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Yvon Emile Marie Pageot

Yvon Emile Marie Pageot - son Livre ouvert !
 

Les bons souvenirs des maquettes FRANCE MAQUETTES de 1970

Bonjour,
Tout d'abord "MERCI" cher Yvon Pageot de m'avoir fait rêver dans les années 1960/1970 en construisant vos modèles réduits navals TARPON, SUPER BARRACUDA et remorqueur Côte d'Emeraude.
Merci pour ces maquettes qui, en 2021, naviguent toujours.
Adressez à sa famille, mes sincères amitiés de modéliste, ayant rencontré cet homme généreux lors d'un de ses passages au magasin BABY TRAIN de PARIS.
Merci encore,

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BONNEVAL Philippe le samedi 17 avril 2021 - Demander un contact

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Nom : PAGEOT
Prénom : Yvon Emile Marie
Sexe : M
Jour de naissance : 02
Mois de naissance : 07
Année de naissance : 1921
Code insee naissance : 44109
Commune de naissance : Nantes
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 26
Mois de décès : 08
Année de décès : 2011
Code insee deces : 22278
Commune de décès : Saint-Brieuc
Pays de décès : FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le vendredi 25 septembre 2020 - Demander un contact

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Pour une histoire de la France libre
De Patrick Harismendy

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Laurent Laloup le vendredi 31 janvier 2020 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

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Incredible !

" Have you informations about the arrival of a French LeO 451 in England during the journey of 19th june 1940. I have met the pilot a few months ago !!! the aircraft took of at dawn from Nantes Château-Bougon and landed near Southampton on a little airfield without problem.
Fate of the aircraft unknow?

I had never heard this story before.
I suppose it was one of the last LeOs assembled in Nantes.
PK photos show many wrecks of scuttled LeOs before the Germans arrive. One of the few French plants to have sabotaged their production before it was overrun.

About the sabotage at Nantes in june 1940, note I have met one of the five men who took part of this operation... last week! In its memory, only 5 Leo 451 ready to be delivered were destroyed on the taxiways between the SNCAO and the airfield. But others Leo in building were also destroyed in the factory.
About the departure of the last Leo451 from Nantes the story is really incredible... So I search feverishly other informations in UK to invalidate or confirm this evidence...

Does this pilot join Free French Air Force later ? If positive, do you have his service number ?

I have just his name : Lt Yvon Pageot. After a test to Cranwel and training in a OTU near Aberdeen, he maked a mission PHOTO with the squadron 145 above Shark island to prepare a raid with commandos. After that, at the end of 1940, he was affected to Farnborough as "pilote réceptionnaire". After he worked to the BCRA (spy service) and was dropped in Britanny to collect informations about radio navigation X-GUERAT station used to lead the german bombers to Great Britain. A station of this type was located at Vannes Meucon airfield. During this mission, he was arrested by Gestapo and finished the war in concentration camps (Buchenwald, Dora). He survived and obtained Legion d'Honneur by Général De Gaulle in 1966."

Jacques Ghémard le dimanche 24 septembre 2017 - Demander un contact

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" Qui n'a pas déjà entendu parler d'Yvon Pageot, génial maquettiste aux mains d'orfèvre, décédé en 2011? À en croire la réussite de l'exposition qui lui est consacrée au Carré Rosengart (907 entrées depuis le 29 août), personne n'a oublié ce personnage aux vies multiples. Les plus anciens se rappellent avec une pointe d'émotion son magasin « Baby Rêve » qui a tissé sa toile au 54, rue Saint-Guillaume, jusqu'à sa fermeture en 1997. Tandis que les plus jeunes découvrent une partie de son incroyable trésor.

Un passionné de l'aviation

Mais qui de mieux pour relater son histoire qu'Edina? Cette dernière a passé presque quarante ans à ses côtés, en tant que vendeuse puis auxiliaire de vie. « Yvon Pageot était quelqu'un de passionné et de pudique », souligne-t-elle. « L'aviation l'a exalté plus que tout. Il a d'ailleurs obtenu son brevet de pilote à 17 ans, avant même son permis de conduire ». Cette même passion fera aussi basculer son destin. Alors élève ingénieur à l'École supérieure d'aéronautique de Paris en 1940, il rejoint Londres aux commandes d'un bombardier Lioré 45 suite à l'appel du général de Gaulle. Fiché « pilote expérimenté », Yvon Pageot effectue différentes missions de renseignements. Arrêté le 24 mai 1942, il sera déporté dans l'enfer de Buchenwald, puis dans l'usine souterraine de Dora. L'homme n'en sort pas vraiment indemne. « Il a même reçu deux fois l'extrême-onction », précise Edina. Et d'ajouter : « Ses maquettes ont été une véritable thérapie pour lui. »"

Jacques Ghémard le dimanche 24 septembre 2017 - Demander un contact

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"....Yvon Pageot a alors six ans mais sa carrière professionnelle est à bien des égards comparable à celle de Lucien Rosengart. En effet, l’a où l’un construit des voitures, l’autre les produit en modèle réduit ! Yvon Pageot est d’abord propriétaire d’un magasin de jouets et maquettes qui, de générations en générations, fait rêver petits et grands briochins puis, en 1975, il lance son entreprise – France-Maquette – et remporte plusieurs compétitions de modélisme radiocommandé. Ce sont d’ailleurs ses plus belles maquettes qui étaient exposées lors de cet hommage, retraçant ainsi quelques-unes des plus belles pages de l’histoire maritime.

Mais Yvon Pageot n’est pas qu’un entrepreneur de talent. Pilote chevronné, il rejoint dès le 19 juin 1940 l’Angleterre… aux commandes d’un bombardier. Après quelques missions de reconnaissances aériennes pour la Royal Air Force, il revient en Bretagne pour le compte du BCRA. A Saint-Brieuc, il établit rapidement une petite cellule de Résistance affiliée aux réseaux Confrérie Notre-Dame et Georges France 31. Parmi les agents du groupe on compte notamment un certain Michel Royer qui, à l’arrestation d’Yvon Pageot – en mai 1942 – prend la décision de rejoindre Londres par les Pyrénées.

Transféré à Fresnes où il reste un an, puis à Compiègne, Yvon Pageot est déporté par mesure de répression le 17 septembre 1943 vers Buchenwald. Le voyage est difficilement imaginable :

« Nous étions 150 dans notre wagon en bois neuf, aux lucarnes condamnées, ne laissant pas entrer d’air. L’asphyxie gagna rapidement ; dans notre seul wagon, il y eut 75 morts à l’arrivée à Buchenwald. »

Ceux-ci sont directement expédiés aux crématoires, sans même être identifiés. Immatriculé sous le numéro 21 672, Yvon Pageot est envoyé à Dora, gigantesque usine de construction de V2, alors camp satellite de Buchenwald. En avril 1945, Dora est évacué et Yvon Pageot échoue à Bergen-Belsen après être passé par Ravensbrück. Libéré par les Anglais, il arrive au Lutétia, à Paris, le 20 mai 1945.

De retour à Saint-Brieuc, il se marie le 31 décembre 1945 et entame la carrière que l’on sait. Encore une raison supplémentaire d’aller voir ce week-end la belle exposition du Carré Rosengart.

Erwan LE GALL

Source: KLEIN, Marie-Pierre et Pierre, Les Déportés des Côtes-du-Nord, avril 1914 / septembre 1944, Livre mémorial, Lanvallay, AFMD 22, 2007, p. 372-373."

enenvor.fr 

Laurent le vendredi 01 janvier 2016 - Demander un contact

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Brioche

Nom de l’agence de la Confrérie Notre-Dame, réseau du colonel Rémy , chargée d’un secteur couvrant le littoral entre Saint-Malo et Lannion en passant par Saint-Brieuc. Son responsable était Maurice Poge « Godin ». Ce groupe est démantelé en mai 1942 ; Poge est arrêté et déporté en Allemagne d’où il ne reviendra pas. Le réseau comptait une trentaine de personnes sur cette zone, Yvon Pageot est arrêté à Saint-Brieuc le 24 mai 1942, et déporté (il ne sera de retour qu’en 1945), les autres membres du réseau cherchent alors à regagner l’Angleterre comme Michel Royer de Saint-Brieuc qui y parvient via l’Espagne et Gibraltar.

Récupérée de www.wikiarmor.net 

Laurent le vendredi 04 décembre 2009 - Demander un contact

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"... Le troisième fils , Michel Royer s’engage également dans la Résistance ; Il fournit des renseignements sur les mouvements des troupes allemandes, sur les travaux qui se déroulent sur le terrain d’aviation de Saint-Brieuc. Agent P1 du réseau Confrérie Notre Dame (CND Castille, réseau du Colonel Rémy), à partir de Mai 1941 il doit quitter Saint-Brieuc après l’arrestation de Yvon Pageot ( Le Page) responsable du réseau arrêté le 24 mai 1942. ..."

www.wikiarmor.net 

Laurent le jeudi 26 novembre 2009 - Demander un contact

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