Vers la fin février 1941 Henri Caron m'a dit que j'allais être le pilote du Lieutenant Louis Michard qui, je me suis rendu compte quand je l'ai rencontré, était l'aspirant qui m'a aidé à allumer le feu ! J'avais espéré que je serais avec lui et, ma vie était parfaite surtout quand j'ai su que Henri Caron était son adjoint. Les deux hommes avaient une entente parfaite et un fond avec lequel j'étais en parfaite harmonie. Ca a été une très bonne nouvelle. Les années que nous avons passé ensemble ont été parfaites. Nous avons eu les même idéaux militaire et moral, une confiance l'un à l'autre et une entente parfaite.
Extrait de www.gastoneve.org.uk  Laurent Laloup le jeudi 05 juillet 2007 Contribution au livre ouvert de Louis Valentin Michard |