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Un portait extrait du" Mémorial d'un Bataillon de Marche de la France libre" de Henri Amiel 
Laurent Laloup le samedi 24 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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Instructeur du 1er B.F.M. Extrait des "Forbans magnifiques" de Jean - Bernard DEROSNE, edition des Deux Sirenes :*
"Deux aspirants d'infanterie furent chargés de l'instruction des marins en vue de leurs premières missions d'infanterie.(....)Le second, Pernet, était un légionnaire. Il faisait partie du Corps expeditionnaire de Narvik,.... Il devait devenir capitaine et officier d'ordonnance du général Koenig" Laurent Laloup le samedi 24 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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Instructeur du 1er B.F.M. Extrait des "Forbans magnifiques" de Jean - Bernard DEROSNE, edition des Deux Sirenes :*
" Deux aspirants d'infanterie furent chargés de l'instruction des marins en vue de leurs premières missions d'infanterie. Frionnet, le premier, s'évada de l'école de Saumur au moment de la retraite, gagna Bordeaux et débarqua sur les côtes anglaises, déguisé en Polonais, en ce temps où il fallait se cacher pour continuer la guerre. Il devait être tué à Bir-Hacheim."
Jacques Frionnet, de la 6e Compagnie du BM2, est tombé le 8-6-1942.
Les condition de sa mort sont racontées dans "Le Mémorial d'un Bataillon de Marche de la France libre" de Henri Amiel
On y trouve également le texte de sa Citation à l'Ordre de l'Armée, décernée par le général de Gaulle
"Jeune chef de section toujours volontaire pour les missions dangereuses. A Bir Hacheim, le 8 juin 1942, chargé de la défense immédiate d'un observatoire précieux pour le commandemant, a servi le F.M. d'un groupe dont tous les hommes avaient été mis hors de combat. Avec son entrain habituel, son mépris du danger, son esprit de sacrifice, malgré le feu très dense des armes automatiques et un violent bombardement sur l'observatoire, a infligé de lourdes pertes à l'ennemi jusqu'au moment où il est tombé mortellement atteint " Laurent Laloup le samedi 24 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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Triste nouvelle Jean Rossi est décédé le 06 juin 2006 au Mans. Ses obsèques se sont déroulés le samedi 10 juin à l'église Saint Aldric suivi de l'inhumation au Mans. il était agé de 87 ans. Jacques Ghémard le jeudi 22 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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Une lettre co-écrite par Mr F. Warthmann en mars 1943 Au cours de mes recherches sur mon père Robert LEON (voir ce nom), il m'a été transmis par La Croix Rouge le document suivant: une lettre à l'ambassadeur de France en Espagne, demandant aide et protection, co-signée par Mr WARTHMANN, depuis la prison de Seo d'Urgel le 21 mars 1943, prison où il était détenu pour avoir franchi clandestinement la frontière espagnole en vue de rejoindre les Forces Francaises Libres en Afrique du Nord.
Vous trouverez dans la copie de cette lettre, les noms de 4 autres camarades co-détenus à Seo d'Urgel.
"Prison de Seo d'Urgel, 21 mars 1943
A son Excellence l'Ambassadeur de France en Espagne
Nous soussignés,
Léon Robert, né le 5 mai 1921 à Paris (8e), 2 ans de service militaire engagé volontaire automitrailleuse et chars,
Sergent Bernard, né le 20 janvier 1921 à Paris, 2 ans de service miltaire engagé voolntaire automitrailleuse et chars,
Le Rumeur Armand, né le 27 octobre 1918 à Paris, 2 ans de service militaire, 1 an de guerre DCA écouteur, prisonnier évadé,
Schaffer Alfred, né le 2 mai 1920, à Eschau (Bas-Rhin), 2 ans de service militaire engagé volontaire, Train des équipages,
Warthmann Fernand, né le 22 octobre 1914 à Zimmerbach, (Haut-Rhin), 5 ans de service militaire dans la marine comme chauffeur mécanicien,
Tanays Jacques, né le 4 novembre 1914 à Luzech, (Lot), 2 ans de service militaire, 1 an de guerre, caporal-chef, chenillette, défense anti-chars,
Retenus depuis le 2 février dernier par les autorités espagnoles, nous vous demandons aide et protection. Tous de nationalité française, nous désirerions passer le plus tôt possible sous vos ordres, en vue de notre engagement en Afrique du Nord.
Démunis de toute ressources depuis notre emprisonnement, nous espérons que notre demande sera prise en considération.
Veuillez recevoir, Monsieur l'Ambassadeur, l'expression de notre respectueux dévouement."
Je me permets de demander ici aux personnes qui auraient connu l'un ou l'autre de ces hommes, de prendre éventuellement contact avec moi, pour un échange d'informations ou de témoignages. Merci.
Passer par mon site:  frédérique LEON GUITTAT le mardi 20 juin 2006 Réponse : GR 16 P 366594 | LE RUMEUR (Armand) | 1918-10-27 | Paris 14 | Seine | FRANCE sans homologation
GR 16 P 538825 | SCHAFFER (Alfred) sans homologation non plus
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Par erreur René Racapé né au chili le 03 mars 1914 apparait comme René Racade. Je vous pris de corriger le non De Rene Racade car son vrai nom est René Racapé je vous envoi son livret militaire et cinq photos, la premiere environ a l´époque de la défaite ( 57 Régiment d´infanterie coloniale). Les autres avec l´uniforme et le béret du 501 régiment de Chars de Combat (3° Cie)dans la photo des quarante soldats de differents régiments de la France Libre (Spahis Marocains, légion étrangére et fusilier marins), Le soldat de deuxieme Classe René Racapé apparais dans de deuxieme rang d´avant vers l´arriere, il est le septieme de gauche a droite, il touche avec son bras droit le bras gauche du grand militaire en battle dress. Fernando Enrique Vergara Racapé le lundi 19 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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Biographie du Dr Roland Zissu (1919-) par le Dr Robert Séror Extrait du site "HOMÉOPATHE INTERNATIONAL" 
Né le 17 décembre 1919 à Paris (9°), il fut élève au Lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine pour toute sa scolarité. Il eut notamment Jean-Paul Sartre comme professeur de philosophie. Il souhaitait enseigner mais ses parents le destinèrent à la médecine.
Ses études médicales ont été faites à Paris pour les trois premières années. Mobilisé le 8 juin 1940, la défaite le trouve à Bordeaux. Il essaye de passer en Angleterre et n'y réussit pas, après une escapade "clandestine" à Bayonne. Il fut alors infirmier dans les chantiers de jeunesse et démobilisé 6 mois plus tard. Il poursuit ses études, 4° et 5° années de médecine à la faculté de Montpellier. Il est même diplômé d'études pénales de Montpellier.
En même temps, il joue un rôle actif dans la Résistance (1941, 1942 et début 1943). Pour éviter l'arrestation, il passe en Espagne et de là, il se rend à Casablanca puis à Alger. Il soutient sa thèse de doctorat en médecine à Alger fin juin 1943: "Contribution à l'étude du "mesenterium communé" – A propos de trois observations", publiée chez Maloine à Paris. Il rejoint ensuite les armées de la France libre. Il fait d'abord comme médecin aspirant, puis sous lieutenant, la campagne d'Italie (de Naples à Rome). Il participe ensuite au débarquement de la Première Division française libre du Général de Lattre de Tassigny à Cavalaire-sur-mer, qui remonte vers le nord et libère Lyon, puis au sud de Strasbourg. Il est fait prisonnier, doit marcher à pied jusqu'à Meiningen (Janvier – Mai 1945). Libéré, il rentre en France pour être démobilisé avec le grade de médecin-capitaine, décoré de la Croix de guerre.
(...)
Dans l'Encyclopédie des Médecines naturelles, sous la direction du Pr Pierre Cornillot (Doyen de la Faculté de médecine de Paris XIII): "Homéopathie " Tome 1 (Editions Frison-Roche – 1995), il rédige l'article: "Homéopathie et Biotypologie".
A la retraite depuis 1989, il donne des conférences dans les grands centres = Arcachon, Blois, Bordeaux, Créteil, Evry, Marseille, Metz, Montpellier, Montrouge; Nancy, Orléans, Reims.
Il est considéré comme un "Maître" par de nombreux homéopathes et son sens pédagogique lui vaut de nombreux auditeurs à chacune de ses conférences. 
Laurent Laloup le lundi 19 juin 2006 Recherche sur cette contribution | |
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