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| Marie Victor Pierre Jean Gué
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Marie Victor Pierre Jean Gué - son Livre ouvert !
Csar Khilane (Tunisie). Février-mars 1943 Ce document composé de 2 feuilles (3 pages) est particulièrement émouvant. Ecrit de la main de Jean Gué, il s'agit des dernières pages (et seules conservées) de son journal. Il se termine le 17 mars 1943. Jean est mort deux jours après, le 19 mars... 
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Odile Pradal le jeudi 22 décembre 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Convoi de relève sur Koufra (14 mai au 3 juin 194?) Ce document est la 1ère page d'un ensemble de 9 pages recto-verso. C'est un compte-rendu détaillé de la "relève sur Koufra" du 14 mai au 3 juin 1941, écrit de la main de Jean Gué.
Le sergent chef P. Gué mentionné dans les premières lignes comme permissionnaire est le frère de Jean, Philippe. 
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Odile Pradal le jeudi 22 décembre 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Jean Gué à Douala en 1939-1940 Je viens de retrouver un cliché, visiblement pris à la même occasion que le cliché que j'ai publié en février dernier. Au dos de ce cliché, de la main de mon frère Jean Gué, des annotations qui éclairent la date (25 janvier 1940), le lieu (le Lido) et l'occasion (Banquet des Ecoles à feu) et surtout donne le nom des participants, qu'il est facile d'identifier par la disposition des noms. Cependant, lui-même ne se nomme pas ! Les prénoms ne sont pas donnés. Certaines de ces personnes sont sans doute des Français Libres... 
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Roger Gué le mardi 16 novembre 2021 Recherche sur cette contribution | |
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Arrivée de de Gaulle à Douala (8 octobre 1940) Accueil de de Gaulle par Leclerc au port de Douala. Jean Gué, aide de camp du colonel Leclerc est en arrière plan entre les 2 grands hommes. 
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Roger Gué le dimanche 28 février 2021 Recherche sur cette contribution | |
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Mon frère Jean Gué Marie Victor Pierre Jean Gué, (dont le prénom d'usage est Jean) est né à Bordeaux, pendant un congé, 3e enfant et 2e fils d'une famille bordelaise, dont le père, Emile, travaillait à Haïphong (Tonkin).
Ingénieur diplômé de l'Ecole Centrale des Arts et Manufactures ("Centrale"), il a fait son service militaire en 1932-1934 en Tunisie. Puis il part au Cameroun en 1935, pour travailler dans une entreprise d'exploitation forestière et autres travaux. En 1939, il est mobilisé sur place à Douala. Il entend l'appel du Général de Gaulle et prépare le ralliement de la colonie à la France Libre et l'arrivée de Leclerc, alors encore capitaine. Ce dernier, nommé colonel, le prendra comme aide camp. Il accueille le Général de Gaulle à son arrivée à Douala, le 8 octobre 1940.
Il quittera ce poste à l'état major au départ vers le Tchad pour prendre le commandement d'une compagnie de reconnaissance. Il participe à toutes les opérations de la colonne Leclerc, sauf Koufra.
C'est à la tête d'une compagnie de reconnaissance qu'il est tué, en sautant sur une mine, le 19 mars 1943 à Ksar Khilane en Tunisie.
Son frère Philippe l'accompagna dès le début (il travaillait également au Cameroun en 1940). Son plus jeune frère, Roger, s'est engagé pour rejoindre ses ainés en 1943. Ils ont chacun leur fiche de FFL. Roger Gué le dimanche 28 février 2021 Recherche sur cette contribution | |
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 "... Lors de la conquête du Djebel-Outid, le Général me dit : " Vous m'accompagnerez avec Guillebon. Nous partirons au lever du jour, afin de voir le départ de l'attaque. Je vous ferai signe..." Je m'endors tranquille. Quand je me réveille, il fait déjà jour... Le Général dort-il encore ? Je vais à son petit abri recouvert de sacs à terre et creusé à quelques marches de profondeur. Il n'est plus là. Je continue chez Guillebon ; je le réveille : " Il fait jour... Le Général est parti ! "
Renseignements pris, le Général, en pleine nuit, a été averti de pertes sérieuses par mines au moment de la mise en place. Il s'est aussitôt porté sur les lieux. Quelques heures plus tard, nous le rejoignons sur la position conquise. " Vous dormiez, je n'ai pas voulu vous réveiller, je suis parti voir ce qui s'était passé - et il ajoute un peu plus tard, parlant du Lieutenant Gué qui vient d'être tué. - Il était l'un de mes anciens du Cameroun... "
Laurent Laloup le lundi 07 août 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Ok, merci. Il est fait mention de Jean Gué dans l'ouvrage suivant : «L’odyssée de la colonne Leclerc» par Didier Corbonnois aux éditions Histoire & Collections, 2003. Guilhem Touratier le lundi 07 août 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Voilà j'ai créé une nouvelle page et transféré vos messages, encore un oublié qui ne l'est plus. Merci !
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