| |  | | | | Un Français Libre parmi 63599
| | | Félix Cote | |
Naissance : 7 avril 1919 - Miliana, Alger, Algérie
Activité antérieure : ouvrier / artisan
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : Tunisie en juillet 1943
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 2C
Décès à 82 ans - 16 février 2002 - Thonon-les-Bains (74)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 144801
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 12579 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Félix Cote - son Livre ouvert !
De Giraud à de Gaulle, de Romain DURAND, L'Harmattan " Félix Cote est un blidéen. Il a fait la guerre sur le sous-marin Thétis. Sa mère le sort du lit le matin du 8 novembre : "Viens voir ! viens voir !". Il entend d'abord un bruit infernal, va à la fenêtre et voit une nuée d'avions qui viennent de la mer et vont se poser à Blida-Joinville. Cote descend vers le boulevard et voit des SOL très excités, en quête d'armes pour barrer la route aux Américains. À la fin du mois, Cote apprend que le Corps franc demande des volontaires. Il se rend chez sa sœur qui vit à Alger et s'inscrit le 11 décembre. Les secrétaires remplissent des listes et des listes et, chaque fois, disent aux engagés de revenir dans quelques jours.À la fin on leur donne un sac. Dans celui de Cote il y a une tenue bleu-horizon, des molletières et une ceinture de flanelle. Le beau-frère de Félix - qui a fait son service dans les zouaves - lui montre comment enrouler les bandes molletières, mais ses compagnons n'ont pas cette bonne fortune. Leurs bandes se déroulent quand ils marchent ou quand ils montent dans le tramway. Les passants s'esclaffent, les Américains sortent leurs appareils photos pour prendre un cliché de leurs valeureux alliés. D'un commun accord, et avec le consentement des cadres du bureau de recrutement, nos poilus vont vendre leurs oripeaux au marché. Vers la fin du mois, Cote et ses amis sont conduits à Aïn-Taya où ils reçoivent leurs tenues anglaises." Laurent Laloup le jeudi 28 février 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le jeudi 28 février 2008 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 20 6 2025 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.88 s 8 requêtes 
|
|
