|  | | | | Un Français Libre parmi 63582 | | | Philippe Jacques Jean Rambach | |
Naissance : 24 mai 1923 - Paris 8e
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal chef
Décès à 96 ans - 29 septembre 2019 - Eauze (32)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 498563
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43404 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Philippe Jacques Jean Rambach - son Livre ouvert ! La mairie de Saint-Jean-de-Luz a prévu d'honorer, le 18 juin 2025, les 30 lycéens du lycée Marracq de Bayonne qui se sont embarqués sur un des bateaux polonais, le 21 juin 40, pour rejoindre Londres.
Voici une liste qui donne leurs noms 
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Jacques Ghémard le jeudi 27 mars 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Guy Flavien ??? Il serait parti en Angleterre mais rentré en France pour ne s'engager dans la résistance intérieure qu'en 1942 ?
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Article du journal SUD OUEST du 22 juin 2010 Philippe Rambach : Il a rejoint de Gaulle
"Philippe Rambach coule aujourd'hui des jours heureux à Eauze.. Dans l'anonymat ou presque. Pourtant, il est l'un de ceux qui, à l'appel du général de Gaulle, a traversé la Manche pour le rejoindre à Londres.
À l'aube de l'année 1940, Philippe Rambach est loin d'envisager qu'il va vivre une véritable épopée. Mosellan d'origine, il se retrouve à Bayonne suite à l'affectation de son père. Il y suit les cours de philosophie du lycée. Philippe fête ses 17 ans le 24 mai, mais ce n'est pas un jour joyeux car la « drôle de guerre » s'est achevée par un désastre pour l'armée française, si fière de sa ligne Maginot qui s'est avérée totalement inutile.
Dans la ville de Bayonne, on assiste à un afflux de réfugiés belges et de nordistes français qui fuient les armées nazies. Vaille que vaille, la vie se poursuit et le 18 juin, il passe l'écrit de son « bachot » 2e partie. Au soir de cette grande journée dans la vie de Philippe, c'est l'appel lancé depuis Londres par un général inconnu du grand public. Le lendemain sur la place d'armes, on ne parle plus que de cela entre lycéens.
Sur un navire polonais
Rapidement, Philippe et onze camarades décident de rejoindre l'Angleterre. Un acte presque banal pour ce fils d'un ancien officier de la Première Guerre mondiale, qui lui a inculqué l'amour de la patrie.
Les douze comparses embarquent, à Saint-Jean-de-Luz, sur un bateau polonais, le «Batory».
Le 22 juin à l'aube, Philippe voit la côte française s'éloigner. Après avoir reçu son uniforme, il est désigné pour servir dans la brigade française d'Orient et, à ce titre, embarque le 31 août sur le «Westernland» en compagnie du général de Gaulle, à destination de Dakar où une tentative de débarquement échoue.
Le repli de cette «task-force» se fait sur Douala (Cameroun). C'est le début d'une épopée qui va conduire Philippe Rambach sur des lieux qui sont inscrits sur les drapeaux des régiments français qui ont combattu dans ces contrées.
Le Gersois d'adoption prend part aux combats fratricides de Syrie puis sa division traverse la Palestine et l'Égypte pour affronter l'Africa Korps du maréchal Rommel. Une heureuse mutation lui évite d'être pris dans l'étau de Bir Hacheim, mais il prend part à la bataille d'El Alamein qui voit le début du reflux des forces de l'Axe.
À la poursuite des troupes allemandes, l'unité de Philippe Rambach prend part aux combats de Tunisie. Les événements s'enchaînent et il embarque à Bône (Algérie) pour participer au débarquement de Naples avec les forces américaines. Le 16 août 1944, le jeune Français pose le pied sur le sol de sa patrie pour la première fois depuis quatre ans, en débarquant à Cavalaire (Var). C'est ensuite la remontée de la vallée du Rhône au sein de la 1re armée commandée par le maréchal de Lattre de Tassigny. Après un dernier détour à la frontière franco-italienne, c'est la démobilisation en juillet 1945 à Sacy-sur-Marne et c'est le retour de l'adolescent de 17 ans, devenu un homme de 22 ans, qui retrouve sa famille après cinq ans d'absence.
Philippe Rambach a ensuite fait carrière dans l'enseignement, ne faisant nullement état de ses multiples décorations : ordre du Mérite, médaille militaire remise personnellement par le général Koenig commandant la 1re division de la France libre, de la croix de guerre et de la médaille de la Résistance. Il fait partie de ceux qui, malgré leur jeunesse, ont eu le courage de dire «Non», et de rester engagés dans un conflit quasiment perdu." 
laurent le dimanche 06 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Collecte de témoignages Monsieur Foinet, l'Amicale de la DFL se tient à votre disposition si Philippe Rambach ou vous même souhaitez diffuser vos travaux de mémoire ou les faire connaître sur le site de la 1ère DFL www.1dfl.fr. Par ailleurs, sachez que nous publierons en avril 2012 un recueil de témoignages écrits d'anciens de Bir Hakeim. Cordialement. Roumeguère le mercredi 21 décembre 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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France Libre Je connais Monsieur Rambach pour l'avoir rencontré plusieurs fois, lors de l'inauguration d'une plaque rue Appel du 18 Juin 1940, et cette nouvelle année 2012, il à, l’intention de Faire placer l'Appel du 18 juin dans sa Ville d'Eauze. Il est important d’écouter le périple de Philippe Rambach et de l’entendre raconter Bir Hakeim et ses combats comme l’épopée de la France Libre. Il a d’ailleurs pris le soin de Compléter le Livre, par ses propres documents personnels. Bravo Philippe Rambach pour ce que vous avez fait et Merci.
Je suis en train de recenser les documents de Monsieur Rambach, complétés par des photographies datées et légendées par lui-même.
Le Délégué départemental de la Fondation de la France Libre Du Gers Eric Foinet le vendredi 09 décembre 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Il a rejoint le général " Le 18 juin 40, Philippe Rambach âgé de 17 ans passait son bac à Bayonne où son père, après s'être illustré à la guerre de 14, travaillait dans une poudrerie. « L'Appel, je ne l'ai pas entendu mais j'en ai appris le contenu le jour même ». Pour l'adolescent « issu d'une famille de Moselle, israélite et patriote », le projet de rejoindre Londres s'imposa. Rester les bras croisés alors que la France était sous la botte de l'ennemi, inconcevable ! C'est depuis la baie de Saint-Jean-de-Luz que dès le 21 juin sur un bâtiment polonais, il mettait le cap sur l'Angleterre. 70 ans plus tard, à Eauze près de son épouse Colette, Philippe raconte ce départ précipité et tout ce qui suivit (il n'allait remettre le pied sur le sol de la métropole qu'en août 1944 en débarquant sur une plage varoise) avec force détails comme s'ils dataient d'hier. L'accueil « si gentil » des Anglais, la traversée vers l'Afrique « sur le même bateau que De Gaulle, un homme qui en imposait vraiment ». Puis les tirs français essuyés à Dakar avant de pouvoir débarquer à Douala, les campagnes d'Afrique (Erythrée, Syrie, Lybie, El Alamein…), celle d'Italie, la libération du Var ensuite après débarquement à Cavalaire puis les combats des Vosges et de Belfort.… Et pour finir ? « Le 8 mai 45 c'est sur le front des Alpes dans le massif de l'Authion que nous avons appris la victoire ». Philippe à qui les notes obtenues le… 18 juin 40 permirent d'être bachelier sera un temps instituteur en région parisienne. Devenu prof dans l'enseignement agricole, c'est dans le Gers, où il avait de la terre familiale à cultiver et où il professa longtemps au lycée d'Auch-Beaulieu, que Philippe Rambach a poursuivi sa vie de Français libre de la première heure. « En répondant à l'appel du 18 juin je n'ai fait que mon devoir ». Le 8 mai 1962 il a reçu la médaille militaire remise dans la cour d'honneur des Invalides par le général Pierre-Marie Koening. Pas un jour ne passe sans que Philippe Rambach ne se souvienne de ces 5 années de Français libre. Et souvent, « le visage de ce jeune légionnaire tué sous un bombardement au volant d'un engin que d'ordinaire je conduisais » s'inscrit dans sa mémoire. "
www.ladepeche.fr  Laurent le lundi 21 juin 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Joseph Chanfreau un ancien de la France Libre
«A 18 ans, en sortant de l'école de l'armée de l'air, je me suis retrouvé sur le front, à Peronne, en mai 1940. J'ai été le témoin de la débâcle. Je ne l'ai pas supporté.» Joseph Chanfreau passe la ligne de démarcation à Vierzon et gagne Marseille. La Légion le met sur un bateau pour l'Afrique du Nord. Mais l'armée que l'on propose à Joseph Chanfreau ne lui convient pas. «Nous étions quelques-uns à avoir entendu parler de De Gaulle. Son attitude m'a tout de suite séduit». Pendant près de trois ans il va agir entre les tendances Giraud et Darlan pour aider de Gaulle à se faire reconnaître. Joseph Chanfreau n'aime pas parler de cette période. Trop d'intérêts sont encore en jeu sur ce qui s'est passé. Disons qu'il va encourager des désertions et convaincre les militaires de choisir la Division française libre. «Le 1er août 1943, la France Libre c'est fini, puisque De Gaulle est reconnu et la Division française libre est incorporée dans à la 8e armée américaine». Le titre de Français Libre est reconnu à Joseph Chanfreau car son engagement est antérieur au 1er août 43. Il témoigne pour rendre hommage à quatre de ses camarades gersois, Pierre Berthelot (Sempesserre), Roger Deman (Miélan) Philippe Rambach (Eauze) et Louis Decherchi (Auch). "
www.ladepeche.fr  Laurent Laloup le samedi 06 juin 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de : www.gers.pref.gouv.fr/ 
EXTRAITS DU TEMOIGNAGE DE MONSIEUR PHILIPPE RAMBACH
DOMICILIE A CAMPAGNE-D'ARMAGNAC (GERS)
Fils d'un ancien combattant de 1914-1918, Monsieur RAMBACH est encore lycéen dans les premiers mois de la guerre. Il rejoint, cependant, la France Libre et après avoir participé à l'opération de Dakar en septembre 1940, combat en Erythrée, en Syrie, en Libye puis en Tunisie. Après la campagne de Tunisie qui prend fin en mai 1943, les Forces Françaises Libres fusionnent avec les troupes d'Afrique du Nord pour constituer ce qui deviendra plus tard la 1ère Armée Française. Monsieur RAMBACH poursuivra le combat au sein de cette grande formation.
" La campagne d'Erythrée fut pour nous très éprouvante. Elle se déroula en trois parties: la prise de Cub Cub, par le B.M. 3 venu du Tchad, qui eut lieu avant notre arrivée; celle de Keren et enfin l'assaut sur Massaouah avec la capitulation de l'amiral italien commandant la garnison. J'ai participé à la prise de Keren avec la Légion Etrangère. Nous progressions dans une montagne à près de 2000 mètres d'altitude au paysage très désolé. Le climat est rigoureux en cette saison; la nuit, il gelait et nous n'avions pas de couvertures, le jour, il faisait chaud et nous avions soif car le ravitaillement suivait difficilement à dos de chameau, animal peu à l'aise en terrain accidenté. Ma section fut désignée un jour pour la corvée d'eau. Il s'agissait d'aller remplir des "tarakés" à une source dans le "no man's land", passablement canardé par les Askaris, des soldats de l'armée indigène sous drapeau italien. Ils appartenaient à une tribu guerrière et étaient retranchés au dessus de nous. Les cartes étant fausses, la section se perdit au retour au point que nous errâmes plusieurs jours dans les montagnes, en consommant l'eau que nous devions rapporter. Quand nous rejoignîmes la brigade, ce fut après le combat. En effet, ce fut sans nous qu'eut lieu, le 15 mars, l'assaut meurtrier de l'Enghiat. Le Colonel mit notre section "à la punition". Nous étions déjà fourbus par notre malheureuse expédition mais nous dûmes repartir aussitôt brancarder les blessés vers les postes de secours, puis convoyer des patriotes abyssins vers l'arrière. Enfin, MONCLAR remarqua l'état lamentable des plus jeunes d'entre-nous, dont moi, et nous affecta à des postes moins fatiguants.
C'est ainsi que vers le 25 mars, on me présenta au Capitaine LAURENT-CHAMPROSAY de l'artillerie coloniale. L'artillerie de la France Libre se composait à cette époque, de deux canons de 75 rapatriés de Norvège et servis par la section venue d'Angleterre avec nous. La Légion venait de capturer quatre 65 de montagne de fabrication italienne, avec un bon nombre de caisses d'obus. Je devins le pointeur d'une de ces pièces."
Après avoir stationné un mois en Palestine, l'unité de Monsieur RAMBACH reprend le combat.
"Le 7 juin, l'ordre de départ est donné et le régiment contourne le lac de Tibériade par le sud, traverse un coin de Transjordanie. Le 8, nous entrons en Syrie et immédiatement, nous sommes mitraillés par une escadrille française, constituée de Glenn-Martins. Nous descendons des véhicules, nous nous tapissons au bord de la route et tirons au fusil sur nos assaillants, sans succès. Comme à Dakar, nous avons en face de nous "l'Armée d'Armistice", commandée par Vichy et cette fois, le combat est inévitable. Le 15, c'est l'attaque, mais la 3ème batterie n'a pas de véhicules et doit attendre. Après la prise de Damas, nous recevons des mulets. Nos canons se démontent en quatre charges: le tube, l'affût, le frein, les roues. Quel travail pour remonter la pièce! En outre, nos soldats libanais semblent peu motivés et s'éparpillent quand nous sommes bombardés. Enfin, on nous change nos diaboliques mulets contre un camion Citroën. Ma pièce est envoyée se mettre en position au village de Nebeck, avec comme mission de protéger une section de la Légion. J'eus la chance d'enrayer une attaque de trois petits chars Renault, en atteignant l'un de plein fouet et en provoquant la fuite des autres. Nous arrivons ainsi au 10 juillet 1942, quand le Général vichyste DENTZ demande l'armistice.
Le 29 décembre, la 1ère Brigade, commandé par le Général KOENIG et dont nous faisons partie, quitte la Syrie. Nous traversons la Palestine dans l'autre sens et pénétrons en Egypte. Nous contournons Alexandrie et parvenons en Libye. Après un arrêt à El Daba, nous nous mettons en position à Halfaya, où une garnison allemande est encerclée depuis trois mois. Le lendemain de notre arrivée, les 5000 Allemands capitulent (ce qui semble n'être qu'une coïncidence). Le 7 février 1942, la Brigade s'installe à Bir Hakeim. Nous commençons aussitôt à creuser les emplacements des pièces. Puis la 3ème batterie participe à une "Jocke Column". C'est une sorte de raid qui dure une dizaine de jours. On sort de la place, on file vers l'ouest; on cherche le contact avec des éléments ennemis qui patrouillent dans le désert. On tâche de leur démolir quelques véhicules et on retourne en vitesse se mettre à l'abri dans notre position derrière les champs de mines. J'aime beaucoup ce genre d'action: comme j'étais passionné par la mer, j'avais l'impression de naviguer dans cet océan de sable. En plein désert, la vie est plutôt monotone; le ravitaillement est suffisant quoique peu varié: corned-beef, biscuits, oignons, confiture d'oranges, thé. C'est surtout l'eau qui manque. Elle nous arrive de Tobrouk par citernes et chaque soldat ne dispose que deux à trois litres par jour pour la boisson, la cuisine et la toilette. En revanche, l'essence abonde et c'est avec ce liquide que le linge est lavé.
Arrive le 13 mai 1942. Une 5ème batterie, en provenance de Syrie et commandée par le Capitaine MARSAULT, fait escale à Bir Hakeim. Elles est incomplète en personnel qualifié et chacune des quatre batteries doit lui prêter un chef de pièce et un pointeur. Je fus désigné; je quitte donc mes camarades. La B5 fait aussitôt mouvement. Deux jours plus tard, nous arrivons à l'oasis de Djaraboub (230 kilomètres au sud-est de Bir Hakeim), tenue par le BM11. Nous sommes à l'extrême sud du dispositif, à la lisière d'une mer de sable infranchissable. Nous avons pour mission de créer une "brigade fantôme", en traînant de faux camions et canons en bois avec force traces de roues et trafic radio intense: tout pour attirer l'aviation ennemie et soulager d'autant les autres points forts de la ligne de front. Mais les nouvelles sont mauvaises et l'ordre de repli est donné. La position de Bir Hakeim est évacuée le 11 juin. La 5ème batterie regagne Le Caire en traversant la dépression de Qattarah, ce qui était un exploit (30 juin-7 juillet). Au Caire, j'apprends les pertes considérables de la 3ème batterie.
Courant octobre, la brigade remonte en ligne et occupe des positions au sud d'un front continu de la dépression de Qattarah jusqu'à la mer. Le 24 octobre, c'est l'attaque. Nous sommes en batterie au pied du plateau de l'Himmeimat que la Légion tente vainement d'escalader (c'était une mission impossible), pendant qu'au Nord, les Australiens vaincront à El Alamein. Les troupes britanniques vont progresser rapidement, tandis que l'Afrika Korps de ROMMEL se replie. Les Anglais semblent ne plus avoir besoin de nous. Pendant six mois, de novembre 1942 à avril 1943, nous serons cantonnés à Gambut, à 60 kilomètres à l'est de Tobrouk, où nous nous morfondons en plein désert.
Le régiment se mettra enfin en route fin avril, pour participer à l'ultime phase de la bataille de Tunisie". Laurent laloup le samedi 17 février 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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