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| Simonne Emma Henriette Passemard épouse Mathieu | |
Naissance : 31 janvier 1908 - Neuilly sur Seine (92)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Grande Bretagne
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre - Londres / Aux.Fém.Arm.Terre
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 71 ans - 7 janvier 1980 - Chatou (78)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 459915
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 34944 |
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"... La vie de Simonne Mathieu est peu documentée. Slate a livré une version de la rupture avec De Gaulle de celle qui a impressionné par son sang-froid lors du bombardement de la caserne de ses troupes. Quelques mois plus tard, l’une de ses soldates a une liaison avec le général Petit, chef d’état-major de De Gaulle. Une idylle que la morale, les règlements et la capitaine réprouvent. Elle n’hésite pas à entrer en conflit avec Petit qui, sous prétexte de travail, veut garder avec lui sa secrétaire pour la nuit : «Je protestai vigoureusement, a raconté Simonne Mathieu. Le résultat fut qu’il me fit une entourloupette. Il me rappelle pour m’annoncer que le général De Gaulle va venir passer mes filles en revue le lendemain. Je pousse des hurlements : "Elles ne seront pas là ! Elles sont à leur travail ou en manœuvre, il fallait me prévenir plus tôt."» De Gaulle découvre une caserne vide. Pique une rage de tous les diables. Le lendemain Simonne Mathieu est remerciée. Petit a gagné par KO. ..."
www.liberation.fr  Laurent Laloup le dimanche 10 novembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Je lis : "A l’époque, Simonne (un double n qui viendrait de l’étourderie d’un agent de l’état-civil)"
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Foto e commento... Da sinistra verso destra Jeanne Berthe Massias, all'epoca aviatore di prima classe, Genevieve Lefevre (Lefebvre), all'epoca sergente, entrambe con la divisa da WAAF, Oscar Jeanne Marie Leydet (con il badge delle FAFL sulla giacca e la divisa da adjutant dell'Armée de l'air), Solita Salgado (con una divisa da ATS?) ed infine Simone Mathieu...
Il commento si riferiva a questa foto non all'altra... 
Cristina le dimanche 30 avril 2017 Recherche sur cette contribution Réponse : Quelques ressemblances avec Jeanne Berthe Massias 
GR 16 P 532012 SALGADO, Solita 07.07.1914 Bogota COLOMBIE Homologué FFI, pas FFL (erreur du SHD ?)
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Foto del gennaio 1941 Da sinistra verso destra Jeanne Berthe Massias, all'epoca aviatore di prima classe, Genevieve Lefevre (Lefebvre), all'epoca sergente, entrambe con la divisa da WAAF, Oscar Jeanne Marie Leydet (con il badge delle FAFL sulla giacca e la divisa da adjutant dell'Armée de l'air), Solita Salgado (con una divisa da ATS?)ed infine Simone Mathieu... 
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Cristina le samedi 29 avril 2017 Recherche sur cette contribution Réponse : La photo est intéressante mais le commentaire me semble tout à fait farfelu ! Je ne vois que des "moustiques" (l'insigne des FFL) au dessus des poches droites et pas d'insignes d'aviateurs.
Et je ne vois pas Simone Mathieu
Et personne qui ressemblerait à Jeanne Massias 
Et les autres noms ne sont pas dans cette liste alors que j'espère que toutes celles présentes sur cette photos de 1941 y sont.
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Dictionnaire historique de la Résistance :
"Pour les engagées volontaires « militaires », le général de Gaulle signe l'acte officiel de création le 7 novembre 1940 « du corps féminin des volontaires françaises » qui prend le nom plus ad hoc, le 16 décembre 1941, de « Corps des volontaires françaises ». Cette création est une innovation de la France libre qui répond au souhait de Françaises de s'engager. Parmi elles, l'ancienne championne de
tennis, Simone Mathieu, une des premières à avoir demandé une inscription au sein des Forces françaises libres (FFL). Elle a servi au cours de l'hiver 1939-1940 dans le Women Military Service et, le 19 juin 1940, ayant eu connaissance par la presse de l'appel du général de Gaulle, propose ses services au général. Faute de réponse et parce qu'elle menace de s'engager dans l'armée anglaise, l'amiral Muselier, chargé de l'intérim de De Gaulle alors à Dakar, lui répond d'autant plus favorablement que depuis l'été il emploie, à son état-major, des jeunes femmes qui portent un uniforme bleu marine dont il a lui-même choisi le chapeau. 11 charge Simone Mathieu de la mise sur pied de ce corps des volontaires féminines constitué sur le modèle anglais de YAuxiliary Territorial Service (ATS) et avec lequel elle apprend le métier à l'École des cadettes britanniques.
Pour former cette unité, elle passe des annonces dans les journaux spécifiant que les candidates doivent avoir entre dix-huit et quarante-cinq ans au plus et avoir la nationalité française (de naissance ou par leur mariage). Destinées à dégager les combattants des tâches civiles, elles sont conductrices, mécaniciennes, infirmières, médecins, secrétaires, simples plantons, photographes, dessinatrices. Certaines sont affectées au chiffre, d'autres au service de guet sur les toits de Londres les soirs d'alerte, plus généralement à tous les postes où elles peuvent remplacer un homme. D'autres, plus rares, deviennent parachutistes afin d'effectuer des missions en France. Elles signent, comme les hommes, un engagement pour la durée de la guerre plus trois mois et suivent l'instruction et l'entraînement avec leurs collègues anglaises de l'ATS au camp de Bournemouth." Laurent Laloup le samedi 14 mars 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Smash" n°12 de janvier-février 1943. René Mathieu (sous le pseudo de Crosgard) y va fort ou obéit aux consignes ? Sa femme Simonne est à Londres, n'oublions pas. Concluant une série d'articles sur le Badminton ("Pas un jeu de fillettes") il termine, régime Vichy pur sucre :
"[...] Pour conclure, nous pouvons affirmer que si le Badminton n'a pas en France la vogue qu'il devrait avoir, c'est que le français avait perdu l'habitude de souffrir, de lutter et que jusqu'à présent, c'était un sport réservé à une élite".
Smash de la Victoire
Ce jour attendu est enfin arrivé et avant de tourner la page nous devons jeter un regard en arrière afin de saluer ceux qui contribuèrent [...] C'est ainsi que le Général Delmas [...] Simonne Mathieu, qui n'admettait que difficilement la défaite sur un terrain de sport, refusa de rentrer en France en juin 40 [...] Bertie Gilou, fils du président de la Fédération [...] Ceux qui [...] cherchèrent à s'engager dans la division Leclerc [...] des frères de la Villesbrune, des soeurs Carvallo [...]."
codep76.club.fr  Laurent Laloup le lundi 07 juillet 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Simone Passemard Mathieu (née le 31 janvier 1908 à Neuilly-sur-Seine – décédée le 7 janvier 1980) est une joueuse de tennis française.
Numéro un tricolore dans les années 1930, elle devient numéro 3 mondiale en 1932, son meilleur classement.
Elle a remporté deux fois le tournoi de Roland Garros en simple, atteignant en outre la finale à six reprises. En 1938, elle réussit même un exceptionnel triplé (simple, double dames, mixte).
Ses treize titres en Grand Chelem (simple, double dames et double mixte) en font la deuxième Française la plus titrée de tous les temps, derrière Suzanne Lenglen (21 trophées).
Source : fr.wikipedia.org/  Laurent Laloup le lundi 28 mai 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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