|  | | | | Un Français Libre parmi 63566 | | | André Delpierre | |
Naissance : 12 octobre 1920 - Château-Thierry (02)
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : en avril 1943
Affectation principale : FNFL / marine de guerre1er R F M Matricules : 2940 T38
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Matelot chauffeur
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 172028
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 4010
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 14546 |
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André Delpierre - son Livre ouvert ! Michel Colment est passé en Espagne le 4 mai 1943 avec un groupe Cantarel, de Witasse, Malaguti, Delpierre et d'autres dont mon père Van De Velde Gilbert, évadé belge les ayant rejoint en Andorre (Hotel Coma)
Tout est confirmé dans un carnet de voyage de mon père.. Michel Van De Velde le samedi 23 mai 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Je lis dans la page de Cantarel " Le 22 avril, vers 11 heures, ils franchissent la frontière, au port de Siguer. Ils amorçent ensuite une pénible descente vers la principauté. Le groupe arrive à Ordino dans la soirée et s'installe à l'hôtel Coma. de nombreux juifs séjournent dans cet établissement. Les fugitifs du général Cantarel restent là jusqu'au 27 avril, en raison des fêtes pascales. Le 28 avril, le groupe Cantarel rejoint seul San Julia de Loria pour arriver le 5-mai à Manresa ..."
San Julia de Loria est en Andore et Manresa est en Espagne, donc ça correspond bien à ce que dit votre père. Mais je suppose que le passage en Andore est considéré comme un passage en Espagne
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Marcel Dethan, le premier militaire avignonnais entré dans la ville Publié le mardi 25 août 2009 à 16H15
Il avait 23 ans et était engagé dans le 1er Régiment des fusiliers-marins
Marcel a 89 ans aujourd'hui. Ancien tailleur, président d'honneur de la section de Vaucluse de l'association Rhin et Danube, Avignonnais engagé dans le 1er Régiment de fusiliers marins qui a connu l'épopée de ce qui deviendra la 1 ere armée, il nous reçoit chez lui, boulevard de Tassigny.
"Le 23 août, on avait pris Toulon. Arrivés à Saint-Rémy de Provence, j'ai demandé une permission à mon commandant pour aller voir ma famille à Avignon. C'était risqué, car on ne savait pas si les Allemands étaient toujours dans la ville.
Je suis parti avec mon ami, André Delpierre, avec l'obligation de rejoindre notre unité le lendemain à 6 heures. Nous avons fait du stop jusqu'au pont de la Durance, qui avait été détruit. On l'a traversé tant bien que mal et là, un brave paysan sur son tracteur a accepté de nous rapprocher d'Avignon, jusqu'aux écoles de Saint-Ruf.
Soudain, on s'est retrouvé entourés par une centaine d'habitants qui nous ont pris pour des Américains car on portait les mêmes uniformes qu'eux. On les entendait dire: Ces Américains parlent vraiment bien français! Et ils nous questionnaient sur les positions des troupes de la Libération. Puis, on a entendu des bruits de char. Tout le monde s'est planqué. Mais c'était un char français de la 1ere DB qui cherchait à rejoindre sa colonne.
André et moi avons poursuivi notre route; il me tardait de voir mes parents. Et le 25 août 1944, nous avons franchi la porte Saint-Michel. J'étais alors le premier militaire avignonnais à entrer dans la ville.
On s'est vite rendu rue de la Bourse. Mais mes parents n'étaient plus là; des voisins m'ont rassuré en me disant qu'ils s'étaient réfugiés à Tresques (Gard). Rapidement, les habitants ont su que des Alliés étaient là.
La foule a envahi les rues; tout le monde voulait nous voir et nous offrir un coup à boire! Avignon avait été libérée dans la nuit. À 3 heures du matin, on a rejoint notre unité.
Puis on est reparti avec une moto du régiment stationné à Bezouce, près de Nîmes, pour retrouver mes parents à Tresques qu'on a réveillés en pleine nuit. C'étaient les embrassades et les pleurspendant quatre jours de permissions avant de retrouver mon régiment et d'être enfin démobilisé en juin 1945".
Virginie Batailler
"Les Avignonnais nous ont pris pour des Américains!"
Photo J.Rey
www.laprovence.com  
Laurent le vendredi 09 octobre 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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