| |  | | | | Un Français Libre parmi 62932
| | | Philippe Marc Valat | |
Naissance : 12 septembre 1917 - Paris 15e
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en septembre 1941
Affectation principale : BCRA /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent
Décès à 88 ans - 10 décembre 2005 - Paris 13eUn des évadés par la Russie
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295746
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50856 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Philippe Marc Valat - son Livre ouvert !
Titre(s) : Les réseaux de résistance de la France combattante [Texte imprimé] : dictionnaire historique / [Service historique de la défense] ; [rédigé par] Stéphane Longuet, Mathilde Meyer-Pajou, Béatrice Grand... [et al.] ; sous la direction de Stéphane Longuet et Nathalie Genet-Rouffiac ; préface d'Olivier Wieviorka
Publication : [Vincennes] : SHD, Service historique de la défense ; [Paris] : Economica, DL 2013 
Laurent Laloup le dimanche 03 décembre 2023 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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 "... 9) Les labyrinthes de la liberté, Editions du Félin, 2000, p. 160, 164. Sur son réseau, la « mission Salles », voir Nathalie Genet-Rouffiac, Dictionnaire historique des réseaux de la France combattante, Vincennes, Service Historique dela Défense, 2013, p. 684.
(10) Du nom d’un courtier maritime de Marseille, Edmond Salles, qui renseigna la France libre sur l’Afrique du Nord de mars 1941 au 12 août 1942, date de son arrestation. Son réseau comprenait sept personnes. Cf Nathalie Genet-Rouffiac (dir), Dictionnaire des réseaux de la France combattante, Vincennes, Service Historique de la Défense, 2013, p 693.
(11) Réseau voué aux évasions d’aviateurs alliés tombés sur le sol européen, rattaché au MI 9 ( Military Intelligence 9). Selon Valat, son recrutement est en fait une manœuvre de débauchage : Pat O’Leary manquait alors d’un opérateur radio. Comme tous les messages des opérateurs radios Français libres étaient décryptés par les services anglais à Londres avant d’être remis au BCRA, les siens ont été gardés sous le coude après l’arrestation d’Edmond Salles. Faute de réponse, il s’est résigné à travailler pour Pat..."
JEAN-PIERRE MELVILLE, UN ITINÉRAIRE DANS LA GUERRE
Laurent Laloup le mercredi 15 septembre 2021 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Nom : VALAT
Prénom : Philippe Marc
Sexe : M
Jour de naissance : 12
Mois de naissance : 09
Année de naissance : 1917
Code insee naissance : 75115
Commune de naissance : Paris 15e Arrondissement
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 10
Mois de décès : 12
Année de décès : 2005
Code insee deces : 75113
Commune de décès : Paris 13e Arrondissement
Pays de décès : FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE à Laurent Laloup le dimanche 14 février 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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évadés de Castres en février 1943 Copie du compte-rendu de Pat O'Leary/Albert Guérisse, extrait de son dossiers NARA
During the month of February 1943, I made contact, at the Castres prison, with my team that been arrested during the parachuting in Nimes on August 28 1942. In this prison were two airmen, one of whom was American. I decided to help them escape and had the help of a guard at the Castres prison, named Robert, who wanted to get rid of from this prison, Gaston Negre, Pierre Lanvers, Charles, my ex-radio operator Vallat, two airmen and two other people of Belgian nationality, I believe, those with whom Gaston Negre became real interested with during his prison stay.
There was still the transport between Castres and Toulouse to resolve after the evasion. I had an answer for that from Mr Lapaquellerie, a baker, in Bergerac who introduced me to a Transport agency from that town and a driver and his assistant agreed to be ready in Castres with their truck the night of the escape and to take the nine escapees to Toulouse.
This escape worked perfectly towards mid February and the nine men arrived one morning in Toulouse in that truck where they were immediately housed in an apartment that I owned [sic] 18 rue des Puits Clots in that town and I also gave them identity papers, they were gone very soon, some to Francoise’s, some to the Uhlman's [Ulmann] and others to Vallat and some to Marseille at the Martin's. Duhard le mercredi 03 avril 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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date d'incarcération à CASTRES Monsieur Philippe VALAT a été incarcéré à la prison de CASTRES dite "21ème baraque" du centre de séjour surveillé de Saint-Sulpice La Pointe où sont essentiellement internés des anciens membres des brigades internationales ainsi que des résistants ou de membres de la France Libre. Nous y retrouvons également de nombreux républicains espagnols ou des membres du SOE. Cette approche n'est pas exhaustive.
Monsieur VALAT y a été interné du 30 octobre 1942 au 11 février 1943 date à laquelle il s'évade en compagnie de Marcel PORTAL et certainement Jean HONOREZ, Emile HOFHEINZ, Charles AUZEBY, Pierre LANVERS, Gaston NEGRE.
Jean Philippe LANTES, membre de la FNDIRP et de l'ACER et neveu de Victor LANTES, français libre, LANTES Jean Philippe le jeudi 15 juin 2017 Recherche sur cette contribution | |
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".....Suite confuse
La suite est confuse. Le 14 juillet 1942, il retrouve par hasard à Limoges un camarade de Paris, Philippe Valat, qui lui demande de travailler pour son réseau. "J'ai accepté tout en précisant que ce n'était pas ce que je désirais exactement." Par le biais de Valat, il rencontre en août, à Nice, un certain Ribet, alias Amédée, membre d'un autre réseau de renseignement. Il reçoit deux missions : repérer un terrain d'atterrissage près de Castres, faire remplir des fiches de renseignements sur le transport de matériel militaire vers l'Afrique du Nord. Dans Captivités et évasions (1955), son ami Pierre Dreyfus-Schmidt mentionne cet épisode et raconte comment un très jeune membre imprudent du réseau brûle ce dernier. "Jean-Pierre pénètre chez moi après un coup de sonnette impérieux. Il faut détruire tous les papiers. Le mouvement est découvert." Ce démantèlement de son réseau, Melville l'omet dans son interrogatoire. Pourquoi ? Avait-il des choses à cacher à Londres ? Il l'évoque par contre brièvement dans son livre d'entretiens, pour ajouter laconiquement qu'il s'en est inspiré pour la terrible scène de l'exécution du traître dans L'armée des ombres. Là aussi, il pourrait flotter des ombres sur le rôle de Melville......."
Jean-Pierre Melville, soldat de l'ombre
Longtemps, le réalisateur de "L'armée des ombres" a caché ses activités dans la Résistance. Pourquoi ? Les archives de la Défense éclairent ce mystère.
PAR FRANÇOIS-GUILLAUME LORRAIN Laurent le vendredi 03 juin 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Petite-fille de "DELAYE" Je viens de lire "Les sentiers de la nuit"...
Un de ces hasards, qui n'en sont pas, me l'a mit entre les mains...
Je suis la petite-fille de Pierre Delaye, longuement cité dans ce livre et je suis encore bouleversée par cette rencontre avec un grand-père dont les faits et gestes pendant la dernière guerre m'étaient encore totalement inconnus il y a trois ans...
Merci à Monsieur Valat pour ce superbe récit, bourré d'anecdotes et d'une grande finesse d'interprétation des personnes et circonstances rencontrées...
Je dispose de beaucoup de documentation que mon grand-père avait pris soin d'envoyer à la famille anglaise qui l'hébergeait à Leeds... Documents et photos retrouvés qu'au décès de mon père, Claude, en 2011 (fils unique de Pierre Delaye) bien volontiers à disposition de toute personne me contactant... (marie-fouqueau@hotmail.fr)
Un appel à toute personne qui voudra bien m'aider à l'interprétation de ces documents mais aussi à leur partage.
Marie Fouqueau
Une photo de Pierre Delaye en 1942 Marie FOUQUEAU le mardi 22 avril 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les labyrinthes de la liberté Par Philippe Valat
" Juin 1940. La défaite est consommée. A Dunkerque, comme nombre de ses camarades, Philippe Valat cherche en vain à éviter la captivité. Prisonnier de guerre, il est exilé en Prusse-Orientale. Placé dans une ferme, il ne songe qu'à s'évader. Commence alors sa course vers la liberté. Sans fil d'Ariane, sinon l'irrépressible envie de vivre et de rejoindre la France combattante, Philippe Valat s'enfuit vers la Lituanie. A la fin de cette échappée réussie, interrogé par les hommes du NKVD, la police secrète soviétique, il est emprisonné à Kaunas comme beaucoup de fugitifs. Les " Russes ", comme on les surnommera, ne devront leur départ vers l'Angleterre qu'à l'offensive de la Wehrmacht sur l'URSS. Embarqué à Arkhangelsk sur l'Empress of Canada, Valat aborde le 9 septembre 1941 en Ecosse. Deuxième sortie du labyrinthe. Engagé dans la Résistance, parachuté en France, sa première mission le mène à Marseille. Repéré par la Gestapo, emprisonné à Castres, il réussit à gagner Gibraltar après de multiples péripéties. Une nouvelle mission en France le conduira dans les mains sinistres de la Gestapo. Ultime épreuve, sortie du labyrinthe, pour la troisième fois. Démobilisé en 1945 après huit ans passés au service de la France, Philippe Valat retrouve la vie civile et son identité. Tout comme son adjointe, envoyée par Londres dans son réseau, avec qui il se marie et vit depuis cinquante-cinq ans. Il travaille dans diverses grandes entreprises - groupe Ugine-Kuhlmann, compagnie d'affrètement maritime... - et termine sa vie professionnelle comme sous-directeur de l'administration centrale d'une grande banque privée.
Titre Les labyrinthes de la liberté
Résistance (Paris. 1997)
Résistance Liberté-Mémoire
Collection Résistance, liberté-mémoire
Auteur Philippe Valat
Éditeur Félin, 2000
ISBN 2866453697, 9782866453695
Longueur 282 pages " 
Jacques Ghémard le lundi 23 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.conscript-heroes.com
"... In February 1943 O'Leary and Françoise organised another prison break - this time from Castres, about 65 kms east of Toulouse, where Gaston Negre, Pierre Lanvers and Charles, from the parachute drop, and radio operator Philippe Valat were held along with a couple of evading airmen. They were quickly dispersed to safe houses in Toulouse and Marseille. ..." Jacques Ghémard le lundi 23 novembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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