"Les Français libres, l'autre Résistance" par Jean-François Muracciole " Il faut que vous sachiez que quand nous sommes arrivés à Alexandrie [après Bir Hakeim], les gens arrivaient près des voitures et ils baisaient la marque des pneus en reconnaissance de l'effort des Français. Tenez, vous entriez dans un magasin [...], et tout d'un coup, la patronne se mettait à hurler : « II y a ici un officier français, on ne fait pas attendre un officier français. Mesdemoiselles, vous lâchez vos clients (Hubert Germain). » " Laurent le dimanche 29 novembre 2009 Contribution au livre ouvert de Hubert Jean Louis Joseph Germain |