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| Jean François Beyer | |
Naissance : 17 décembre 1896 - Kerlouan (29)
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / divers
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 48 ans - 24 aout 1945 - Landerneau (29)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 57526
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 5436 |
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Jean François Beyer - son Livre ouvert ! Jean François BEYER
Né le 17 décembre 1896 - Ménez-broudin - Kerlouan, 29091, Finistère, Bretagne, France
Décédé le 24 août 1945 - Landerneau, 29103, Finistère, Bretagne, France , à l’âge de 48 ans
Parents
Jean François BEYER 1860-
Marie Yvonne LE GUEN 1866-1905
Union(s)
Marié le 20 avril 1922, Landerneau, 29103, Finistère, Bretagne, France, avec Marie Augustine OFFRET
Marié le 14 août 1930, Landerneau, 29103, Finistère, Bretagne, France, avec Mathilde Anne Louise CHEVILLIER Laloup Laurent le vendredi 06 avril 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Jean Beyer ? BRAZZAVILLE 27-28 AOUT 1940. GABON 1940. SYRIE 1941. FORCES FRANCAISES LIBRES. HISTOIRES VECUES , de FREITAG JOSEPH :
"En général, le matériel de ces unités était hétéroclite. L'habillement laissait à désirer. Le B.T.M.C. — Bataillon de tirailleurs du Moyen-Congo — était le seul bataillon ayant des munitions. Ces munitions étaient en partie entreposées au poste de police du B.T.M.C., dans deux chambres de troupes. Et cela, afin de répondre à toute alerte grave. Le reste était partagé dans deux compagnies du B.T.M.C. et à la Milice, chacune en état d'alerte. Le Bataillon du Tchad était dépourvu de munitions et le chef de bataillon Delange ne pouvait rien entreprendre sans avoir à sa disposition le dépôt des munitions du B.T.M.C.
C'est alors que les contacts entre sous-officiers du B.T.M.C. et ceux du Bataillon du Tchad se multiplièrent.
Les adjudants-chefs Lemière, Beyer et Clayra assuraient régulièrement ces contacts. Le chef de musique, Fadjudant-chef Hernandez, le sergent-chef Le Retraite, le sergent Freitag en étaient des participants assidus et actifs. Certaines menaces du Haut Commandement envisageaient des mesures propres à réprimer toute manifestation d'indiscipline, tant chez les civils que chez les militaires. On allait jusqu'à parler même de répression. L'espionnite avait libre cours. Le clan vichyssois travaillant par toutes sortes de finasseries, de biaiseries à freiner notre action, n'y parvenait pas, tant les événements allaient vite." Laurent Laloup le vendredi 24 avril 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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