| | | | | Un Français Libre parmi 62958 | | | Marcel Louis Athanase Mulard | |
Naissance : 17 mars 1920 - Le Tréport (76)
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Antilles
Engagement dans la France Libre : en mars 1943
Affectation principale : FNFL / marine de guerreCombattante, caserne Bir Hakeim Matricules : 661 FN43
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : quartier-maître timonier
Décès à 88 ans - 18 avril 2008 - Dieppe (76)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 436691
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 10638
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 37828 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Marcel Louis Athanase Mulard - son Livre ouvert ! Nom : MULARD
Prénom : Marcel Louis Athanase
Sexe : M
Jour de naissance : 17
Mois de naissance : 03
Année de naissance : 1920
Code insee naissance : 76711
Commune de naissance : Le Tréport
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 18
Mois de décès : 04
Année de décès : 2008
Code insee deces : 76217
Commune de décès : Dieppe
Pays de décès : FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le samedi 11 septembre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Marcel Louis Mulard ? Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres
HUGHES, Pauline
Naissance : 18 novembre 1922, Blackpool, Royaume-Uni.
Résidence : Blackpool, Royaume-Uni.
Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage.
Date de déclaration : 25 mai 1945.
Conjoint : MULARD, Marcel.
Mariage : date non indiquée.
Remarque : "Marine". Laurent Laloup le samedi 05 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Lettre de Marcel MULARD au général DE GAULLE Ci-joint la lettre adressée le 27 avril 1943 par Marcel MULARD au général DE GAULLE par l'intermédiaire du bureau de la France Libre de New York . Il y explique les raisons de son ralliement à la France Libre et y relate les circonstances de son évasion de la Martinique. Ce document, malheureusement apparemment incomplet, est conservé aux Archives nationales dans le fonds du Comité d'Histoire de la Seconde Guerre mondiale.
Cordialement,
Jacques OMNÈS
Cliquez pour agrandir
OMNÈS Jacques le lundi 11 décembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
la combattante Je suis le fils de Jean Briançon quartier maître de 1ère classe électricien matricule 0138.1617 ( 623 FNFL 42) .
Il a servi sur la combattante du 1er février 1943 au 1er février 1945 .
Il a écrit un journal de bord et nous avons ( la famille et particulièrement mon beau frère) fait un petit livre de juillet 1944 à février 1945.
Je reste à votre disposition si vous voulez les passages du débarquement !
Amitiés
Luc Briançon Briançon luc le dimanche 15 juin 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
" «Henri Letourneur descend de quart. Léon Guillaume dort. Roger Passepont «est en veille hydrophonique à l’Asdic. Vers 23h30, Marcel Mulard, le timonier de quart, qui doit réveiller mon remplaçant, pénètre dans la petite baraque Asdic sur la droite de la passerelle, et d’où il nous est interdit de sortir afin de préserver de tout bruit parasite notre ouïe à l’affût. Il me demande:
– Qui dois-je réveiller?
Je lui donne le nom de mon successeur. Et Marcel Mulard, aussitôt, descend l'escalier conduisant à la salle des cartes et à la chambre du commandant, quittant ainsi la passerelle. Ce qui, dans quelques instants, lui sauvera la vie…» "
Les rebelles de La Combattante Par Eddy Florentin Laurent le mercredi 04 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
"un veteran - par Mulard
je voulais vous informer de la disparition de Mr Marcel Mulard survenue le vend 18 avril 2008 a l'age de 88 ans . il etait ancien marin sur la combattante (cartier maitre timonier ) il est en photo a plusieurs reprise dans votre rubrique sur la combattante avec la maquette du bateau
salutations "
grieme.org Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
L'Informateur
Publié le 03 juin 2004
1- Sur le pont de la Combattante le 6 juin 1944
Au matin du 6 juin 1944, le destroyer La Combattante, battant “pavillon à Croix de Lorraine sur la corne bâbord”, se tient face à Courseulles-sur-Mer pour l’opération “Overlord”. A son bord, sous les ordres du capitaine de corvette Patou, 200 engagés dans les Forces Navales Françaises Libres. Parmi eux Marcel Virmontois de Eu, Jean Bourlès de Beauchamps et Marcel Mulard du Tréport. Laurent Laloup le jeudi 14 juin 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
La Combattante Extrait de :
Le Tréportais, Marcel Mulard, est dans sa 24e année et sert sur le navire en tant que timonier. Engagé volontaire en 1938, il désertera l’armée de Vichy lors d’une affectation dans les Antilles avec comme objectif de rejoindre les Forces Françaises Libres en Angleterre. Le voyage sera long et sinueux, la bataille de l’Atlantique fait rage mais au final il intègre, comme il le souhaitait, les “rebelles”. Après une formation à Skeegnesse, pour se familiariser avec le code maritime d’Outre-Manche, il embarque en juin 1943 sur la Combattante. Les missions du torpilleur, “un remarquable bâtiment de combat”, comme le souligne l’amiral Jacques Zang qui y officiait, “à l’aise dans des mers étroites comme la Manche et la partie sud de la Mer du Nord”. La période de pré-débarquement est d’une intense activité: “il fallait interdire à la marine allemande de s’approcher des côtes britanniques où s’accumulaient les tonnes de matériel en vue du débarquement”, confiait Marcel Mulard, à l’occasion du 50e anniversaire du débarquement.
La veille du Jour-J, le capitaine de corvette Patou annonce à son équipage ”Cette fois c’est la bonne. Demain matin, nous débarquons sur les côtes de la France... Soyez fiers, le seul bâtiment français faisant partie des opérations rapprochées est le nôtre. Nous serons les premiers à faire flotter le pavillon à croix de Lorraine, à toucher nos côtes”. Le commandant de la Combattante ne savait pas si bien dire. L’amiral Jacques Zang raconte ainsi “avant de mouiller la première fois, la Combattante s’était un peu trop approchée de la côte et avait touché le plateau sous-marin du Calvados”. Cet incident lui avait valu du navire britannique voisin, le Vénus, le message en morse lumineux: “Je suis heureux que ce soit un Français qui ait le premier touché le sol de France”!
Le chef de la France Libre à bord
Au matin du 14 juin, de retour de patrouille dans le port de Portsmouth, l’équipage de la Combattante voit arriver un défilé de véhicules officiels. Sort de l’un d’eux, un personnage de grande taille à la tête couverte d’un képi. Tous reconnaissent le général De Gaulle, premier des rebelles et récemment devenu le président du gouvernement provisoire. “Votre bateau est désormais un bateau historique; vous entrez dans l’Histoire avec lui”, annonçait-il à l’équipage en face de Courseulles-sur-Mer, où il débarquait pour sa première visite en France.
Bateau historique, la Combattante n’en était pas pour autant invulnérable. Dans la nuit du 23 février 1945, au large de Grimsby (Nord-est de la Grande Bretagne), le destroyer est victime d’une violente explosion qui le coupe en deux. La cause du sinistre est une mine que le navire n’a pu éviter. 67 hommes, dont deux britanniques, disparaissent. Grizel, Mounier, Omnis, Ibanez, Huguet, Laville, Legars, Meudes, Jousseaume, Richard... et les autres n’auront pas la chance d’assister à la reconstruction de la France, après avoir activement participé à sa libération. Marcel Virmontois, Jean Bourlès et Marcel Mulard s’en sortent heureusement indemnes, comme 116 autres marins.
Aujourd’hui seule une vingtaine de membres de l’équipage sont encore vivants. A 84 ans, Marcel Mulard regardent les cérémonies du 60e anniversaire du Débarquement de loin et un peu amer. “C’est du passé, il n’y a plus rien à dire. Cela fait soixante ans... Jusque là nous n’avons fait que de la figuration lors des cérémonies commémoratives”, confie-t-il. D’autres, comme l’amiral Jacques Zang, continuent à témoigner pour que vive la mémoire de ce destroyer qui fit la fierté des Forces Navales Françaises Libres. Laurent Laloup le jeudi 14 décembre 2006 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le samedi 11 septembre 2021 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.76 s  8 requêtes
|
|