Marcel Berthou - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Berthou



Naissance : 31 juillet 1924 - Pleubian (22)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en novembre 1942

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

caserne Bir-Hakeim, caserne Surcouf, caserne Birot, Skegness, Surprise, HMS Scotia, Laennec.

Matricules : 337 CAS42 689 FN42

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot timonier

Décès à 60 ans - 27 juin 1985 - Pleubian

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 54216

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 1358

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 5179


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"Souvenir. Il y a 70 ans, Marcel et Yvon rejoignaient l'Angleterre

Publié le 01 novembre 2012 
© Le Télégramme 

Paul Berthou, auteur de nombreux articles historiques, consacre son temps à l'écriture des souvenirs marquants de Pleubian et L'Armor-Pleubian, sa commune natale. Il a tenu à enrappeler un qui a juste 70ans. Le 1ernovembre 1942, par une nuit sans lune, deux jeunes Pleubiannais, Yvon Libouban et Marcel Berthou, volent un bateau, le Va de Bon Coeur, un petit cotre de 6,20m appartenant à Bernard Padel. Ils veulent rejoindre l'Angleterre et intégrer les Forces navales françaises libres (FNFL), composées pour l'essentiel de marins de la marine marchande. Ils signeront leur engagement, outre-Manche, 20 jours plus tard. Très discrets sur cette aventure, Yvon Libouban et Marcel Berthou ont cependant accepté d'en parler. Le détail de cette belle escapade est décrit dans le livret12 des Cahiers de la presqu'île, par Paul Berthou. Les péripéties du voyage auront causé la perte du Va de Bon Coeur mais un cotre identique a été reconstruit à l'issue de la guerre. 

Deux marins deux carrières 

Après la guerre, Marcel Berthou fit une brillante carrière dans la Marine nationale tandis qu'Yvon Libouban s'est consacré à la marine marchande. Les deux hommes sont aujourd'hui décédés ; il importait pour Paul Berthou que le souvenir de cette héroïque action soit rappelé, soixante-dix ans après."

Laurent Laloup le lundi 09 décembre 2019 - Demander un contact

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Humilité

Humilité était sa première qualité,malheureusement étant trop jeune pour en parler avec lui, c'est quand les personnes disparaissent qu'ils vous manquent, notre liberté on le doit au courage de ses héros qui ont risqué leurs vies et merci à Paul Berthou pour avoir retracé cette période. on ne peut qu'être fier d'être le fils. (yvon) et ce n'est pas par hasard!

berthou yvon le jeudi 18 janvier 2018 - Demander un contact

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fille de Marcel

Papa aujourd'hui tu n'es plus là, mais je t'aime toujours autant et tu me manques, Bravo à Yvon et toi pour avoir eu le courage de partir chercher de l'aide ,,,

berthou dominique le lundi 19 septembre 2016 - Demander un contact

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La liberté jour après jour

Le 1er novembre 1942, Yvon Libouban et Marcel Berthou, deux jeunes Pleubianais de Port La Chaîne, s'évadaient à bord d'un petit cotre, le Va de bon coeur, pour rejoindre l'Angleterre et s'enrôler dans les Forces navales françaises libres. Paul Berthou, le fils d'un cousin de Marcel Berthou, a raconté cette aventure dans le N° 12 des Cahiers de la presqu'île, en 2007.
Une traversée périlleuse
Les deux courageux avaient repéré ce cotre de 6,20 m, appartenant à Bernard Padel, mouillé à Port-Béni. Évidemment personne n'était dans la confidence et par une nuit sans lune, ils partirent à la godille, puis hissèrent les voiles. Arrivés en pleine mer, ils voulurent démarrer le moteur, mais l'occupant obligeait chaque propriétaire à retirer une pièce du moteur à chaque fois qu'il revenait à terre (pour éviter justement les évasions). Ils le savaient et avaient emporté une pièce de remplacement, mais ce n'était pas la bonne !
C'est donc à la voile et à l'estime qu'ils rejoignirent les côtes anglaises. Mais la traversée ne fut pas de tout repos. La mer était mauvaise et ils furent repérés par un avion allemand qui les mitrailla. Miraculeusement, ils ne furent pas touchés mais lors d'un deuxième passage, ils firent les morts et l'avion n'insista pas.
Blev gwen bien arrivé
Une vedette garde-côte anglaise finira par les prendre en charge. Malheureusement, le Va de bon coeur, trop encombrant pour la vedette, fut coulé. Quelques jours plus tard, la BBC pouvait diffuser le message : « Blev Gwen (cheveux blonds en breton), bien arrivé à bon port ».
Bien accueillis par les Anglais, et après les formalités d'usage (contrôler qu'ils ne sont pas des espions allemands) ils signaient le 20 novembre leur engagement pour la durée de la guerre plus trois mois, dans les FNFL. Après la guerre, tous deux reprirent leur vie simple et firent carrière dans la marine, Marcel Berthou dans la Royale et Yvon Libouban dans la Marine marchande.
« Ils ne furent pas les seuls Pleubianais à partir pour rejoindre l'Angleterre. C'est dommage que, sur la commune, aucun monument, ni même une plaque ne rend hommage à ces hommes courageux », regrette Paul Berthou.
 

Le Vezu le dimanche 08 juin 2014 - Demander un contact

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UN HOMME LIBRE

Ce que le vie vous donne , ce que vos enfants vivent, ceux qui crient que leur vie est un dû ,ceux qui ne croient plus en cet esprit , ce qui ne savent plus que tant d'hommes ce sont sacrifiés sur l'hôtel de la "LIBERTE",ceux qui ont oublié tout simplement et que tout ce qu'il possède égoïstement est dû à leur sacrifice que beaucoup ne connaisse plus par "AMNESIE" qui semble arranger tout ce monde, sachons rester "HUMBLE " et alors un simple regard dans nos mémoires leur donnera le respect et la gratitude qui les rendra immortels.

LE VEZU le dimanche 08 juin 2014 - Demander un contact

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Un homme libre

Voici ce que le vie nous doit ,voici ce que nous devons à ces hommes "N'OUBLIONS PAS ET JAMAIS"

le vezu le dimanche 08 juin 2014 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 09 décembre 2019

 

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