Jeannot René François Martin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jeannot René François Martin



Naissance : 2 septembre 1918 - Paris 14e

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient

Engagement dans la France Libre : Palestine en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / spahis

escadron Jourdier initial

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : brigadier

Décès à 22 ans - 13 janvier 1941 - Gédaref, Soudan ou Karthoum, Egypte

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 398134

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 34159ligne 34537


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Jeannot René François Martin - son Livre ouvert !
 

Journal de marche du RMSM - 1940

Lire Rosh Pina 

On voit que 7 hommes sont arrivés séparément de Jourdier, venant d'un escadron hors rang, et on retrouve assez clairement le nom de 5 d'entre eux (EHR) plus mon père, Pierre Ghémard (signaleur) qui venait lui aussi d'un EHR

Lavenir m'avait effectivement dit qu'il venait d'un escadron hors rang mais ne souvenait pas clairement de mon père. Mon hypothèse est que ces 6 ou 7 hommes faisaient partis de deux groupes séparés puisque mon père aurait dit "deux" sans que je sache si c'est deux en plus de lui ou lui y compris.

Et comme après sa mort, aucun ancien spahi ne nous a jamais contacté, je suppose que ces deux là étaient morts aussi, donc ça pourrait être de Gavardie et Martin ...

La page suivante liste la composition des groupes qui sont restés constitués. Dans ce groupe de commandement on trouverait donc tous les nouveaux arrivants et je pense qu'on peut les distinguer des anciens par les notes entre parentheses. Ainsi, Girard et Bretin, viennent du 4e peloton qui a fait défection le 30 juin. Perrot (ordinaire) et Monteil (cuisinier) pourraient donc faire partie des 7 (qui seraient donc 8 dans ce cas)

Jacques Ghémard le samedi 28 novembre 2020 - Demander un contact

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L'Odyssée d'un gaulliste par François Rivet

" Un matin, arrive dans la salle une « Sister » bouleversée, qui demande à voir le Français nommé Rivet ; on lui indique mon lit et, au bord des larmes, elle me dit qu'on vient d’amener dans un baraquement voisin un soldat français presque moribond qui demande à me voir. Je m'habille en hâte et suis la jeune fille qui m'amène au chevet du nouvel arrivant ; je reconnais tout de suite le malheureux : c'est le brigadier Jean Martin, dit : Jeannot, un bon camarade de l'escadron. Il est arrivé hier soir et, hélas ! Il fait peine à voir : il a déjà le regard perdu de celui qui sent que la page va être tournée. Cependant, il me voit et sourit ;(....) Je me penche vers lui et j'entends ces paroles hachées franchir péniblement ses lèvres : « refusé de me faire évacuer... paludisme... donné comprimés pris dans trousse de secours italienne... croyait que c'était comprimé de quinine... » Nouveaux vomissements ; l'infirmière me souffle à voix basse en anglais : « II est perdu ; le médecin pense que ces comprimés n'étaient pas de la quinine mais, étant donné les symptômes, du bichlorure de mercure et que ce jeune homme a été intoxiqué par l'ingestion d'une dose trop forte». Jeannot me regarde de nouveau puis, murmure de façon presque indistincte : « mon vieux, les carottes sont cuites... ils m'ont eu ». Ce « ils », quels personnages cache-t-il ? Que penser ? Décidément le F.F.C. par la faute de quelques mégalomanes inconscients, tend à devenir un cirque tragique ; y-a-t il des crimes commis par ignorance et qui demeureront impunis ?
Les obsèques de mon infortuné camarade, « mort pour la France » dans des circonstances si navrantes ont lieu le lendemain, célébrées par un aumônier catholique anglais. Son corps est inhumé au cimetière militaire de Khartoum ; sera-t-il transféré en Egypte, qui préviendra sa famille vivant probablement en France occupée, quelles explications donnera-t-on de ce décès ? Je l'ignore."

L. Laloup le jeudi 08 mai 2008 - Demander un contact

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L'Odyssée d'un gaulliste par François Rivet

" Arainty, l'adjudant de l'escadron, vieux sous-officier, vieux parapluie sur lequel il a beaucoup plu, s'est constitué sur l'existence une philosophie débonnaire, béatement conser­vée par l'alcool pris en petites doses mais de façon régulière. Prudemment, il ne prend jamais parti et préfère la compagnie de ses marocains qu'il connaît de longue date ; ceux-ci d'ail­leurs estiment fort son caractère calme. (...) Les deux maréchaux des logis chefs, Ballarin et Peneau sont l'anti­thèse l'un de l'autre : autant le premier est bouillant autant le second est placide ; leurs fonctions sont d'ailleurs en harmo­nie avec leurs caractères. Peneau, calme et méthodique, est le Chef comptable de l'unité ; un sourire bienveillant aux lèvres, il accueille avec la même patience marocains et français de l'escadron ; Ballarin, excellent camarade, dévoué, compé­tent et courageux, est chef de peloton. Les autres gradés sont les maréchaux des logis Matherat, mandataire aux halles dans le civil, Baumann et Thomas, militaires de carrière, le brigadier-chef Borély, dont la ressemblance avec Douglas Fairbanks junior est frappante et le brigadier Martin, dit Jeannot, consciencieux et timide."

L. Laloup le jeudi 08 mai 2008 - Demander un contact

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Réponse :

C'est bien "Borelli, Louis" qui est cité dans "Les burnous bleus sur les chemins de devoir"

Dernière mise à jour le samedi 28 novembre 2020

 

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