Henri Joseph Marie Stéphant - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Henri Joseph Marie Stéphant



Naissance : 9 mars 1920 - Groix (56)

Activité antérieure : marin

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1943

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

Aéronavale E U

Matricules : 488 L40 1017 FN43

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot gabier

Décès à 98 ans - 7 février 2019 - Groix

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 557037

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 13465

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 48356


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Extrait de enguerrand.gourong.free.fr  

" Ange BARON, Paul PUILLON, Hyppolite MOBÉ, Élie NICLOT, Charles GALÈNE, Henri STÉPHANT et Maurice GOURONG préparent le projet de rejoindre l'Angleterre. Sous prétexte d'une pêche au thon, le voilier "Joie des Anges" est armé. Mais les Allemands ont vent du projet. Le bateau est fouillé et une carte d'Angleterre découverte. Arrêtés, ils sont rudement interrogés. Aucun ne dénonce le projet. Ils sont autorisés à partir. Après une escale à Concarneau où ils chargent de la glace, le 1er septembre, le "Joie des Anges" cingle vers la liberté. Ils sont mitraillés par un avion américain dont les balles traversent le pont. Puis surgit un contre-torpilleur anglais qui les arraisonne. 3 des marins passent à bord tandis que le reste de l'équipage est invité à se rendre en Angleterre par ses propres moyens. Tous signeront leur engagement dans les Forces Françaises Libres (FFL.).

Maurice s'engage dans les commandos. Après un entraînement forcené, il participe à plusieurs opérations. Blessé une première fois, puis soigné, il repart pour la Hollande. Avec ses camarades, il participe à la libération de Flessingue où il est tué, le 1er novembre 1944. Gwénaël Bolloré, écrit dans son livre "Nous étions 177": "J'aimais la compagnie de Gourong, breton sensible et secret qui avait le sens mystique du devoir...". Une rue du bourg de Groix porte son nom.

Il est sûr qu'il rencontra en Angleterre son cousin germain Léon Gourong, militaire de carrière, lui aussi dans les FFL. Il semblerait qu'il se soit marié au dernier moment, avant de, partir pour la Hollande, avec une jeune infirmière anglaise qui l'avait soigné. Il écrit qu'il a rendu visite à Leeds à une amie qu'il connaissait: "J'ai été reçu par ses parents comme le fils de la maison."

Laurent laloup le mercredi 14 février 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 17 août 2007

 

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