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Je ne l'ai pas connu en tant que militaire mais en tant qu'homme. La première fois que nous nous sommes rencontrés j'avais 10 ans, à Damas en Syrie où il était venu voir mes parents pour savoir si nous avions des liens de parenté, ce qui n'était pas le cas. Ensuite, à Creil, dans les années 50 où j'étais pensionnaire dans une ENP pour préparer les ARTS et Métiers. Il me sortait de cet endroit et nous passions ensemble des moments remarquables qui me faisaient oublier ma famille restée au Maroc. Que dire de plus, sa mort, remue en moi (aujourd'hui 88 ans) toutes sortes de souvenirs de cet homme remarquable. Jean Ecochard le dimanche 12 avril 2020 Contribution au livre ouvert de Henri André Ecochard | |