Thomas Marie Auguste André Alexis Montrosier - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Thomas Marie Auguste André Alexis Montrosier



Naissance : 7 janvier 1925 - Fort-de-France, Martinique

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Antilles

Engagement dans la France Libre : USA en mars 1943

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal

Décès à 75 ans - 26 octobre 2000 - Barentin (76)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 7169

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 861

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Thomas Marie Auguste André Alexis Montrosier - son Livre ouvert !
 

Adhérent 30 851
St Raphaël 83

Laurent Laloup le mardi 29 décembre 2020 - Demander un contact

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Inventaire d'archives : Académie de Paris. Bourses d’enseignement supérieur accordées pour faits de guerre (1945-1958)
Personne : ALEXIS-MONTROSIER, André

Jacques Ghémard le jeudi 05 décembre 2019 - Demander un contact

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A mon tonton Dédé <3

Tonton Dédé , j'étais très jeune quand tu es partie et pourtant je garde un souvenir particulièrement précis et si doux de ta présence près de nous . Ta gentillesse et ton sourire m'accompagne parfois dans les moments les plus pénibles. Ton courage est un exemple pour nous tous et nous motive . Nous, ta famille , t'aimons et ne t'avons jamais oublié , jamais ! Et ta mémoire et ton souvenir seront comptés et racontés à tes descendants , à ces petits que tu aurais adoré connaitre .... Amour et Paix <3

Valérie PLATON PAGESY le mercredi 19 août 2015 - Demander un contact

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Tu nous manques Tonton

..Parti trop vite..comme papa ! Je n'ai pas assez profité de votre présence et elle me manque... <3

Ta nièce,

Nathalie/Isaure

Nathalie Alexis Montrosier le mardi 18 août 2015

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Hommage à mon oncle et parrain André Montrosier

En relisant la lettre laissée à sa mère, ma grand-mère Simone, au soir de son départ en dissidence, je mesure le courage et l'abnégation dont il a fait preuve.
Il reste à tout jamais un modèle. Nous n'oublierons pas notre oncle toujours présent, confident attentionné. Ses conseils, sa gentillesse, sa tendresse nous manquent tant!

Christiane Pagésy le samedi 24 septembre 2011 - Demander un contact

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A André

Une belle photo. Mai 80.

André avec ma toute nouvelle "épousée" du jour... Christine.



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auzon jean-marie le mardi 07 décembre 2010 - Demander un contact

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A André

J'ai eu la chance de connaitre André puisque il a épousé ma tante Lisette.

J'ai hérité du journal du Bataillon de Choc dans le quel il est cité. Je le garde précieusement. (il a été blessé également le 22 aout 44 lors de la prise de Toulon)

Il a laissé un grand vide mais nous a donné un bel exemple de vie.

jean-marie AUZON le mardi 07 décembre 2010 - Demander un contact

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bel hommage

Dentiste de profession, tonton Dédé a été pour moi un exemple de par son expérience militaire; être sensible et fourru de relations familiales; il a laissé un grand vide dans le souvenir de ses proches. Inconditionnel de la mer, il a passé une grande partie de sa vie à Saint-Raphaël en côte d'azur. Je me souviens encore de ses récits passionnants sur son aventure militaire et de la très grande amitié qui caractérisait ses compagnons de combat.

Paix à ton âme, tonton, ceux qui t'on connu ne t'oublieront jamais!!!

Franck Alexis-Montrosier le lundi 23 mars 2009 - Demander un contact

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LES DISSIDENTS DES ANTILLES DANS LES FORCES FRANCAISES LIBRES COMBATTANTES, 1940-1945 une oeuvre de ABENON LUCIEN-RENE :

"Autre destin encore que celui de René Gouyé, qui lui aussi appartient à une vieille famille békée. René Gouyé quitte la Martinique le 30 avril 1943, en compagnie de trois camarades lycéens, André Montrosier, Camille Lidar et Jean Salleron, sur un petit voilier apparte­nant à son père. Ils arrivent à Sainte-Lucie le 1er mai et sont immédia­tement pris en charge par les autorités. Dirigés sur Trinidad, puis sur Norfolk (Virginie), ils sont au Fort Dix le 18 juillet 1943.
Après quelques semaines d'entraînement de base, un petit grou­pe de huit jeunes Martiniquais est convoqué à la Mission militaire fran­çaise à Washington. Ils ont sollicité une entrevue avec le Chef de la dite Mission, le Colonel de Chevigné, qui leur laisse le choix entre plu­sieurs formations : Ecole d'officiers de Fort Bening, aviation, marine, parachutisme, commandos, etc ...
Georges Xavier, Jean Salleron et Raymond Duplan optent pour l'aviation, André Beaufrand, René Gouyé, Eugène Seguin, André Montrosier et Charles Lepelletier Beaufond choisissent le stage de commandos amphibie et seront dirigés vers Fort Pierce en Floride.
Ces garçons ont choisi cette formation, plus courte que les autres, dans le but d'être engagés au plus tôt dans l'action, et aussi parce qu'elle a lieu en Floride et que l'élément marin leur est familier. Le stage est très dur, au point que le tiers des effectifs américains aban­donne dès la première semaine. Les Martiniquais en bavent, mais se font un point d'honneur à tenir le coup, aussi bien qu'une équipe de Polonais qui participent au stage.
Ils retournent au Fort Dix le 18 novembre 1943 ; le B.A. 1 est parti pour l'Afrique du Nord. Chacun reçoit un ordre de mission individuel pour rejoindre l'Etat-Major particulier du Général de Gaulle à Alger. Ils traversent les Etats-Unis pour embarquer le 22 décembre à la Nouvelle Orléans, sur le M/S Sagittaire, à destination de Casablanca, via la Martinique, où ils passent dans leurs familles les fêtes de fin d'année.
Le Sagittaire, reparti de la Martinique fin janvier 1944, les débarque à Casablanca le 18 février. Rendus à Alger le 20 février, la consultation quotidienne des notes de service leur permet de choisir une affectation qui leur convienne, en fonction de la demande des uni­tés en formation.
André Beaufrand et Charles Lepelletier Beaufond rejoignent les Commandos de France, André Montrosier les Bataillons de choc, René Gouyé et Eugène Seguin se font affecter à la 9ème Division d'Infanterie Coloniale, le premier comme agent de liaison (estafette-motocycliste), l'autre au 2ème Bureau. Ils ne se reverront qu'à la fin des hostilités, bien qu'en plusieurs occasions ils se soient trouvés, sans le savoir, aux mêmes moments et aux mêmes endroits.
Embarqué à Oran pour la Corse le 1er avril 1944, René Gouyé prend part à la conquête particulièrement meurtrière de l'île d'Elbe. Il débarque en Provence avec sa Division le 18 août (Croix Valmer), et participe activement à la libération de Toulon. Au cours d'une mission de liaison auprès des commandos qui attaquaient au Fort du Coudon, il prend particulièrement conscience de la cruauté et de l'inhumanité de la guerre : le chauffeur nord-africain de la jeep qui était mise à sa dis­position pour la ciconstance - le terrain ne permettant pas l'utilisation de la moto - a dû égorger un tireur ennemi embusqué dans la vigne, avant de se rendre compte que l'homme, déjà blessé, était moribond.
La mort accidentelle, en service commandé, au Pont d'Ain, de son camarade Seguin le laisse désemparé, mais n'affecte pas sa volon­té de combattre. Il prend part à toutes les opérations de sa Division, toujours en qualité d'estafette jusqu'en Allemagne.
Blessé accidentellement quelques jours avant l'armistice, il sera soigné à l'hôpital de Baden-Baden. L'armistice le surprendra à Hyères, où il se trouve en convalescence. La guerre terminée, après quelques mois d'occupation en Allemagne, il demande à être démobilisé en métropole. Les autorités lui feront remarquer que, venu des colonies, c'est dans son lieu d'origine qu'il doit être démobilisé, sauf à produire certificat d'hébergement et contrat de travail. En passe d'obtenir ces documents par des amis, il apprend que son père est à toute extrémi­té et rentre à la Martinique, par le M/S Paul Lemerle, fin décembre 1945. Son père était mort quelques jours plus tôt. Il est démobilisé le 31 janvier 1946."

Laurent Laloup le jeudi 05 février 2009 - Demander un contact

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Source : 

Laurent Laloup le dimanche 17 juin 2007 - Demander un contact

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Laurent Laloup le dimanche 17 juin 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 29 décembre 2020

 

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