Carmen Luisa Silva - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Carmen Luisa Silva



Naissance : 8 juillet 1922 - Londres, Angleterre

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1943

Affectation principale : Terre - Londres / Aux.Fém.Arm.Terre

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 2C

Décès à 56 ou 57 ans - 1979 - Fulham, Londres, Angleterre

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 548569

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 47520

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Françaises et Français libres : Une identité née de la pluralité

En haut au centre : Carmen Silva devant son camion
En bas à droite : Marie Hackin



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Jacques Ghémard le jeudi 11 juillet 2024 - Demander un contact

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Carmen Luisa Silva
Née le 8 juillet 1922 - England, England, United Kingdom
Décédée en novembre 1979 - Fulham, London, London, England, United Kingdom

Laurent Laloup le mercredi 22 mars 2023 - Demander un contact

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Elles ont suivi de Gaulle - Histoire du Corps des Volontaires françaises, Sébastien Albertelli, Perr

"... L’expérience du Blitz est néanmoins éprouvante. Janine Serreulles note dans son journal, le 16 octobre 1940 : « Je commence à croire qu’on va mourir ici, sous les bombes. » Et d’ajouter, deux jours plus tard : « Je ne dors que d’un œil, craignant toujours de me réveiller morte… » À son arrivée à Londres, dix jours plus tard, Tereska Szwarc est frappée par l’ampleur des dégâts. Très vite, elle fait personnellement l’expérience de la violence venue du ciel :

À un moment, il y eut un long sifflement et nous avons senti une énorme masse d’air se déplacer autour de nous, on sentait cela physiquement, jusqu’au creux de l’estomac, puis la bombe a éclaté non loin. Toute la maison tremblait, les vitres s’agitaient, les portes claquaient.

La jeune Volontaire tient la chronique des destructions qui s’accumulent, d’abord en détail, puis de façon de plus en plus sommaire à mesure qu’elle s’y habitue. Elle est marquée par la destruction de l’église Notre‑Dame‑de‑France, quelques jours seulement après qu’elle s’y est recueillie avec sa mère. D’autres sont plus directement touchées : la maison d’Élise Colineau est détruite, de même que le magasin de couture dans lequel travaille Carmen Silva et l’hôpital dans lequel exerce Évelyne Briet. ..."

Laurent Laloup le mercredi 01 janvier 2020 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 11 juillet 2024

 

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