| |  | | | | Un Français Libre parmi 63581 | |  Cliquez !
| Georges Louis Henri Suffren | |
Naissance : 5 aout 1887 - Bordeaux (33)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en avril 1943
Affectation principale : Terre - Londres / QG
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : général
Décès à 64 ans - 11 juin 1952 -
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 558606
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 48491 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Georges Louis Henri Suffren - son Livre ouvert ! Temoigbage du Maroc G. Suffren a beaucoup compté dans ma famille Mon grand-père était son ordonnance au Maroc et plus précisément à Fès des années durant. Ils étaient devenus amis et l'avait accompagné tout au long de sa carriere au point de faire de mon jeune oncle le légataire universel de tous ses biens mobiliers et immobiliers au Maroc. Notre maison familiale a la médina s'appelle aujourd'hui encore Dar Suffren. Benjamin Jaouad le lundi 20 avril 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Army News : May 43
"Escaped From France
Fighting French headquarter in London announce that the following have escaped from France and arrived in Britain to join General de Gaulle
M. Henri Queuille, Minister for Food in the Reynaud Cabinet in 1940.
M. Pierre Vienot, Foreign Under Secretary in the Blum Cabinet in 1936-37.
General Georges Suffren, whom the Germans dismissed in North Africa in January, 1942, because he was regarded as a "dangerous element."
M. Georges Buisson, secretary of the French Trades Union Con gress since 1928.
M. Marcel Poimboe, a member of the French Christian Trade Unions.
M. Queuille, in 1938, unsuccessfully stood for the French Presidency. "
" laurent le samedi 13 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
L ESCADRON - CARNETS D UN CAVALIER de JACQUES BRANET :
"Février. A la mi-janvier, des troubles ont commencé avec les indigènes. En résumé :
Une centaine de meneurs nationalistes ont remis une pétition demandant l'indépendance du Maroc à la Résidence, et, simultanément, aux consulats britannique et américain. Cette demande orchestrée s'appuie sur une dizaine de « considérants » surprenants. Le Sultan, qui n'ignore certainement rien, est obligé de reculer au dernier moment. Le Glaoui de Marrakech, au dernier moment aussi, reste loyal. Les Britanniques et les Américains répondent par une fin de non-rece-voir aux demandes marocaines. C'est l'époque — à un jour près — des entretiens amicaux Churchill - de Gaulle à Marrakech. La France répond également par une fin de non-recevoir et quelques désordres éclatent à Rabat et à Fez. La troupe doit donner. Il y a quelques dizaines de morts. Nous sommes consignés en forêt.
A Fez, le général Suffren, énergique, a pris des mesures très sévères, et tout se calme finalement. Quelques Français ont été tués. Derrière tout cela, il y a à n'en pas douter la main de l'Allemagne, qui a de nombreux agents ici, et en envoie par parachutes. Mais surtout, on ne peut prendre au sérieux la revendication d'indépendance : le nombre des Marocains évolués est infime, trois mille peut-être au total. Ils ne représentent pas la masse indigène, dont ils se montrent au surplus les exploiteurs.
Enfin, ils sont arabes ; et contre cent cinquante mille Arabes, il y a plus de quatre millions de Berbères." Laurent Laloup le mardi 24 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Suffren Louis-Henri-Charles-Georges, Major-General (1887 – 1952)
25/09/37 Colonel puis Général de brigade puis 05/08/46 Général de division Louis-Henri-Charles-Georges Suffren (1887-1952): chef de la division de Fez (II) (27/08/43-).
Mais la plus grave faute lui parut la nécessité d'avoir dû recourir à la force à Rabat et à Salé ou il avait fallu engager les blindés de Leclerc, et surtout à Fès, où le général Suffren et le Pacha Tazi eurent à réprimer la révolte la plus dure que la ville ait connue depuis les débuts du Protectorat.
Jacques Ghémard le mardi 14 octobre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le lundi 20 avril 2020 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 20 6 2025 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.83 s  8 requêtes 
|
|