Georges Léon René Caton - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Léon René Caton



Naissance : 5 janvier 1920 - Nice (06)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1943

Affectation principale : Résistance intérieure / Gallia

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 83 ans - 8 janvier 2003 - Cressy-sur-Somme (71)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 111958

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 9973

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DENOMINATION "RUE BLANCHE ET GEORGES CATON" A LYON 7E.

" Blanche et Georges CATON (1918-2012) et (1920-2003) : Résistants, membres du Réseau Gallia à Lyon. Blanche Elmaleh est née en 1918 à Marseille, Georges Léon Caton est né en 1920 à Nice. Ils se rencontrent en 1943 à Toulon. Georges Caton, alors directeur d’un centre d’apprentissage de jeunes délinquants, refuse de conduire ses apprentis à une fête donnée en l’honneur de Jeanne d’Arc par le régime de Vichy. Il est convoqué par un conseil de discipline puis renvoyé de ses fonctions de directeur, avec menace d’arrestation et d’envoi en Allemagne. C’est à partir de là que Georges et Blanche Caton quittent le Sud de la France pour se rendre à Lyon, où le frère aîné de Blanche, Jacques Elmaleh, les recrute comme agents de l’Organisation du Réseau Gallia. Georges Caton devient rapidement chef de liaisons de Gallia, il a la charge de toute la région Sud. Blanche, l’accompagne dans ses actions de résistance. A la fin de l’année 1943, ils accueillent chez eux le Général Jean De Lattre de Tassigny, évadé de la prison de Riom, pendant son séjour à Lyon. Georges Caton lui sert de garde du corps. A la fin de la guerre, Georges Caton intègre l’Education nationale, en tant qu’instituteur puis directeur d’une école à Hyères-les-Palmiers. Il est également Conseiller régional du Var, puis Maire de Hyères-les-Palmiers. Georges et Blanche Caton sont tous les deux décorés  : Croix du combattant volontaire de la Résistance, Croix du combattant 1939-1945 engagés volontaires, médaille de la reconnaissance de la Nation française. Georges Caton décède le 8 janvier 2003, Blanche Caton le 16 avril 2012, tous deux à Hyères-les-Palmiers.» "
www.lyon.fr 

Photo Georges Léon Caton :
www.reseaugallia.org 

Laurent Laloup le mardi 17 décembre 2019 - Demander un contact

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"Né le 5 janvier 1920 à Nice (Alpes-Maritimes), mort le 8 janvier 2003 à Cressy-sur-Somme (Saône-et-Loire) ; instituteur ; maire communiste d’Hyères (Var) en 1968 ; conseiller général (1967-1973).
...
Démobilisé, il reprit ses études jusqu’à la fin de la troisième année et, au début de 1943, devint chef de liaison du réseau de résistance Gallia sous le pseudonyme de « Fédor » dans la région lyonnaise. Il hébergea le général de Lattre de Tassigny après son évasion de la prison de Riom. Il s’était marié en mai 1941 à Marseille (Bouches-du-Rhône) avec Suzanne, Marie Bourdillat. Ils eurent une fille. Son épouse, restée chez les parents de Caton (sa mère, hostile au Front populaire, avait une action résistante) qui habitaient maintenant Toulon, infirmière dans la Résistance, fut fusillée par les Allemands lors de la libération de Toulon, le 25 août 1944. À la Libération, Georges Caton fut muté au service Action de la Direction générale des études et des recherches à Paris. Il fut chargé de diriger un commando devant être parachuté au Japon. Mais après la capitulation de ce dernier pays, le commando fut affecté en Indochine. Caton démissionna alors de l’armée en septembre 1945..."

maitron-en-ligne.univ-paris1.fr  notice CATON Georges, Léon, René, Albert par Jacques Girault, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 25 octobre 2008.

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Dernière mise à jour le mardi 17 décembre 2019

 

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