Norbert Roger Judas Beyrard né Benchemoul - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Norbert Roger Judas Beyrard né Benchemoul



Naissance : 16 juin 1925 - Palikao, Algérie

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : en juin 1943

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal

Décès à 91 ans - 13 février 2017 - Saint-Julien-en-Genevois (74)

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4557ligne 5445

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Norbert Roger Judas Beyrard né Benchemoul - son Livre ouvert !
 

c'était le fils du frère de ma mère Anna Benchemoul

J'étais passé le voir fin 2016 et nous avions convenu de lui communiquer mes brevets, ce que j'ai fait hélas trop tard. J'ai 89 ans et je pense souvent à lui.

israel simon le samedi 21 octobre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - le conseiller économique au service de l’Afrique

Une photo de Norbert Beyrard, avec annotation au dos « 1977 – Remise de la cravate de Commandeur de l’Ordre National de la Côte d’Ivoire »



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Jacques Ghémard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - le conseiller économique au service de l’Afrique

Une photo de Norbert Beyrard, avec annotation au dos « 1975 – Avec Henri Konan Bédié à la Banque Mondiale » (qui deviendra Président de la République en 1993).



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Jacques Ghémard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - Les 1ères inventions

Une photo de Norbert Beyrard, avec annotation au dos « 1958 – Remise de la décoration de Chevalier du Mérite pour la Recherche et l’Invention »



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Jacques Ghémard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - Extrait livre sur la Guerre d’Indépendance d’Israël

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Beyrard Jean-Pascal le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - Article du Jerusalem Post de mars 2017

Article paru dans le Jerusalem Post le 20 mars 2017 après le décès de M. Norbert Beyrard

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Beyrard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - Remise Médaille, Guerre d’Indépendance d’Israël.

Photos en noir et blanc de Norbert Beyrard, avec annotation au dos « Remise Médaille Israël Colonel Nichri », de mémoire à l’ambassade de Paris.



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Beyrard Jean-Pascal le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert BEYRARD - Remise Médaille, Guerre d’Indépendance d’Israël.

Jacques Ghémard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert Beyrard - Photo Remise de la Croix de Bronze de Hollande 1950

Je me permets de remercier les personnes qui ont contribuées à la mémoire de mon père, M. Norbert Beyrard et ce site internet qui le permet pour lui et beaucoup d’autres. Après son rappel à Dieu en février 2017, j’ai trouvé quelques photos qui sont des témoignages de sa vie et de la diversité de son chemin. Elles illustrent son engagement dans la France Libre à laquelle il était très attachée, plus tard dans la guerre d’Indépendance d’Israël, puis comme inventeur et enfin, au service du développement économique de différents pays en Afrique.

Photos en noir et blanc de Norbert Beyrard, avec annotation au dos « 1950 –remise de la Bronzen Kruiis » ou Croix de bronze de Hollande, de mémoire aux Invalides.

J-P Beyrard



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Beyrard Jean-Pascal le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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Norbert Beyrard - Photo Remise de la Croix de Bronze de Hollande 1950

Jacques Ghémard le mercredi 13 septembre 2017 - Demander un contact

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"Décès de l’un des derniers parachutistes de la France Libre
9 mars 2017

Norbert Beyrard, l’un des derniers parachutistes de la France Libre et créateur de la première unité des forces spéciales du jeune Etat d’Israël, est décédé à Divonne-les-Bains le 13 février à l’âge de 91 ans.

Le site de l’Union nationale des parachutistes (UNP) a consacré une longue biographie à ce soldat d’élite qui fut également un inventeur qui déposa quelque 150 brevets dont celui du scanner médical à haute définition.

Norbert Benchemoul, juif français, alias Norbert Beyrard naît le 16 juin 1925 à Palikao (aujourd’hui Righenif) en Algérie, à une centaine de km au sud-ouest d’Oran. En 1943 il rejoint les Forces Françaises Libres à l’âge de 18 ans. Après sa formation de parachutiste à Ringway (Angleterre), il est affecté au 3ème Special Air Service (SAS) et parachuté en Bourgogne en juillet 1944, après de le débarquement en Normandie, pour participer à des opérations de sabotage.

Son « stick » (section de combat) s’illustre dans la bataille de Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire) où une vingtaine de parachutistes SAS soutenus par le maquis de Corlay neutralisent un millier de soldats allemands en attaquant la garnison sur des jeeps armées de mitrailleuses.

En avril 1945, Norbert Beyrard, caporal, est parachuté aux Pays-Bas avec son régiment, devenu le 3è régiment de chasseurs parachutistes (RCP). Les SAS doivent fixer les Allemands dans la ville d’Oranje. Grièvement blessé, fait prisonnier, il s’évade quelques semaines plus tard. Pour ces faits d’armes, il est décoré de la Légion d’honneur, de la Médaille militaire, de la Médaille de la France Libre et la Croix du Lion de Bronze hollandaise avant d’être démobilisé"

Jacques Ghémard le lundi 21 août 2017 - Demander un contact

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Beyrard ou Benchemoul ?

" Le dernier chasseur parachutiste à qui je rends hommage et qui finira la guerre avec le grade d’officier, comme Aspirant, est Norbert Beyrard de son vrai nom Norbert Benchemoul[2].
Il est né en 1925 à Palikao en Algérie. Il rejoint les FFL à 18 ans en 1943 et est envoyé à Ringway en Angleterre pour être formé comme parachutiste. Il est affecté au 3ème SAS et est parachuté en Bourgogne en juillet 1944 pour participer à des dizaines d’opérations de sabotage. Son «stick» porte le nom de son Lieutenant : le «Stick Zermati» – l’adjoint étant le sous-lieutenant Rémi Dreyfus. La plupart des membres de son commando sont juifs (Sebag, Barkatz, Lombardo, Beyrard). Ils s’illustreront glorieusement dans la bataille de Sennecey-le-Grand – celle où une vingtaine de SAS soutenus par le maquis de Corlay blessent ou tuent près de 1.000 soldats allemands en attaquant la garnison sur des jeeps armées de mitrailleuses. Sur les vingt paras engagés ce jour-là, onze périssent. Six d’entre eux étaient juifs et Norbert Beyrard récitera le Kaddish pour eux : l’Aspirant Lyon-Caen, l’Adjudant Benhamou, les deux frères Djian, les parachutistes Barkatz et Lombardo. Cette action commando permettra la libération de Châlons-sur-Saône et fut tellement emblématique que c’est à Sennecey-le-Grand que fut érigé, après guerre, le Mémorial des SAS tués lors des combats pour la libération de la France.
Beyrard, comme les autres SAS, est ensuite renvoyé en Angleterre pour être parachuté en avril 45 aux Pays-Bas. Nommé officier, il doit, avec son stick, fixer les Allemands dans la ville d’Orange. Ils se battent à 20 contre une centaine de paras allemands. Il est grièvement blessé et fait prisonnier mais s’évade quelques semaines plus tard et retrouve les SAS. Il reçoit la Légion d’honneur, la Médaille Militaire et la Croix de bronze hollandaise et reprend ses études d’ingénieur. Après guerre, Beyrard déclara « Dans mon Bataillon du 3ème SAS, sur 400 parachutistes, près de 100 étaient juifs et 15 étaient officiers »[3].

[2] Sources :
Colonel Roger Flamand, Paras de la France Libre, Presses de la Cité.
La guerre d’indépendance d’Israël, 1948-1949, Témoignages des volontaires français, édition MAHAL.
[3] Source : La guerre d’indépendance d’Israël, 1948-1949, Témoignages des volontaires français, édition MAHAL.

Jacques Ghémard le lundi 21 août 2017 - Demander un contact

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"... D’autre par me dit Boissonnas : avec les quatre para qui vous restent dont Norbert Beyrard empêché de venir ici aujourd’hui et une quarantaine d’hommes, ou plus, appartenant au maquis du Charolais qui nous hébergeait et nous protégeait, vous allez occuper Laives dont les allemands sont partis. Le village domine Sennecey et servira de refuge aux jeeps après leur coup de force.
Je veux expliquer pourquoi ce fut à moi que s’adressa Boissonnas alors que le chef de mon stick parachuté le 17 août entre Chalons et Tournus était le lieutenant Zermati. Il avait été victime la veille, le 3 septembre, d’une crise de palud et évacué par nos maquisards vers des lieux plus calmes. Il fut rétabli en fin de soirée et se rendit dans la nuit à un rendez‐vous avec Jarrot (commandant un des bataillons du maquis) et d’autres officiers qui préparaient l’opératif du lendemain.
Revenons à Sennecey et nous voilà partis, mais nous fumes reçus à coup de fusil mitrailleur. Les allemands avaient réoccupé le village et ce fut à nous de les déloger.
Je poste des hommes armés de fusil un peu partout autour du village ce qui fit croire aux allemands que nous étions nombreux mais quand ils s’aperçurent de notre bluff ce fut à nous de souffrir. Nous avons échangé des fusillades pendant un bon moment. Il faut noter aussi que Norbert Beyrard proposa de laisser sortir les blindés et de les accueillir à coup de bazooka. Cette initiative se révéla accablante pour les allemands et permis à plusieurs d’entre nous de s’évanouir vers les zones contrôlées par le maquis..."

Témoignage de Rémi DREYFUS Sennecey‐le‐Grand, bataille du 4 septembre 1944 

Laurent Laloup le vendredi 05 août 2016 - Demander un contact

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"...Two men who do know the subject well are French Jews Raymond Kwort and Norbert Beyrard – each one of them a seren (captain) in TZAHAL (IDF) at its inception. Prime Minister Yitzhak Rabin, one of the IDF’s founders, was referring to such men when he wrote in his memoirs that the newly created State of Israel was “blessed with a flow of Jewish volunteers” when the country came under attack from several Arab armies.

“They were first-class soldiers but their principal contribution was to serve as a reminder that we were not alone,” Rabin wrote in “The Rabin Memoirs” (Weidenfeld, 1979).

Kwort and Beyrard, now greying but still powerfully built, like to recall the past when they meet for lunch every month or so at one of Paris’ most closed private establishments, the “Free French Club” (Club des Francais Libre) in the city’s 13th arondissement (district). They are members of the club because the military experience they brought to the then-fledging TZAHAL was gained fighting under General de Gaulle’s Cross of Lorraine emblem on the battlefields of World War II, after the fall of France in 1940. The Paris-born Kwort, now 74 and the son of Lithuanian immigrants to France, was one of the first volunteers in De Gaulle’s Free French forces in England in June 1940. He fought against the Italians in Eritrea, against the Vichy French in Syria and against the Germans in Libya, Tunisia, Italy, and France.

Beyrard, born in Algeria 70 years ago, was first jailed by the Vichy French there when he was only 16. Later, under De Gaulle’s colors he was parachuted behind Nazi lines in occupied France in 1944 and in Holland in 1945.

Ray served in Israel as an intelligence officer with the 7th Brigade in 1948-49 on the northern front, while Norbert was head of the long-range Yehidat Siyur reconnaissance unit in the same area, before becoming operations officer of the country’s first parachute battalion. “TZAHAL wasn’t the force it is today. The disorganization was such that Pancho Villa’s Mexican bandits were like the Prussian Guard compared to us. Let’s put it this way,” says Ray, “we were lucky we were not fighting against the Germans. There might not be a State of Israel today if we had been pitted against a modern army.”..."

www.machal.org.il 

Laurent Laloup le vendredi 05 août 2016 - Demander un contact

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www.machal.org.il 

"... Derek Bowden’s recollections in a letter to Joe Woolf sent in 2006:

When Chaim Laskov told me to start a new school, I went to visit the old unit which had a place up in the pines at Ahuza. They had been there since 1948 – a company, and had done some jumps. There were Americans, Belgians and French, and all were given the chance to come down to the new place at Tel Nof. Only one, Charlie Bortz (101st American Airborne Division) came. In addition we had Abraham Erlich who later went on to command a battalion in the new Paras. and was made an aluf.

I regret I was only able to have a brief visit to disband the old unit and did not really know the old guys well. Incidentally, I met Eva (Chava) my wife there. She was the nurse in the old unit, and became my secretary at Tel Nof. Captain Norbert Benchemoul (now in the South of France) was the intelligence officer.

The old unit had company strength and was well equipped in those days, with jeeps, Bren guns, and so on, and they’d erected a steel tower some 100 feet high for Omega training. I was never told why it was to be disbanded as it was a dedicated unit with very keen chaps..."

Laurent Laloup le mercredi 13 juillet 2016 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 21 octobre 2017

 

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