Un Français Libre parmi 62914
 

Jean Baptiste Miguras

Naissance : 10 juillet 1909 - Angol, Chili Point de départ vers la France Libre : Amériques Engagement dans la France Libre : en juillet 1941 Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / chars Dossier administratif de résistant : GR 16 P 418853 Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 36251

Jean Baptiste Miguras - son Livre ouvert !
 

"... Es la transcripcion de una sesion del congreso de 1965 donde en una carta los voluntarios que fueron a Francia a defender el frente, hacen algunas peticiones por haber participado en la guerra, en ella firman (a estas alturas ya, mis cumpas) Mardones y Miguras entre otros, pero lo mas interesante es lo siguiente:

"daré a conocer algunos hechos que prueban la magnífica participación de estos chilenos. El voluntario Guido Jiménez Catalán fue condecorado con la Medalla Cruz de Guerra, la Medalla Colonial con cuatro palmas; la Forrayera a los colores de la Cruz de Guerra; la Citación Presidencial, colectiva americana, y, la Medalla Voluntario. Juan Miguras Royer recibió la Medalla Militar y la Cruz de Guerra con dos palmas y estrella de plata. André Doussang es poseedor de una Medalla Cruz de Guerra con dos palmas y Forrayeras a la Cruz de Guerra.

Antonio Arce Claverie fue herido en las campañas de Villa Vadombiher (Francia), y en de Betemheim. Fue condecorado con la Medalla Cruz de Guerra (Citación a la Orden de la División); la Medalla Voluntario; la Medalla Colonial; la Medalla Voluntario Combatiente y una Medalla por Heridas. Marcos Carter, luchó en las campañas de Africa, Francia y Alemania. Recibió las siguientes condecoraciones: Medalla Cruz de Guerra con estrella de plata; Medalla Voluntario; Medalla Colonial. También, como Oscar Arce Claverie, tuvo heridas durante el desembarco en Normandía y en la toma de Strasbourg obtuvo por sus actuaciones la Medalla Cruz de Guerra; la Medalla Colonial; la Medalla Voluntario Combatiente y la Medalla por Heridas."

Muchos quedaron como arboles de pascua de tanta condecoracion por su participacion, uno incluso herido en el desembarco en Normandia, wn ese mismo de las pelis con Tom Hanks y todo, ese que hemos visto hasta la saciedad en series y juegos. ..."

www.capa9.net 

Traduction automatique :

" C'est la transcription d'une séance du congrès de 1965 où dans une lettre les volontaires qui sont allés en France pour défendre le front, font des pétitions pour avoir participé à la guerre, ils y signent (à ce point déjà, mes compliments ) Mardones et Miguras entre autres, mais la plus intéressante est la suivante :

« Je vais présenter quelques faits qui prouvent la magnifique participation de ces Chiliens. Le volontaire Guido Jiménez Catalán a été décoré de la Médaille Cruz de Guerra, de la Médaille Coloniale à quatre palmes ; de la Forrayera aux couleurs de la Cruz de Guerra ; de la Citation Présidentielle , collectif américain, et la Médaille du Volontaire. Juan Miguras Royer a reçu la Médaille Militaire et la Croix de Guerre avec deux palmes et une étoile d'argent. André Doussang est titulaire d'une Médaille de la Croix de Guerre avec deux palmes et Forrayeras à la Croix de Guerre.

Antonio Arce Claverie a été blessé lors des campagnes de Villa Vadombiher (France) et de Betemheim. Il a été décoré de la Médaille Cruz de Guerra (Citation à l'Ordre de la Division); la Médaille du Bénévolat; la médaille coloniale ; la médaille du combattant volontaire et une médaille pour les blessures. Marcos Carter, a combattu dans les campagnes d'Afrique, de France et d'Allemagne. Il a reçu les décorations suivantes : Médaille de la croix de guerre avec étoile d'argent ; Médaille du Bénévolat ; Médaille coloniale. Aussi, comme Oscar Arce Claverie, il fut blessé lors du débarquement en Normandie et lors de la prise de Strasbourg il obtint la Médaille de la Croix de Guerre pour ses performances ; la médaille coloniale ; la Médaille du combattant volontaire et la Médaille des blessures."

Beaucoup ont été laissés comme des arbres de Pâques avec tant de décoration pour leur participation, un a même été blessé lors du débarquement de Normandie, comme celui des films avec Tom Hanks et tous, celui que nous avons vu ad nauseam dans les séries et les jeux."

Laurent Laloup le mercredi 23 mars 2022 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Photo Miguras

Photo de Jean Miguras (debut a cote mon General Leclerc) et le Marechal de lOgis Bizien a cote de lui (mort rue Rivoli a paris)

Charles Miriel le dimanche 02 décembre 2018 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Réponse :

Un commentaire très différent pour cette photographie 

Photos

Photo de la fête du depart des Français du Chili vers l'Angleterre dans le stade français de Santiago du Chili le 09/04/1941.
A l'envers est la signature de tous les volontaires et aussi bien sur la signature de mon père Emile Miriel et de Jean Miguras

Cliquez pour agrandir

Charles Miriel le lundi 26 novembre 2018 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Cliquez pour agrandir

Charles Miriel le lundi 26 novembre 2018 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Miguras

Jean Miguras est aussi un Français du Chili comme mon père et ils sont partis ensemble vers l'Angleterre en réponse à l'appel du Général de Gaulle
Jean était le tireur qui a tiré a la fumigène sur un char allemand à la place de la Concorde, il m'a dit qu'avais tellement peur que il ne savait même pas quels obus il chargeait dans le canon du char.

Charles Miriel le vendredi 23 novembre 2018 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Il était mon grand-oncle ...

...et l'oncle de ma mère Monique Miguras. Le peu que je sais de son histoire me rend fier de lui, tout comme celle de ma famille.

CHEVREAU le jeudi 26 octobre 2017 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

"JUAN MIGURAS ROYER was one of highly decorated and distinguished Chilean warmongering volunteers of the French Resistance Force under Charles De Gaulle fought here as a senior lieutenant of the 501 Regiment of tanks taking home back to CHILE the Croix de Guerre, la Croix de combattant du Voluntaire and most importantly la Croix de Guerre de France Militaire for after six days of ferocious fighting, being one of the first tanks to enter into Paris and his heroics by destroying two Panzer tanks in streets of Rivoli and the Plaza of Concordia."

Laurent Laloup le jeudi 26 octobre 2017 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Chilenos en la Segunda Guerra Muundial

Chef de char Sergent BIZIEN, tué le 25 août 1944
remplacé par GIANGRANDI, tué le 17 septembre 1944
Tireur
Radio chargeur MIGURAS (après le 17 septembre muté sur char ARGONNE II)
Pilote GATOR, tué le 13 août 1944
remplacé par CAMPILLO
remplacé par DELEPINE?
Aide pilote CAMPILLO, devient pilote du char à Paris

Paris 25 août 1944
A 13 heures, sous le commandement du commandant de La Horie, la 1ère section de chars (lieutenant Bénard) se lance à l'attaque de l'hôtel Meurice appuyée dans sa progression par deux sections d'infanterie du Tchad. L'hôtel Meurice est le Q. G. du général von Choltitz, commandant la garnison allemande du "Gross Paris". La progression commence le long de la rue de Rivoli ; les fantassins bondissent de pilier en pilier et de porte en porte ; le lieutenant Bénard défonce une barricade antichars et débouche sur la place de la Concorde. Là, son char de tête le Douaumont (chef de char, sergent Bizien, vingt et un ans) tombe nez à nez avec un Panther, engagé dans un duel au canon avec des Sherman qui le tirent du haut de l'avenue des Champs-Élysées. Il lui envoie l'obus qui est dans son 75, un explosif dont l'effet est nul sur l'épais blindage de l'Allemand ; puis le tireur, n'ayant plus de perforants sous la main, recharge avec un fumigène encore plus inefficace. Cependant le Panther commence à tourner son terrible 75 PAK vers le Douaumont, mais heureusement sa tourelle, actionnée à la main, ne peut tourner rapidement : le conducteur du Douaumont, Campillo, fonce sur le Panther et l'éperonne ; le 75 allemand, vu sa longueur, est arrêté dans sa rotation par la paroi de la tourelle du Douaumont et ne peut tirer sur celui-ci. L'équipage boche, profitant du nuage artificiel provoqué par le fumigène, quitte son Panzer et s'engouffre par la grille de la place de la Concorde dans le jardin des Tuileries.
Hélas ! à peine le sergent Bizien qui, fou de joie, s'embrasse avec son équipage, se remet-il en route, qu'une balle tirée d'un toit l'atteint en pleine tête. Il s'écroule, mort, dans sa tourelle. Encore un ancien de la compagnie qui part en héros !
Hasard étrange : dix mois plus tard, sur l'autostrade de Munich, les chasseurs de l'équipage du Douaumont qui est tombé en panne, interpellent un tankiste allemand, qui passe muni d'un laissez-passer américain, pour rejoindre son foyer ; ils lui demandent un coup de main - entre collègues des chars - pour les aider à faire monter leur Sherman sur un porte-chars ; au cours de la conversation, ils apprennent de lui qu'il était précisément le conducteur du Panther allemand éperonné place de la Concorde par le char qu'il aide à manœuvrer.

Chatel le 17 septembre 1944

De Nomexy où je suis avec ma jeep, et où les obus éclatent de tous côtés, je vois à la jumelle tout le combat se dérouler à quelques centaines de mètres devant moi. Soudain, j'aperçois un de nos chars qui flambe. Lequel est-ce ? Quels sont ceux de mes camarades qui se débattent dans les flammes ? C'est le "Douaumont".
Voici ce qui s'est passé, d'après ce que me dira plus tard un membre de l'équipage. Le tireur Miguras, un volontaire chilien, les yeux collés à sa lunette, aperçoit une masse sombre dans un buisson ; il prévient aussitôt le chef de char, le sergent Giangandi, mais celui-ci lui dit : ne tire pas, c'est peut être un Sherman . Miguras insiste, mais Giangandi veut être sûr que ce n'est pas un char français. Enfin Miguras ne doutant, plus qu'il a affaire à un boche, appuie sur la détente en hurlant : "Merde, je tire !" A la même fraction de seconde le tireur boche fait feu, lui aussi, et son obus atteint le "Douaumont" en pleine tourelle. L'équipage saute du char qui commence à flamber ; le malheureux Giangandi, gravement touché, fait des efforts surhumains pour sortir du char. Son buste émerge de la tourelle et il crie, il hurle : "Sauvez-moi, les copains, sauvez-moi ! " Un de ses camarades regrimpe sur le char : au moment où il va le saisir, le souffle d'un obus de 88 le rejette à terre. Giangandi disparaît dans l'explosion des munitions du char. C'était un nouveau à la compagnie, qu'il avait ralliée en Normandie après avoir fait plusieurs mois de maquis dans des conditions très pénibles. Le jour de son arrivée, voyant nos chars, il nous avait dit : "C'est une vraie partie de rigolade de faire la guerre avec un pareil matériel ! "
Le caporal-chef qui avait tenté de le sauver sautait pour la 3e fois avec son char : pour la 3e fois il n'avait pas la moindre égratignure.
El 25 de agosto de 1944, día de la liberación de Paris Juan Miguras Royer, del 501 Regimiento de Carros de Combate, 3° Compañía, de la Segunda división Blindada Francesa, tripulaba el Tanque Sherman Douaumont, en calidad de cargador tirador de este famoso tanque en el cual llegó hasta la calle Rivoli, Jefe del Carro el sargento de apellido Bizien donde destruyeron un tanque alemán, siendo uno de los primeros en una acción casi suicida en llegar hasta este lugar donde se ubicaba el cuartel General Q.G. del ejército alemán en Paris, luego siguieron hasta la plaza de la Concordia donde destruyen un segundo carro Panzer alemán chocándolo con el robusto Sherman Douaumont, antes que alcanzara a girar el cañon. Desgraciadamente el jefe de carro Sargento Bizien lleno de júbilo levantó los brazos para celebrar recibiendo un balazo en la cabeza muriendo en el acto (M.P.F)(Muerto por la Francia), esta escena se recreó en la famosa película de los años 60 Arde Paris)). Este Sherman duró unas cuantas semanas más siendo finalmente destruido por un cañón alemán oculto salvando milagrosamente su vida el tirador Miguras. Este Chileno de Angol, nacido en Angol el 10 de julio de 1909 y muerto en el anonimato, participó en dos de las acciones más recreadas, pintadas y fotografiadas de la liberación de Paris y quizás de la segunda guerra mundial. Escribo estas líneas porque merece ser reconocido por su valor y arrojo. Si alguien sabe algo más de él o tiene fotos se ruega publicarlas.

Kiko le lundi 26 mars 2012 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution