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Yves Marie René Bernanos

Yves Marie René Bernanos - son Livre ouvert !
 

Bernanos père et fils

Courriers de Georges et d'Yves Bernanos adressés à l’amiral Paul Ortoli en 1947 :Difficile retour en convalescence d'Yves Bernanos; remerciements et observations sur la société d'après guerre par Georges Bernanos.

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Valère ortoli le mardi 27 avril 2021 - Demander un contact

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Fier d´être son petit-fils

Mon Grand-père a eu deux enfants: ma mère Marie-Madeleine Louis Jeanne Bernanos et Sabine Marie-Thèrese Bernanos.

Ma tante n´a pas eu des enfants.

Par contre, ma mère a eu deux enfant: ma soeur, Cláudia Santos-Bernanos d´Arc; et moi, Vinicius Santos-Bernanos d´Arc.

À notre tour, nous avons eu trois enfants: ma souer, João Pedro; et moi, Beatriz et Alice-Marie.

Nous habittons au Brésil et sommes tous très fiers de notre aimé père, grande-père et arrier grand-père.

Vinicius Santos -Bernanos d´Arc Santos le lundi 09 avril 2018 - Demander un contact

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"Yves Bernanos (1919-1958)

Pays : France
Langue : français
Sexe : masculin
Naissance : Paris, 18-09-1919
Mort : 08-11-1958
Note :
Fils de Georges Bernanos (1888-1948). - Participe à la guerre d'Espagne (en 1936)"

Jacques Ghémard le samedi 26 novembre 2016 - Demander un contact

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"...Le fils de Georges Bernanos, Yves Bernanos, combattit dans les milices de la Phalange des JONS. ..."

fr.metapedia.org 

(et aussi "Els escriptors i la Guerra Civil a les Illes Balears Par Josep Massot i Muntaner"  )



"...En 1941, son fils Yves rejoint les Forces françaises libres à Londres. Son autre fils, Michel, jugé trop jeune par le Comité de la France Libre de Rio, partira l'année suivante. ..."

fr.wikipedia.org 



"...Si Bernanos décide, en octobre 1934, de partir avec sa famille pour Palma Majorque, c'est tout simplement parce que la vie y est moins chère qu'en France. « Je me suis réfugié dans une île parce que le prix du bœuf et des pommes de terre y est encore abordable. » Lorsque éclate, en juillet 1936, la guerre d'Espagne, Bernanos a d'abord beaucoup d'admiration pour le soulèvement franquiste. D'ailleurs, son fils Yves s'engage dans la Phalange. Mais peu à peu, devant la violence sanguinaire des franquistes et l'attitude d'une partie du clergé espagnol, Bernanos change de conviction. En janvier 1937, il évoque l'arrestation par les franquistes de « pauvres types simplement suspects de peu d'enthousiasme pour le mouvement », et fusillés devant le cimetière d'un village. Une fois morts, on en fait un tas que l'on arrose d'essence avant d'y mettre le feu. « Les autres camions amenaient le bétail. Les malheureux descendaient ayant à leur droite le mur expiatoire criblé de sang, et à leur gauche les cadavres flamboyants. L'ignoble évêque de Majorque laisse faire tout ça. » ..."

membres.multimania.fr 

Laurent le lundi 18 janvier 2010 - Demander un contact

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