Bernard Marie Oursel - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Bernard Marie Oursel



Naissance : 27 novembre 1917 - Dijon (21)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : Somalie en novembre 1942

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM21

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant

Décès à 89 ans - 31 mars 2007 - Paris 16e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 453054

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 39642

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compagnie capitaine oursel

madranges le jeudi 07 août 2014 - Demander un contact

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Légende : "6 01 39 Port-said Dussol Peyrusse Lanlo Raynal Marchand Fayaud Oursel"
Source : famille Peyrusse



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Laurent Laloup le mardi 16 juin 2009 - Demander un contact

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Journal de Marche du BM21 au cours du débarquement

(Source : famille Lt Col Paul Peyrusse  )

"24 AOUT 1944
Objectif de la journée et en même temps objectif final du Bataillon :
Secteur côtier à hauteur du méridien 97. Un ordre du Chef de Bataillon
la 1ère Compagnie appuyée par les feux de la 2ème Compagnie et de la C.A. s'emparera de la côte 62,8 où l'ennemi tient un P.A. important. Cette position prise, la 3ème Cie attaquera le Fort Sainte Marguerite (au sud de la côte 62,7).
Importante préparation d'artillerie.
10 heures 30, la 1ère Cie s'est emparée de son objectif. 40 prisonniers et un butin important.
D'autres prisonniers affluent ramenés par des patrouilles de nettoyage 15 de la 3ème Cie - 8 de la C.A. - 2 de la C.B. etc.
11 heures au P.C. du bataillon, se présente l' OBERLEUTNANT HENSCH Commandant le fort de CARQUEIRANNE. Ce matin à 8 heures nous lui avons envoyé un ultimatum lui enjoignant de se rendre avec ses hommes avant midi. Le Capitaine MULLER l'accompagne: la reddition est rapidement conclue.
2 Officiers et 121 Sous officiers tombent entre nos mains.
En plus 6 blessés et quelques morts allemands. Un important matériel de détection d'avion et sous-marins. 8 mitrailleuses - 1 canon de 75, 8 pièces de D.C.A. - 11 heures la 3ème Cie essaie de reprendre sa progression : elle est rapidement arrêtée par des feux provenant du Fort Sainte Marguerite qui malgré une forte préparation d'artillerie amie tient toujours.
Quelques pertes à la 3ème Cie.
- 12 heures 30, on décide d'essayer au Fort Sainte Marguerite le procédé qui a réussi à CARQUEIRANNE : Un caporal Chef Allemand fait prisonnier le matin, accompagné du Capitaine OURSEL et du Lt. BUNTZ se dirigent vers le Fort avec un drapeau blanc. En effet, le Commandant du Fort Major KRANZ accepte de discuter : il y a le feu dans les soutes à munitions depuis plus de 24 heures et la garnison ne pourra tenir longtemps faute de vivres et de munitions. "

Laurent Laloup le mercredi 22 avril 2009 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°30 (décembre 2008)

" Regroupé à Djibouti en septembre 1940, le régiment de tirailleurs sénégalais de la Côte française des Somalis est dissous le 15 octobre, et le 1er bataillon est transformé en bataillon formant corps, le bataillon de tirailleurs sénégalais n° 1, sous les ordres du commandant Raynal et de son adjoint, le capitaine Taupin. Outre le lieutenant Oursel, officier des détails, et le médecin-lieutenant Moret, le lieutenant Labarsouque commande la Pre compagnie, le capitaine Pelletier la 2e compagnie, le capitaine Sambron la 3e compagnie et le capitaine Comnier la compagnie d'accompagnement. Le débarquement allié en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, laisse espérer un temps un ralliement pacifique de la colonie à la France combattante, vite déçu par l'attitude jusqu'au-boutiste des autorités, qui demeurent fidèles à Vichy. Révolté par cette passivité, alors que la nouvelle du ralliement de l'Afrique occidentale française parvient à Djibouti le 24 novembre, le bataillon décide de s'évader du territoire et de rejoindre le Somaliland. Le soir du 27 novembre, un détachement comprenant trois compagnies du BTS n° l4 et six batteries du groupe d'artillerie coloniale du lieutenant-colonel Hanneton5 quitte Djibouti. Les accompagnent un détachement de transport dirigé par le lieutenant Messager, un peloton hors rang emmené par le capitaine Le Hoanec, un service de l'artillerie commandé par le lieutenant Souleau, deux détachements d'isolés d'autres corps sous les ordres des capitaines Lanlo et Calvet, et un détachement de DCA commandé par le sergent-chef Vauclair6 . Au total, le détachement comprend 39 officiers, 252 sous-officiers, 270 hommes de troupe et 868 indigènes. Il fait mouvement vers le village de Loyada, où il passe la frontière, et atteint Zeilah le lendemain. Le lieutenant-colonel Raynal prend alors contact avec le détachement Somali des FFL du lieutenant-colonel Appert, commandant des Forces françaises libres de l'Est africain. Au total, c'est, avec le BTS n° 4 (futur bataillon de marche n° 24), 1 800 hommes qui ont passé la frontière pour rallier la France combattante."

Laurent Laloup le samedi 27 décembre 2008 - Demander un contact

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Bernard Oursel est né à Dijon le 7 octobre 1914. Après une jeunesse engagée dans le scoutisme et l'action politique, il intègre en 1933 l'École spéciale militaire de Saint Cyr.
À la sortie de l'école en 1935, il choisit de rejoindre l'Infanterie coloniale. Il part pour le Tchad en 1936 comme chef d'un peloton méha­riste. Il revient pour un bref séjour en France en 1938 et repart pour la Côte française des Somalies. Il ne reverra sa famille que six ans plus tard.
En effet, la guerre éclate en 1939. En 1940, il se distingue lors de combats contre les troupes italiennes. Il refuse la défaite. Fin 1942, il rejoint la 1re Division Française Libre dont il va partager le destin victorieux et héroïque jusqu'à la fin de la guerre au sein du Bataillon de Marche n°21.
Plusieurs citations à l'Ordre de l'Armée souli­gnent sa haute valeur professionnelle, ses grandes qualités de chef et de combattant, démontrées durant la campagne d'Italie, lorsque les Forces Françaises percent la défense alle­mande au Monte Cassino, durant le débarque­ment de Provence, la libération de Hyères et Toulon.
Il prend le commandement du BM 21 en novembre 1944. Lors de la campagne d'Alsace, en janvier 1945, il brise net à Erstem-Krafft la pointe de l'attaque allemande sur Strasbourg et s'empare du pont et du village de Marckolsheim. Enfin, pendant les violents com­bats menés en avril 1945 pour la libération des Alpes, il contribue par une action d'éclat au succès de la Division dans le massif de l'Authion.
En récompense de ses faits d'armes, blessé à deux reprises, il devient à trente ans un des plus jeunes chefs de bataillon de l'Armée française.
Il part pour le Tchad en 1946 et y restera jusqu'en 1948, retrouvant avec bonheur les déserts du Tibesti dix ans après son premier séjour.
II participe à la guerre d'Indochine de 1951 à 1953 et y démontrera durant les combats « une classe exceptionnelle, le plus total mépris du danger », pour reprendre les termes des citations reçues à l'Ordre de l'Armée.
Il part en 1956 pour Madagascar où il demeure en famille jusqu'en 1958.
En 1961, il prend le commandement en Algérie du 23' Régiment d'Infanterie de Marine à Miliana. Il présente sa démission de l'Armée d'activé en 1962.
Il se reconvertit alors dans la métallurgie où il occupera des fonctions de dirigeant jusqu'en 1975, date à laquelle il prend sa retraite.

source : "Bir Hakim...L'Authion"

Laurent Laloup le jeudi 08 novembre 2007 - Demander un contact

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"Le Bataillon est commandé par le Chef de Bataillon Georges Raynal que l'on n'appelle pas encore « Rabastens » mais que nous retrouverons tout au long de l'histoire du Bataillon jusqu'à la fin de la guerre. Certains officiers y resteront constamment, comme le médecin Lieutenant Peyrusse et le Lieutenant Oursel ; d'autres comme le Capitaine Lanlo et le Lieutenant Fayaud rejoindront d'autres unités mais se retrouveront aux côtés du Bataillon au sein de la 1ère DFL, de même pour de nombreux sous-officiers et hommes de troupe."

www.francaislibres.net/ 

Laurent Laloup le mercredi 19 septembre 2007 - Demander un contact

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Le général Bernard Oursel, ancien commandant du BM, est décédé en avril 2007 à Paris.

Source Amicale de la 1ere DFL

Laurent Laloup le mardi 07 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 07 août 2014

 

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