Michel Lucien Maxime Bourgeois - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Michel Lucien Maxime Bourgeois



Naissance : 23 décembre 1921 - Paris 17e

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM11

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Décès à 83 ans - 2 février 2005 - Anneville-en-Saire (50)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 82160

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 7462

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Michel Lucien Maxime Bourgeois - son Livre ouvert !
 

Michel Bourgeois, cliché de l'immédiate après guerre, après son retour de déportation à Bergen Belsen.



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Frédéric Bruyelle le mercredi 06 août 2025 - Demander un contact

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"Rescapé du camp de Bergen-Belsen"

www.la-croix.com 

" Claire Lesegretain : Cinquante-six ans après votre libération de Bergen-Belsen, comment comprenez-vous ce que vous avez vécu dans les camps ?

P. Michel Bourgeois :
L'arrivée au camp était une plongée si radicalement « hors de toute référence connue » que l'entendement ne pouvait ni suivre ni digérer. Durant quatre mois, je suis demeuré en état de choc, sans pouvoir nommer ce que je vivais. Puis j'ai commencé à découvrir un système de dégradation implacable et très bien rodé.

Les SS ont toujours dit ne jamais tuer un homme. Il fallait donc que tout leur endoctrinement, parfois depuis le berceau, les conduisent à la conviction qu'ils n'avaient plus des hommes en face d'eux mais des Stücke, des morceaux, de la merde.

Comment s'y prenaient-ils pour vous déshumaniser ?

M. B. : On nous plongeait dans les latrines jusque par-dessus la tête et on nous enchaînait tout dégoulinants près de la porte du camp pour que les autres « rayés » passent devant nous. La délation était récompensée d'un quignon de pain : rien de tel pour développer une haine féroce entre des hommes de 20 nationalités, affamés, privés de sommeil et bourrés de coups.

D'autres fois, on nous faisait enterrer une dizaine de « rayés » jusqu'au cou et, avec une brouette pleine de cailloux, il fallait foncer sur les têtes de nos camarades. Le premier refusait, un SS l'abattait. Un deuxième... Un dixième parfois... Tous abattus. Alors, un «rayé» devenu à peu près fou fonçait avec la brouette. Mais ce qui faisait vraiment chavirer tout l'humain, c'était la «liturgie» des pendaisons.

Pourquoi parlez-vous de «liturgie» ?

M.B. : Une liturgie a pour but, à travers un rituel sacré, de transformer progressivement l'homme pour le rendre plus apte à paraître devant Dieu. Dans les camps, le rituel était inversé et avait pour but de faire descendre l'homme toujours plus bas, dans l'en deçà : appel sur la place, lecture des sentences, montée des suppliciés sur l'estrade, noeud coulant passé autour du cou, obligation de regarder les pendus... Par cette liturgie de la mort, l'éternité des déportés devenait la spirale de l'avilissement. Parvenus à ce stade, beaucoup préféraient se jeter sur les clôtures électrifiées ou sortir des colonnes, en allant ou en revenant du travail, afin d'être aussitôt abattus.

Et vous, qu'est-ce qui vous a fait tenir ?

M.B. : J'avais envie d'aider les autres, comme je l'avais toujours fait depuis mon enfance. Sinon, j'avais fait assez de mal pour avoir le dégoût de moi-même. Mais je ne me suis pas suicidé parce que j'ai découvert l'homme dans quelques prisonniers. Ce fut d'abord un paysan qui mangeait son pain en le mâchant lentement alors que le partage du pain et la distribution des gamelles était l'occasion de bagarres parfois mortelles. Ce paysan m'a dit : « Ce morceau de pain, c'est la vie depuis toujours, et la vie ne vient pas de nous. Il faut y goûter, sans cela nous ne sommes plus des hommes. » Il ne m'a rien dit d'autre mais, durant un instant, j'ai eu comme une présence en moi.

Ce fut aussi le sourire de Nicolaï, un jeune Ukrainien qu'on allait pendre à l'usine. Il s'avançait, encadré de « kapos » ; il souriait. Nos regards se sont croisés. Je n'avais jamais parlé avec lui mais, en une fraction de seconde, nous nous étions rejoints, sûrs que nous aurions l'éternité pour communier ensemble. Et puis, ce fut Lünebourg.

Que s'est-il passé, là ?

M. B. : Les SS devaient nous ramener de Wilhemshaven à Neuengamme mais, à Lünebourg, notre convoi fut bombardé. Tout vola en éclats. Il y avait des centaines de morts et de blessés. Les 70 rescapés, dont j'étais, passèrent l'après-midi à ramasser têtes, bras et jambes et à faire un tas près d'un petit ruisseau. Les SS nous tiraient à la mitraillette, pour passer le temps. À un moment, un jeune SS a relevé d'un revers de bras la mitraillette d'un autre qui tirait sur nous. Immédiatement, les autres SS l'abattirent.

J'ai compris que l'humain était entré dans ce jeune SS, qu'il était sorti de l'en deçà. Pendant ce temps, nous continuions à tremper des chiffons dans l'eau pour rafraîchir les blessés. Plus les SS nous achevaient, plus nous poursuivions notre tâche, la tête haute.

À Lünebourg, la liturgie de la mort a basculé. En secourant ces blessés, nous avions conscience d'être en plénitude de vie. La vie éternelle s'était remise à l'endroit. La victoire de l'homme, c'était nous. C'est grâce à l'homme que je n'ai pas manqué Dieu.

Est-ce pour cela que vous êtes entré au séminaire ?

M.B. : J'y suis entré pour célébrer à la source les Mystères de Dieu, pour être sacramentellement ce que j'avais été dans les camps. Le pari monstrueux des camps nazis, c'était de détruire à tout jamais l'image de Dieu en l'homme. Or, j'en suis revenu vivant pour dire cette vérité inouïe : je crois à l'homme !

Comment s'est fait votre retour dans le monde des vivants ?

M.B. : Très lentement. J'étais comme une lame très dure sans fourreau. Je n'avais plus ni pudeur ni affection. J'ai mis des années à reconstruire ces sentiments annihilés. Peu à peu, cette brisure sans fond s'est transformée. Dans les camps, j'avais médité « le grain qui meurt » et j'étais sûr de la présence de Jésus-Christ au fond de tout homme.
Un jour, une fille remarquable que j'avais connue dans la Résistance m'a invité à manger chez elle. Nous nous sommes regardés, nous n'avons ni parlé ni mangé. Nous visions l'un et l'autre tellement autre chose. Je n'étais plus qu'un tas d'os, qu'un amas de souffrances plus spirituelles que physiques. Elle a mis ses bras autour de mon cou et nous sommes restés je ne sais combien d'heures comme ça.

J'ai senti l'humain qui rentrait un peu en moi. C'est pour cela que, lorsque je rencontre un « paumé » qui me dit : « je ne sais pas ce qu'est l'affection », nous nous retrouvons dans un manque commun.

Êtes-vous retourné dans les camps par la suite ?

M.B. : Oui, en 1969, pour accompagner un fils de tué et sa famille. Ce « pèlerinage » ne réveilla en moi aucune terreur : le Christ, je le savais, avait unifié tous les composants de son Corps et avait entraîné chaque supplicié vers la gloire. « Pourquoi chercher parmi les morts Celui qui est vivant ? » Pourquoi hanter ces lieux d'hécatombes immenses si ce n'est pour saisir Celui qui les a investis ?... Ce « pèlerinage » me fit retrouver presque d'un seul coup la possibilité de communiquer.

Comment comprenez-vous ce que d'autres ont appelé « le silence de Dieu » à l'égard de son peuple ?

M.B. : Jusqu'à la révolte du ghetto de Varsovie, les juifs arrivaient dans les camps « comme conduits à l'abattoir». Pouvait-il en être autrement dans la lourde et criminelle indifférence générale ? Et aussi devant le Dieu du Sinaï qui ne se portait plus à leur secours ? Personnellement, je me suis souvent demandé s'il en aurait été de même si les juifs avaient cru à l'Emmanuel, à Dieu incarné dans le Christ crucifié. Aux juifs admirables, premiers choisis par le Dieu unique, il manque toujours le mystère de l'humilité de Dieu dévoilé en son Fils. Mystère qui seul aurait pu leur faire découvrir une issue dans les camps et leur faire relever la tête.

Comme l'a fait le bienheureux Maximilien Kolbe à Auschwitz ?

M.B. : Dans ce bunker de la faim et de la soif où le P. Kolbe fut enfermé avec dix autres condamnés, toujours on buvait ses urines, on s'entre-dévorait, on sombrait dans la folie avant de s'éteindre... Avec Kolbe, non seulement aucune de ces scènes d'horreur ne se produisirent, mais les suppliciés se mirent à chanter jusqu'à la fin de chacun et de tous.
Ce n'est pas en soulageant l'humain et en payant d'exemple ­ ce qui était totalement impossible dans de tels camps ­ que Kolbe sauva l'homme. C'est en consommant les Mystères de Dieu et en les faisant consommer par ses compagnons, tout en les leur révélant. À Auschwitz, ce n'était plus « l'heure du prêtre » : il n'y avait plus à célébrer la messe, raccourci des Mystères. C'était « l'heure du diacre ».

C'est-à-dire ?

M.B. : Le diacre n'est pas seulement au service des personnes, en tant que témoin « banalisé » de la Charité. Il est au service des trois Mystères de l'Incarnation, de la Rédemption et de la Trinité dont le dynamisme propre est de se propager à tous les hommes, comme unique source de vie et d'amour. Le diacre est au service des Mystères afin que ceux-ci puissent être révélés à tout homme et à tout l'homme, dans des milieux spécifiques.

Dans ce bunker de la mort, Kolbe révéla l'humanité du Christ à ses compagnons. C'est du moins ainsi que j'ai compris et médité sa mort après Bergen-Belsen. Ces suppliciés s'assimilèrent à Celui qui s'était fait homme jusqu'aux enfers. Ils eurent conscience, dans ce drame épouvantable, de réactualiser le parcours du Christ et de rejoindre, dans le Ressuscité, le Père qui les avait créés et aimés comme fils depuis toujours.

Après Kolbe, Auschwitz ne fut plus jamais comme avant : l'homme y avait trouvé en lui-même sa Révélation et son auréole. Car c'est le Christ et ses Mystères qui sont l'explication et la vérité de l'homme. Un homme qui a pris conscience des Mystères qui l'habitent n'a plus la même humanité qu'avant. Avec la grâce, il devient «l'homme nouveau» de saint Paul. Tel est le rôle du diacre.

C'est un plaidoyer pour le diaconat !

M.B. : C'est en tout cas un plaidoyer pour que les diacres ordonnés trouvent leur spécificité et leur responsabilité totales. C'est par son humanité, comme l'Évangile le démontre à chaque page, que le Christ fait passer sa filiation divine. Sans le mystère de l'humanité du Christ, il n'y a plus rien : ni Évangile ni évangélisation.

Dieu nous communique ses Mystères non pas par des démonstrations de puissance mais par sa « chute » en nous et au milieu de nous. Nous n'en sommes plus au Sinaï mais à l'Emmanuel.

Et comment avez-vous témoigné des Mystères de Dieu dans votre vie à Saint-Vaast-la-Hougue ?

M.B. : Même si je célébrais et prêchais chaque dimanche comme prêtre, c'est en tant que diacre que je révélais l'humanité du Christ. D'ailleurs, il a fallu plus de quatre ans aux pêcheurs pour admettre que je n'avais pas un frère jumeau, tant ça leur semblait impossible que ce soit le même qui était sur le pont des bateaux et qui célébrait la messe. Un jour, alors que j'entrais dans un bistrot plein à craquer, après avoir célébré l'enterrement d'un pêcheur, l'un d'eux me dit devant les autres : « Michel, tu peux bien boire un coup avec nous, tu viens d'en boire un à l'autel ! » Pendant quelques secondes, on a entendu les mouches voler. À partir de ce jour-là, l'histoire des jumeaux était terminée.

Quand les pêcheurs ont compris que j'étais aussi assidu sur leur pont qu'à l'autel, les masques sont tombés. Ils sont restés tels qu'ils étaient et moi tel que j'étais mais, d'un côté comme de l'autre, il y avait moins de méfiance. En actualisant l'humanité du Christ, le diacre la met à la portée de tous. Parce qu'il sait découvrir le moment qui convient pour dire les Mystères de Dieu.

Et en mer, quand « le moment favorable » se produit-il ?

M.B. : À deux heures du matin, lorsque le bateau traîne la drague aux coquilles. Le regard perdu sur l'eau qui défile, la paume de la main fortement appuyée sur les funes, on devine ainsi tout ce qui se passe au fond de l'eau, à cent mètre derrière... À l'aube, le diacre est crevé mais les Mystères ont avancé."

Laurent Laloup le mercredi 15 janvier 2025 - Demander un contact

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Michel Bourgeois rallie la France libre à Londres le 7 juillet 1940, au terme d'un voyage allant de Sète à Liverpool, en passant par Gibraltar. Volontaire en septembre 1941 pour le Moyen-Orient, il quitte le camp de Camberley et embarque sur le « Chantilly », un bâtiment des Messageries Maritimes. Une panne de machines survenue au Cap, le contraint à continuer son périple en train jusqu’à Aden. Il rejoint Beyrouth, où deux affectations lui sont proposées : la Légion Étrangère ou les Bataillons de Marche. Il choisit le BM 11 dirigé par le commandant Langlois qui le nomme à la tête d’une section de mortiers de 81. Michel Bourgeois participe aux combats de la campagne de Lybie. Quelques temps plus tard, il est atteint du scorbut et retourne à Beyrouth. Après son rétablissement, il collabore aux services administratifs de la France Libre de Tripoli, en attendant son retour en Grande-Bretagne. Il retourne à Liverpool à bord du « Mariposa ». La carrière de Michel Bourgeois connait ensuite un tournant remarquable. Il est breveté parachutiste au Polish Training Center d’Edinbourgh. Volontaire pour le BCRA, il débarque, en février 1944, du bord d’une vedette lance-torpilles sur la plage de Plouha. Il débute immédiatement sa mission en Bretagne qui est d’identifier des terrains d’atterrissage pour Lysander et des dropping zone pour les largages de matériel. Son action prend terme quatre mois plus tard lorsqu’il est dénoncé aux allemands. Il est arrêté, interrogé puis déporté à Bergen Belsen. Michel Bourgeois survit à cette épreuve et devient prêtre peu après son retour en France. Il décède le 02 février 2005, à Anneville-en-Saire.

frédéric bruyelle le mardi 14 janvier 2025 - Demander un contact

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They came from Burgundy: A study of the Bourgogne escape line

De Keith Janes

Laurent Laloup le samedi 30 juin 2018 - Demander un contact

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Michel Bourgeois ?

"... Nous logeons donc rue de l’Université. Un après-midi : coup de sonnette ! C’est Michel Bourgeois, 22 ans, ami aimé comme un frère, ayant été pensionnaire dans ma famille pendant plusieurs années, parce que nerveux et fragile. Il nous fait signe de ne pas faire de bruit et nous demande si nous voulons bien le recevoir une dizaine de jours. « Oui, bien sûr ». Il s’installe et se met de suite au travail. Sur un drôle de petite machine, il tape sans discontinuer quelque chose en morse. Il finit par nous dire que c’est pour Londres, des renseignements sur les endroits, en Normandie, où des parachutistes ou des avions pourraient atterrir. Après une semaine, il nous dit qu’il a terminé sa tâche et repart. Nous saurons plus tard qu’il a été arrêté en juillet 1944 et déporté à Bergen-Belsen. Nous ne le reverrons qu’à la fin de l’année 1945, venu nous voir à Bellevue (Meudon), squelettique mais ayant survécu à sa détention d’une année...
...

Après la guerre, métamorphosé par son expérience des camps de concentration, Michel Bourgeois devient prêtre (« Grâce à l’homme, je n’ai pas manqué Dieu ») ; après un long séjour dans le nord, à Denain puis à Valenciennes, pendant 23 ans il est aumônier auprès des marins-pêcheurs de Saint-Vaast-la-Hougue, dans la Manche. En octobre 2001, se confiant au journal La Croix, il disait ceci : « L’arrivée au camp était une plongée si radicalement « hors de toute référence connue » que l’entendement ne pouvait ni suivre ni digérer. Durant quatre mois, je suis demeuré en état de choc, sans pouvoir nommer ce que je vivais » ..."

Laurent Laloup le samedi 30 juin 2018 - Demander un contact

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Déporté

TRANSPORT PARTI DE BELFORT LE 29 AOÛT 1944 (I.267.)

43708 BOURGEOIS Michel M 23.12.1921 Paris (75) F Wil,Sb R

Laurent Laloup le samedi 30 juin 2018 - Demander un contact

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N° FAFL 35573 . BOURGEOIS Michel, Lucien, né le 23 décembre 1921 - infanterie de l'air - sous-lieutenant

Source : Yves MORIEULT

Laurent le jeudi 03 décembre 2009 - Demander un contact

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BRAZZAVILLE 27-28 AOUT 1940. GABON 1940. SYRIE 1941. FORCES FRANCAISES LIBRES. HISTOIRES VECUES , de FREITAG JOSEPH :

"Ordre de Bataille du B.M.XI à Giarabub

Bavière Georges : chef de bataillon
Langlois Xavier : adjoint
Freitag  : st/chef, commandant les ransmissions du bataillon
Hervé Yves : médecin capitaine
Starcky Jean : aumônier sous-lieutenant Rossignol Jacques : sous-lieutenant, renseignements
Arrichi Jules : officier des détails
Tschamper Willy : aspirant, officier de transport
Tagger Pierre : commandant la Section hors rang devenu Compagnie de commandement
Perrin Jean : aspirant (de Brazzaville), détaché vers le 10 mai 1942 du Bataillon de transmissions pour effectuer
un stage avant de prendre le commandement des transmissions de la brigade, avant El Alemein. Il remplaçait Freitag à la retraite de Giara bub

Compagnie C.L.XI
Revault d'Allones Jean : capitaine
Emond Jean : lieutenant
Frizza : sous-lieutenant
Bourgeois Michel : aspirant
Barbier Michel : aspirant

5e Compagnie
Dupuis Louis  : sous-lieutenant commandement de Cie
Moguez Pierre : sous-lieutenant, chef de section
Le Coniac de la Longrays Guy : sous-lieutenant, chef de
section
Robi Robert : aspirant

6e Compagnie
Hugo Georges : capitaine commandant la compagnie
De Glos Nicolas : sous-lieutenant, chef de section
Vatine Jacques : aspirant
Léonard Joseph : aspirant
Gallas André : aspirant

7e Compagnie
Meyrand Michel : capitaine, commandant la compagnie Bouvier Léon : sous-lieutenant
Pansel Louis : sous-lieutenant
Debaud Camille : sous-lieutenant "

LAF le samedi 25 avril 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 06 août 2025

 

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