Max Marcel Albospeyre - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Max Marcel Albospeyre



Naissance : 15 mars 1922 - Saint-Vincent-de-Cosse (24)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Tunisie en juillet 1943

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM21

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 85 ans - 22 février 2008 - Clamart (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 6559

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 782

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Max Marcel Albospeyre - son Livre ouvert !
 

Mémorial de la France Libre 1971

Adhérent 10120
Courbevoie

Laurent Laloup le lundi 28 décembre 2020 - Demander un contact

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Plaque à Beynac (24)

www.sudouest.fr 

ROUMEGUERE le jeudi 11 février 2016 - Demander un contact

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Photo fonds Yves Gras Y Gras, Max Albospeyre et Y Tommasi



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ROUMEGUERE le mardi 05 janvier 2016 - Demander un contact

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FAITS D'ARMES DE NOS CAMARADES

Extrait du Memorial des combattants d'Afrique Noire et de Madagascar , "HEROS MECONNUS 1914-1918 1939-1945"

"La 3e Compagnie du B.M.21 à la prise d'Hyères (20 août 1944)

Le 17 août, de très bon matin, la 3e Compagnie (Capi­taine Fournier) débarqua sur la plage de Cavalaire et gagna rapidement le village de la Croix-Valmer à 6 km au nord-est.
Le 19, l'unité fut dirigée vers le front où elle prit contact avec l'ennemi, au village de la Londe-les-Maures à 8 km d'Hyères. Là, elle reçut l'ordre de s'emparer de cette ville avec les autres bataillons du R.C.T.3. Le 20, au matin, la 3e Compagnie partit en tête des formations de combat, la 2e Section (Aspirant Albospeyre) précé­dant la colonne. Mais il fallut passer la rivière Gapeau, sous le tir des terribles canons de 88 qui causèrent des pertes parmi les Tirailleurs et les Cadres.
Le Sergent-Chef Tristschler , vétéran de la colonne Leclerc, tomba à la tête de son groupe. Stoppée dans son avance, la troupe se retrancha alors dans les fossés, attendant l'ordre de poursuivre. Le soir, elle dut subir un nouveau bombardement d'une grande violence par des pièces d'artillerie lourde de 105 et de 150 et cela créa un certain flottement parmi les Hommes dont certains voyaient le feu pour la première fois.
L'Adjudant Dountéga et le Sergent Dominati , grièvement blessés, durent être évacués vers l'arrière.
Regroupés par les gradés africains et européens, les Tirailleurs reprirent leur marche en avant, le Sergent-Chef Paridia Byen et le Caporal N'Gafkréo ouvrant le passage. La progression devait se faire lentement pour reconnaître chaque maison, chaque fourré où pouvaient se cacher des adversaires résolus. Après plusieurs accrochages meurtriers, la formation du Capitaine Fournier partit à l'assaut afin de s'emparer des faubourgs d'Hyères et des bâtiments aux alentours de l'École d'Horticulture.
Au cours de cette action, le Sous-Lieutenant Campain et le Sergent-Chef Kournou se distinguèrent particulièrement.
Vers 1 heure du matin, les Allemands contre-attaquèrent en utilisant des lance-mines pour couvrir leur progression. Dès la chute des premiers obus, le Caporal Siadingar et le Tirailleur Ramdé furent tués et d'autres Hommes blessés.
Mais nos braves Camarades repoussèrent les assaillants et passant à la contre-offensive occupèrent sur leur lancée, la gare et toutes les maisons avoisinantes.
Poursuivant leur avance, les sections de la 3e Compagnie arrivèrent sur la place du 11 novembre, au centre de la ville, follement acclamées par la population sortie des caves où elle s'était terrée pendant la bataille. Le B.M.21 continua son action de réduction des nids de résistance, faisant de nombreux prisonniers et s'emparant d'un abondant matériel militaire.
Dans la soirée, les quatre compagnies réunies quittaient la ville d'Hyères qu'elles venaient de libérer, pour avancer vers les forts de Toulon.
A la suite de ce brillant fait d'armes de nombreuses citations furent accordées (Croix de Guerre 1939-1945) et plusieurs braves reçurent la Médaille militaire.
Au cours de leur baptême du feu, les jeunes Tirailleurs s'étaient montrés dignes de leurs Anciens des campagnes de Tunisie et d'Italie."

laurent le mardi 08 décembre 2015 - Demander un contact

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LA BATAILLE ET LA LIBERATION DE TOULON Par PAUL GAUJAC  :

Laurent Laloup le dimanche 12 avril 2009 - Demander un contact

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www.lexpress.fr 

"BEYNAC (Dordogne)
Par Haget Henri, mis à jour le 24/06/1993 - publié le 24/06/1993

Au beau milieu de l'après-midi, sous un soleil à assommer un Touareg, M. le Maire se lamente: «Comment voulez-vous apprécier Beynac avec cette chaleur! Il faut pouvoir marcher au hasard des ruelles. Ecouter les pierres raconter le passé. Ce soir, peut-être...» Quelques heures plus tard, un déluge de fin du monde met au supplice son flegme et ses essuie-glaces. D'un revers de manche, il efface la buée de son pare-brise: «Bon! c'est foutu! On n'y voit rien, mais je vous laisse imaginer...» L'histoire s'y prête.
Les origines de Beynac se confondent avec celles de l'homme. Trois mille ans avant Jésus-Christ, les premiers paysans élirent domicile sur les flancs de cet éperon rocheux surplombant la Dordogne. Le genre de pedigree qui vous pose un village: Beynac, 500 habitants, 500 000 visiteurs par an. A nos ancêtres ont succédé des colonies de touristes anglais qui s'initient aux voluptés de l'omelette aux truffes avec la mine extatique de l'homme découvrant le feu.
Au coeur du Périgord noir, de ses mille et un châteaux, de ses hauts lieux gourmands et de ses temples archéologiques, la concurrence est rude. Max Albospeyre le sait bien, lui, le maire, qui n'a de cesse de repatiner son village, de repaver ses ruelles à l'ancienne ou de les éclairer par d'antiques réverbères. De-ci, de-là, Beynac s'autorise tout de même quelques concessions à la modernité: Pierre Paulin, le designer attitré de Georges Pompidou, a redessiné le monument aux morts; et de récents travaux d'assainissement ont coûté son surnom de «rio Merda» au ruisseau qui dévalait le bourg pour se jeter dans la Dordogne. Ce qui s'appelle épouser son siècle.
Guide inspiré d'une cité qui s'enorgueillit de quelques administrés de renom, Philippe Francès, PDG de Darty, Flora Lewis, chroniqueuse au «New York Times», Guy Lagorce, romancier, Marielle Goitschel ou encore Véronique Seydoux, héritière d'une des plus belles fortunes de France, Max Albospeyre retrouve ses accents d'ex-général de la Coloniale pour évoquer la forteresse médiévale qui coiffe la falaise de Beynac: «J'ai mis fin à la guerre du château et de la mairie», affirme-t-il, soudain grave. Au début des années 60, de château, il ne subsistait en fait qu'un tas de ruines. Seul candidat, Lucien Grosso s'en porta acquéreur, aux enchères: 17 millions de centimes. Et tout le village de prendre pour un fada cet aventurier ayant amassé un joli magot dans l'univers des boîtes de nuit, entre Marseille et Abidjan.
Sauf que, trente ans plus tard, la forteresse de Beynac est redevenue le fleuron féodal de la région. Sans jamais solliciter la moindre subvention, conduisant les travaux à sa guise, s'empoignant avec les architectes des Monuments historiques, son propriétaire l'a totalement restaurée dans le plus pur style xive siècle, supprimant les ajouts de l'époque Renaissance et prenant bien soin de le rendre inhabitable par ses éventuels successeurs. Car, à 83 ans, en dépit de sa silhouette de jeune homme et de ses rêves d'enfant, Lucien Grosso passerait bien la main. Et le château, malgré son inconfort, aiguise les appétits des grosses fortunes du coin, mais aussi de la mairie de Beynac, qui n'a jamais cessé de lorgner ce gisement touristique, tout en ménageant la susceptibilité de son imprévisible propriétaire. «Certes, on peut regretter que M. Grosso interrompe les visites à l'heure du déjeuner, souligne aimablement Max Albospeyre, mais ça pourrait être bien pire: s'il décidait, par exemple, de n'ouvrir ses portes qu'entre le 1er et le 15 décembre...» A l'abri de ses remparts, notre homme, lui, a fixé son prix: 50 millions de francs. De quoi faire tressaillir le maire de Beynac. Bonne nouvelle, en revanche: la Rolls que Lucien Grosso a rachetée à Bokassa et qui dort à l'ombre du donjon n'est pas à vendre."

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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www.environnement.dj 

Le Francolin de Djibouti

INTRODUCTION

The Djibouti francolin is a forest dwelling gamebird,approximately partridge-sized,endemic to Djibouti and restricted to well-vegetated areas of the Goda and Mabla massifs.It is one of the least known species of African birds. The first specimen was collected on 22 February 1952 by Captain Albospeyre,the military commander of the Cercle de Tadjoura,who passed it to Colonel Chédeville who forwarded it to the Paris Natural History Museum where it was identified as a species new to science,closely related to Francolinus erckelii and formally described by Dorst and Jouanin (1952).In June and September 1953,Chédeville collected a further four specimens,again forwarding them to Paris together with habitat information on the Forêt du Day,and Dorst and Jouanin published a second paper on the species in 1954.Two more specimens were collected in 1970 by Hubert Gillet,these again being forwarded to Paris.Since 1970,the only research on the species has been carried out by Jacques Blot,as part of a wider study of the Forêt de Day (Blot 1985)and brief visits to the area by ourselves in 1984,1985,1987 and 1990.

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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"Dès que le jour se lève, la 11ème compagnie du 3eme B.L.E. se met en ordre de marche en direction de Colla-Bassa - qui de ses 1422 mètres, domine le vallon de Caïros et la vallée de la Roya... Vers 10 heures, des unités avancées de la 3eme compagnie du B.M. 21 commandée par le lieutenant Albospeyre investissent par surprise le hameau de Maurion - planté au milieu du vallon de Caïros - et capturent 17 soldats allemands... Vers 11 heures, les Légionnaires atteignent Colla Bassa... Mais une violente contre-offensive allemande les refoule immédiatement... Craignant que la percée française ne coupe les avant-postes de leurs bases arrières, le commandement allemand a ordonné de tenir absolument le vallon de Caïros et le ravin qui entaille le plateau de la Ceva - et qui débouche sur la vallée de la Roya, un peu au nord de Fontan... Les canons allemands arrosent copieusement le secteur de Maurion à partir de 15 heures - causant de lourdes pertes dans le camp français... Une heure plus tard, les Légionnaires du 31 bataillon repartent à l'assaut de Colla Bassa, mais ils se heurtent une fois encore à une farouche résistance allemande et reculent... Le commandant Lalande appelle alors à l'aide les blindés du 1er R.F.M....

En fin d'après-midi, la section Albospeyre développe son action offensive jusqu'aux granges de Cabanières, mais une sèche riposte allemande l'empêche d'aller plus loin... Elle s'accroche cependant à sa position et le 81 du sergent Bertoue réduit finalement au silence le mortier qui contrôle le pont du Diable... Pendant ce temps, la 2 compagnie du B.M. 21 conduite par le lieutenant Lafaurie réussit à contourner les positions allemandes par le Sud et à s'installer sur la cime de Pézurbe - qui ne s'élève qu'à 1000 mètres, mais qui surplombe Fontan et la vallée de la Roya... Cette situation gène considérablement les communications entre les diverses unités allemandes, et un coin est enfoncé dans le système défensif allemand...
"

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Général et ethnologue

ALBOSPEYREMax ), Les Danakil du Cercle de Tadjoura, Mémoire d’entrée au CHEAM n° 2154, 103 p., 1953.

ALBOSPEYRE ( Commandant Max ), Rapport sur le cercle de Tadjourah, Paris, mémoire C.H.E.A.M., 1957.

ALBOSPEYRE ( Commandant Max ), Les Danakil du Cercle de Tadjourah, Mer Rouge – Afrique orientale, Cahiers de l’Afrique et de l’Asie, V , pp. 103-161, , J. Peyronnet et Cie, 1959.

archives.arte.tv

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Avis de décés :

FEVRIER 2008

Général de Brigade Max ALBOSPEYRE - 24220 Beynac

anocr24.unblog.fr 

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Max Albospeyre

"Décret du 23 avril 2002 portant promotion

NOR : DEFM0201472D

Ministère de la défense

Par décret du Président de la République en date du 23 avril 2002, pris sur le rapport du Premier ministre et du ministre de la défense et visé pour son exécution par le grand chancelier de la Légion d'honneur, vu la déclaration du conseil de l'ordre en date des 7 et 14 mars 2002 portant que les présentes promotions sont faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, le conseil des ministres entendu, sont promus au titre de l'article 1er du décret no 2000-204 du 6 mars 2000 fixant les contingents de croix de Légion d'honneur pour la période du 1er janvier 2000 au 31 décembre 2002, pour prendre rang à compter de la date de leur réception, les militaires n'appartenant pas à l'armée active désignés ci-après :
...

Albospeyre (Max, Marcel), 15 mars 1922, général de brigade. Officier du 21 novembre 1970.
"

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 28 décembre 2020

 

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