'AUTHION n° 146 d'octobre 1992, du Général Bernard SAINT HILLIER

roumeguère le vendredi 10 août 2012 - Demander un contact

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L’épopée de la 13ème D.B.L.E. de André-Paul COMOR

" Très vite, la chaleur aidant, le manque d'eau se fait cruellement sentir. Les faibles rations sont vite épuisées, les corvées d'eau ne donnent rien, les puits étant à sec. La confusion règne pendant plusieurs heures ; chacun cherche à se protéger comme il le peut. Le capitaine Morel a perdu le contrôle de son unité. Le sergent Bitz reussit cependant à rejoindre le P.C. de la Demi-brigade vers 14 h. Le compte-rendu qu'il fait de la situation persuade le chef de corps l'urgence du décrochage pour tout le bataillon. Le message du commandant de la compagnie, arrivé à 17 h, confirme la gravité de la situation.
Les hommes de la 3e compagnie touchent le P.C. vers 20 h. Ils n'ont pas pu ramener les blessés graves et les tués. Le colonel envoie une quinzaine de volontaires, sous les ordres de l'adjudant-chef Branier, accompagné du lieutenant-aumônier Malec, pour mener ces hommes. Quant à la compagnie Morel, elle décroche à la faveur de la nuit. Les derniers rescapés atteignent le Puits des Senégalais le 16 mars au soir".

Laurent Laloup le dimanche 08 mars 2009 - Demander un contact

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Vers dix heures, la Légion reçoit l'ordre de regagner sa base de départ, au cours du repli le Lieutenant Colonel Amilakvari est mortellement blessé, son corps est ramené sur la plage arrière du char de l'aspirant Touny. Le Commandant de Bollardière, les Capitaines Bablon, Morel, Lalande, Wagner, le Médecin-Lieutenant Lepoivre blessés, sont évacués. Le Lieutenant Susbielle a été tué. La Brigade a perdu, au cours de cet engagement, une centaine de tués et de blessés, une vingtaine de disparus. Ceux-ci gisent blessés ou tués au flanc de l'Himeimat. L'Adjudant Branier (alias Lacroix) vétéran de la guerre de 1914-1918 faite au Régiment de marche de la Légion, rassemble les blessés, ils tirent sur les patrouilles qui essayent de les capturer. Aucun ne survivra.

Extrait de "Les premiers soldats du général de Gaulle", Général Saint-Hillier, Editions La Bruyère (2000). 

Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 22 avril 2019

 

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