Roger Le Neurès - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Roger Le Neurès



Naissance : 25 mars 1923 - Lorient (56)

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Tunisie en juin 1943

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / spahis

peloton de cdt 4e esc 1er RMSM

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 2C

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 362130

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 30290


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Date de naissance de Roger Le Neurès

La date de naissance à Lorient de Roger Joseph Le Neurès est le 25 mars 1923.

Son acte de naissance est en ligne : 

Sa fiche "Mémoire des hommes" indiquent aussi la bonne date : 

Il est le cinquième par l'âge des 12 derniers FFL au 28/12/2024, ils sont 10 centenaires et bientôt 11 avec le colonel Achille Muller qui aura cent ans le premier janvier 2025 ( les centenaires c'est mon dada )



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Jean-Pierre Kermel le lundi 30 décembre 2024 - Demander un contact

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Précision

Et Jean GOAOC, également français libre de juin 1940.

LEMOINE Germain le jeudi 19 décembre 2024 - Demander un contact

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Réponse :

Depuis j'ai fait une page sur les derniers vivants  où figure effectivement Jean Goaoc 


www.francetvinfo.fr 



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Laurent Laloup le mardi 22 octobre 2024 - Demander un contact

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Réponse :

Je viens d'ajouter en commentaire à l'article "Ce n'est pas le dernier vétéran de la 2e Division blindée, je compte au moins Enzo Bonopera et Jean Pouzet parmi les seuls Français Libres de la 2e DB et il y en a donc probablement d'autres"


Légende photo : "ROGER LE NEURES (à gauche sur une AM 8)"

Jacques Ghémard le dimanche 18 août 2024 - Demander un contact

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Croix de Guerre, suivant l'Ordre Général n° 64 du 25 avril 1945, attribuée à
LENEURES (Lire LE NEURES) Roger du R M S M.



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LEFEBVRE le dimanche 18 août 2024

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Réponse :

" Aussi, à force de passer entre les balles, Roger Le Neurès a fini par se faire rattraper par un éclat d’obus. “C’était le 3 octobre. Nous étions encerclés à Glonville près de Baccarat. Les Allemands pilonnaient nos positions depuis trois semaines. J’ai pris un éclat d’obus dans le pied”, raconte-t-il."


Vidéo en 2024

Libération : Roger Le Neurès, dernier vétéran de la 2ème DB du général Leclerc

101 ans et toute sa tête et encore beaucoup d'énergie apparemment !!!

Et je ne sais pas si dans sa conclusion il est conscient de citer le capitaine Jourdier emmenant ses spahis vers le Palestine. "Quand deux chemins s'offrent à vous, il faut toujours choisir le chemin de l'honneur"

Jacques Ghémard le samedi 17 août 2024 - Demander un contact

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LE 21/06/2019 " Au milieu de militaires et civils, une personnalité se distingue. Roger Le Neures, président départemental des anciens de la 2e DB et de l’association des Français libres. « Je suis le dernier survivant des Vosges » sourit l’ancien soldat, fier de partager son histoire, le temps d’une cérémonie."

Jacques Ghémard le jeudi 08 août 2019 - Demander un contact

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souvenirs

Je viens de voir le documentaire sur la 2ème DB dans laquelle mon père PACCHIANA ADRIEN a combattu. Je connais peu cet épisode de la vie de mon père car il est décédé en 1960 et je n'avais que 6 ans. Je ne sais pas si vous l'avez rencontré ou connu mais ce serait un grand plaisir pour moi d'avoir un témoignage. Merci

PACCHIANA CAROLINE le vendredi 06 mai 2016 - Demander un contact

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"Un Vosgien en Normandie avec la 2e DB"

le 18 Juin 2014 

Le Vosgien Roger Le Neurès a vécu la fabuleuse épopée de la division Leclerc depuis sa création en Afrique du Nord jusqu’en Allemagne.

"Roger Le Neurès vous reçoit dans son appartement spinalien avec la simplicité des êtres heureux d’avoir fait le bon choix à une époque où la plupart des Français ont préféré, dans le meilleur des cas, ne pas se prononcer, dans le pire, collaborer. Mais s’il est fier d’avoir su dire non à Pétain, non à l’occupant, c’est sans ostentation. Son vrai souci est ailleurs : à 91 ans, il est l’un des derniers « vrais » résistants en vie, aussi n’a-t-il de cesse de témoigner « pour que personne n’oublie ». « Je suis né à Lorient en 1923. J’ai grandi dans une famille très patriote. Mon père a été aviateur en 14-18 », tient-il à préciser. En 1934, la famille déménage pour Épinal. Quand la guerre éclate, l’adolescent est apprenti dans un garage. « Nous avons vécu l’exode. Avec ma mère et mes deux jeunes sœurs, nous sommes partis pour le Sud. Bloqués par l’avance allemande du côté de Besançon, nous avons dû rebrousser chemin. » Le père étant prisonnier, Roger reprend son emploi afin de faire vivre la famille. « Le garage était occupé en partie par les Allemands. C’était difficile à accepter. » Sans trop réfléchir, lui et quelques amis récupèrent des armes, volent des explosifs. « Je ne me prenais par pour un résistant. J’étais trop jeune ; mais voilà j’avais besoin de prendre acte. »

L’adolescent devra patienter encore deux avant de « sauter le pas », le temps de la maturité sans doute. À l’été 1942, à l’initiative de son père de retour, il cache une famille israélite d’Épinal dans leur cabanon près de l’étang de Bouzey. « Je l’ai ravitaillée jusqu’à ce qu’elle soit prise en charge par une filière d’évasion. » Peu de temps après, craignant d’être réquisitionné pour le service du travail obligatoire, il décide de rejoindre la France Libre. « La Lorraine étant en zone interdite, sur le conseil d’un ami, je me suis engagé dans l’armée d’armistice. Mon plan était de rejoindre De Gaulle par l’Afrique. Muni d’un laissez-passer, j’ai pu prendre le train pour Lyon puis Toulouse. J’ai été ensuite envoyé dans le sud Oranais. » Astucieux !

L’histoire s’emballe. Après le débarquement des Américains sur ses côtes (nov. 1942), l’Afrique du Nord bascule dans le camp des Alliés. Pour autant, ce n’est pas encore l’entente cordiale entre Giraud (commandant en chef soutenu par Washington) et De Gaulle. Mais, pour le Lorrain, aucun doute : seul le chef de la France Libre a une vraie légitimité. « Profitant d’une permission (début 1943), j’ai pris contact avec le mouvement Combat. Je voulais rejoindre les Forces françaises libres stationnées en Libye. » Tout ne se passera pas comme prévu. « Je devais partir avec d’autres volontaires, mais lorsque je suis arrivé au lieu de rendez-vous, à Constantine, les gardes mobiles étaient là. » La chance lui sourit pourtant : « Des légionnaires de la 13e DBLE, rencontrés par hasard, me feront passer la frontière tunisienne ». Trois mois plus tard, il est envoyé au Maroc pour être incorporé à la légendaire 2e DB en cours de formation. « J’étais tireur d’automitrailleuse au 1er régiment de marche de spahis marocains. »

Dès lors, son histoire se confond avec celle de son unité : la 2e DB de Leclerc débarque en Normandie entre le 1er et le 3 août, « après une période d’entraînement et une attente interminable en Angleterre ». Les souvenirs s’entrechoquent. Tout se passe très vite. Le Liberty-ship débordant de combattants prêts à en découdre, les côtes françaises, la pointe du Hoc, Mortain, Alençon, les premiers combats, les premiers morts. Après la libération de Paris, « un moment inoubliable », la 2e DB marche sans fléchir vers l’Est. « Notre régiment était chargé de la reconnaissance. J’ai reçu ma première blessure, à Glonville, près de Baccarat. Un éclat d’obus dans le pied. » Il sera à nouveau blessé à Sélestat (décembre) par une grenade. Opéré à Saint-Dié, il est envoyé en convalescence au Val de Grâce puis à Épinal. En avril 45, il retrouve la 2e DB près de La Rochelle. « Nous repartirons aussitôt pour l’Est, l’Allemagne, Berchtesgaden ». La guerre est finie… Enfin. Alors, un héros Roger Le Neurès ? Il réfute fermement ce qualificatif pourtant mérité. « Pouvais-je faire autre chose que mon devoir ? »

« Pouvais-je faire autre chose que mon devoir ? »

Jérôme ESTRADA"

laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact

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Roger Le Neures

www.ac-nancy-metz.fr 

Laurent le lundi 09 novembre 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 30 décembre 2024

 

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