Un Français Libre parmi 62932
 

Michel Louis Marie Meyrand

Michel Louis Marie Meyrand - son Livre ouvert !
 

patrice.laverdet.pagesperso-orange.fr 

Jacques Ghémard le vendredi 28 février 2020 - Demander un contact

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Paris-soir (1923) - 1941/09/27 (Année 2, N°441,ED6) 

Laurent Laloup le mercredi 23 janvier 2019 - Demander un contact

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Décoration

Le commandant Michel MEYRAND fut nommé au commandement du groupe de bombardement Bretagne au début du mois de décembre 1943. Il assurera cette fonction jusqu' en novembre 1944.
Il fut nommé chevalier de la Légion d'honneur, pour actions de guerre ayant fait l'objet de citations antérieures, par décret collectif du 20 août 1945, avec prise de rang à la date du décret, publié au JORF du 16 septembre 1945 (pages 720-721)

MORIEULT Yves le mercredi 02 mars 2016

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parcours FAFL

Né à Andanche (Ardèche) le 8 octobre 1912 (merci de corriger), le commandant Michel, Louis, Marie Meyrand, nommé à titre temporaire le 15 juin 1943, avait rejoint la France Libre le 30 juin 1940. Breveté pilote n°27.746 il déclarera avoir volé sur Goéland, Blenheim et Glenn Martin. Enregistré FAFL avec le matricule 41.537 on le retrouvera par la suite au Groupe Bretagne.

Bertrand H

Bertrand H le mardi 01 mars 2016 - Demander un contact

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Réponse :

Andance 

Michel Meyrand

Le général Saint-Hillier ,de Jean-Christophe Notin :

La camaraderie FFL est salutaire en pleine tourmente. Le 6 sep­tembre, le capitaine Pierre de Maismont, pionnier des ailes Free French dans le Western Désert, vient ainsi chercher Saint-Hillier à Homs pour le conduire en avion à un dîner très spécial organisé à Damas. Autour de la table, neuf anciens de la promotion du Tafila-let. Saint-Hillier retrouve les aviateurs Meyrand et Lagier, mais aussi Golfier, Martinelli, Hugo et Duboc. Tous ont appris avec tris­tesse que leur « petit-co » Henri de Sigalas a été tué dans l'armée Dentz, le 30 juin, d'un balle en plein front.

Laurent le dimanche 04 octobre 2009 - Demander un contact

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Ralliement à Gibraltar

Gibraltar est à 475 kilomètres d'Oran, Pour naviguer, Mouchotte et Guérin ont une carte arrachée à un atlas scolaire. Tout se passe bien pour eux et pour le « Simoun », mais, le même jour, un autre groupe d'évadés, venant du Maroc, a moins de chance : trois avions « Glenn Martin» en provenance du terrain de Ber-Rechid, se présentent en fin de journée au-dessus de Gibraltar. Le premier, piloté par le capitaine Meyrand, seul à bord, atterrit sans difficulté. Le second, avec le capitaine Lager et les lieutenants Aubertin et de Saint-Péreuse, est tiré par la DCA. espagnole, mais réussit à se poser sans encombre. Le troisième, hélas! au dernier virage, moteur réduit, volets sortis, est abattu par les mitrailleuses espagnoles et tombe dans les eaux anglaises. Ses quatre occupants sont tués. Ce sont les premiers morts de la France libre : capitaine de Vendeuvre, lieutenant du Plessis, lieutenant Berger, sous-lieutenant Weill. On leur fera, à Gibraltar, des funérailles émouvantes dans le silence et la dignité.

(extrait de "Miroir de l'histoire", n° 306, octobre 1978)

Francis Deleu le jeudi 11 décembre 2008 - Demander un contact

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Dans "Leclerc" de JC Notin

Page 475

Encore une "pointure" : né en 1910, il fut le plus jeune candidat à intégrer Saint-Cyr en 1931 quand Leclerc y était instructeur. Après avoir rallié Gibraltar à l'été 1940, il a été de l'aventure des ailes françaises libres dont il prit le commandement d'un des groupes de bombardement, le Bretagne, en 1943. Il termina le conflit avec 2500 heures de vol dont 500 de guerre.

Il était l'un des 12 qui ont trouvé la mort en même temps que Leclerc, dans le crach de son avion le 28 novembre 1947.

Jacques Ghémard le samedi 24 février 2007 - Demander un contact

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